Il s’agit d’un degré d’incertitude.
Plus grand avec le conditionnel.
Si vous ne pouviez pas assister à l’évènement
Plus neutre avec l’indicatif.
Si vous ne pouvez pas assister à l’évènement

Fanny a raison. Il faut un singulier pour un complément du nom qui indique l’instrument.
Tartare au couteau
On a aussi : servi à la louche – vin au verre – bœuf à la casserole
Le singulier est généralisant.

Ce qui est différent pour « idées recettes«  qui signifie : idées de recettes

Jamais elle n’aurait voulu que cette folle aventure ne prenne fin.
Une phrase tout à fait correcte !
Pourquoi la négation ne porterait pas sur le verbe vouloir ? Je n’ai jamais voulu cela a bien du sens.

Le fait que le COD soit une proposition ne change absolument rien
Jamais elle n’aurait voulu cela/que cette aventure (ne) prenne fin.
auquel on peut parfaitement ajouter un « ne » explétif ».

Clefs du français pratique – extrait :

Bien que le préfixe multi– signifie « plusieurs », les mots auxquels est soudé ce préfixe ne prennent généralement pas de s au singulier :
un multicoque – un multimoteur (un avion à plusieurs moteurs) –  assurance multirisque – un système informatique multiposte
On rencontre parfois la graphie avec un s :
un téléphone multifonctions – un multiétages (véhicule aérospatial à plusieurs étages)
Au pluriel, le deuxième élément varie :
des multiisotopes – des assurances multirisques
—————————–
Par souci de simplification on soude le préfixe « multi » et le nom qui suit.

Je vous l’ai expliqué dans mon premier message.
– « nasien » n’existe pas
– « nasi » signifie : : Président du sanhédrin chez les Juifs.
quant à
« chef ***  » c’est un chef qui est *** et « chef des *** s » est le chef des *** s (un groupe de *** s défini et plus ou moins large selon le contexte)

Si réellement c’est le sens de « nasi » (donné ci-dessus) qui est voulu, le raisonnement est le même.

Se comparer aux autres établissements de santé, partager les bonnes idées, importer les expériences remarquables nous paraissait être très utile.

Oui, le singulier permet de considérer les trois éléments comme un tout.

« Nasien » n’existe pas.
Je pense que vous vouliez écrire « ***  » (et non nasi. Littré : Président du sanhédrin chez les Juifs.)
Chef *** : le mot *** est ici adjectif << *** leader
Chef des *** s : le mot *** est ici un nom<< *** s’leader

Il y a un peu plus qu’une nuance. ans le premier cas vous qualifiez un chef de *** : il s’agit d’un chef parmi d’autres. Dans le second cas, la personne désignée a sous ses ordres tous les *** s.

Arrivée en haut de la falaise, je crus que j’avais perdu mon chemin
En effet « arrivée » se rapporte à « je » qui est ici féminin.

Le participe passé employé sans auxiliaire fonctionne comme un adjectif qualificatif. En fait, bon nombre de participes passés ont produit de véritables adjectifs qui figurent maintenant dans les dictionnaires, par exemple : forcé, poli, écrit, résolu. Comme l’adjectif, le participe passé employé sans auxiliaire s’accorde en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte.
BDL

Peut-être voulez-vous connaître quelle est la différence entre participe passé employé comme adjectif et adjectif verbal ? (votre question n’est pas très claire).
Un verbe peut donner :
-un participe passé  obtenu en ajoutant au radical une terminaison -é, -i, -is, -it, -u, -us
ce participe est utilisé dans les temps composés mais peut aussi être utilisé comme adjectif
élément d’un temps composé : il a perdu ses clefs
adjectif :  j’ai recueilli un chien perdu
– un adjectif verbal obtenu en ajoutant au radical une terminaison en -ant
cet enfant est charmant
Les deux adjectifs ainsi obtenus se comportent comme tous les adjectifs (accord avec le nom auquel ils se rapportent.

L’adjectif verbal au masculin a souvent la même forme que le participe présent qui lui, est un verbe (et dont la terminaison ne donne aucune indication sur le temps et la personne), mais en tant que verbe, il peut avoir des compléments et un agent (qui fait l’action).
Par exemple, participe présent du verbe charmer : charmant son auditoire, il n’arrêtait pas de parler.

Je n’ai pas besoin de croyance pour affirmer que les noms ne s’accordent jamais.  En tant que complément du nom ou attribut,  il arrive qu’il concorde avec le nom qu’il complète et c’est le sens qui décide.
Les exemples abondent, qu’il s’agisse du nombre ou du genre :
La chambre de mes frères  – mes amis sont ma famille – le vase cassé n’est plus que pièces de puzzle -cette femme est un professeur de philo/ cet homme est une victime  etc.
Lorsqu’on a concordance, ce n’est que conjoncturellement :  mes frères sont mes meilleurs amis/toute ma famille.