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Ce qui peut être à l’origine de cela, ce sont les erreurs…
C’est effectivement ainsi qu’on dit souvent à l’oral et la formulation est correcte. Cependant, une langue tenue ou l’écrit éviteront cette accumulation de démonstratifs,
Il vaut mieux alors reformuler. Par exemple :
– Ce sont les erreurs qui peuvent être à l’origine de cela (mieux vaudrait préciser de quoi plutôt que d’employer le pronom « cela » mais sans doute est-ce pour l’exemple)
Ou :
– On peut supposer que les erreurs….. sont (soient pour un doute plus grand) à l’origine de …On peut évidemment trouver d’autres formulations.
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S’il l’aimait, il devait ou il devrait la satisfaire ?
On a là deux sens bien différents.
– S’il l’aimait il devait la satisfaire : il était obligé de la satisfaire (pour forcer un peu le sens) : le tout est au passé.
– S’il l’aimait, il devrait la satisfaire : la satisfaire est une éventualité (il est bien possible qu’il la satisfasse) : seule a première proposition est au passé.
Si on a : s’il l’aimait, il aurait dû la satisfaire : cette fois-ci c’est un jugement sur ce qu’il n’a pas fait, à tort.- 582 vues
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Il l’avait rejointe. Le COD est bien |l’| autrement dit « la », féminin singulier.
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On peut même dire que lorsqu’on a une forme verbale après être ou avoir, c’est toujours un participe passé. Le groupe être ou avoir + participe passé étant un verbe conjugué.
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1. Elle avait beaucoup de chance d’avoir cette autorisation, mais elle jurait ses grands dieux ne pas savoir/qu’elle ne savait pas ? qui l’avait favorisée.
– locution verbale avoir de la chance
– avec savoir on peut utiliser l’infinitif quand son agent est le même que le sujet du verbe introducteur – on peut aussi employer une proposition subordonnée conjonctive.2. Il déclina/énonça l’objet de sa visite sans avoir de remords à l’égard de /vis-à-vis de / envers son interlocuteur.
– décliner a ici le sens d’énoncer afin de faire connaître. « énoncer » est possible aussi.
– À l’égard de – envers – vis-à-vis = en ce qui concerne : les trois sont possibles.3. Elle est intervenue en cinquième ou sixième position, mais a répondu par la négative à toutes les propositions .
– le « ou » est exclusif : on utilise donc le singulier
– on pourrait écrire « toute proposition » mais ce qui est plus « naturel est « toutes les propositions ».Cette réponse a été acceptée par Marisa. le 19 mai 2024 Vous avez gagné 15 points.
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Après une préposition, les verbe se met à l’infinitif. C’est la cas dans votre phrase : afin d’évaluer s’il est pertinent de les éliminer…
« les » est pronom COD ici.- 794 vues
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SI vous inventez des noms propres, mettez des majuscules comme pour tous noms propres comme indqiuez ci-dessus.
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Le Robert : délice
nom féminin et nom masculin
nom féminin pluriel littéraire Délices : plaisir qui ravit, transporte. Lieu de délices (➙ paradis). locution Faire ses délices de qqch., y prendre un grand plaisir. ➙ se délecter.nom masculin Plaisir vif et délicat. ➙ félicité, joie. C’est un délice de l’écouter chanter. Quel délice ! Ce rôti est un délice. ➙ régal. ===> voici pourquoi je choisirais : Il éprouvait avec délices le confort à l’ancienne de cette auberge aux planchers craquants. : il ne s’agit pas d’un régal
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Je pense que dans cette phrase il y a risque de mélanger deux sens bien distincts
Parer avec le sens de vêtir, habiller
et Parer au sens d’éviter un danger ou un désagrément quelconque
D’autre part, « être paré contre signifie (être) en mesure d’affronter (un danger, une difficulté). Être paré contre le froid.
Le sens dont vous avez besoin n’est certainement pas :
C. −[Dans un contexte abstrait] Parer à qqc.Prévoir ce qui va arriver et s’en protéger, s’en garantir; agir de manière à éviter ce qui peut arriver de fâcheux; éviter les inconvénients de quelque chose.Parer au danger, à un inconvénient. (TLF)Je suis paré pour le départ = je suis habillé pour le départ
Peut-être vouliez-vous dire : je suis préparé au départ = prêt pour le départ, auquel cas, abandonnez « parer » pour « préparé » ou « prêt » (« fin prêt »)
===> la préposition correcte n’est donc pas « à » (ici « au »)mais « pour » ou « en vue du »- 3803 vues
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Lorsqu’on raccourcit un nom commun, cela ne s’appelle pas un diminutif.
On appelle « diminutif », certains suffixes comme -et/-ette ou -on, par exemple (il en existe d’autres) : une fille/une fillette – un e cabane/un cabanonSi on enlève à un nom une ou plusieurs syllabes, on parle d’abréviation.
En ce cas, il faut un point à la fin du mot, sauf si l’abréviation est complètement lexicalisée. Ainsi on dira : viens prendre ton petit déj. – Mon coloc. est parti – mais je vais au cinéma (au lieu de cinématographe) ou je viens en auto (pour automobile)L’apostrophe marque l’élision des voyelles finales a et e de certains mots, et i pour ce qui est de la conjonction si suivie du pronom il. L’élision se fait lorsque ces mots sont suivis d’un mot commençant par une voyelle ou un h muet. Ainsi on a : la + apostrophe → l’apostrophe, le + oiseau → l’oiseau, si + il → s’il, que + elle/il → qu’elle/qu’il, presque + île → presqu’île, le + homme → l’homme, le + hôtel → l’hôtel, le + hôpital → l’hôpital. Dans le langage populaire, […] tu es → t’es en langage familier. L’élision peut aussi porter sur une partie du mot, en particulier pour restituer certaines prononciations populaires défectueuses. Par exemple pauvre con → pauv’ con.
En ce qui concerne les prénoms, c’est différent, le prénom abrégé tenant lieu de surnom il s’écrit sans signe particulier. Pat – Nat – Ray – Léo – Lou – Max Tom …
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