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Le TLF :
Droit + de + infinitif – Le droit de vivre
Son patron lui réfute le droit d’encaisser rétroactivement son salaire.Droit + à + substantif. Le substantif désigne l’objet du droit] Le dauphin Charles (…) était déchu de ses droits au trône par un document signé de Charles VI
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Vous avez bien compris Marisa.
Pour le trait d’union :
les mots unis par un trait d’union forment une nouvelle unité lexicale. Par exemple un tire-bouchon désigne un objet spécifique, « peut-être » a aujourd’hui le sens de « éventuellement », un porte-manteau est une patère.
–Un chalet-refuge est une construction spécifique.
–La ferme-auberge un établissement différent d’une ferme et d’une auberge.
Mais je ne mettrais pas de trait d’union à « veste pantalon » qui n’est pas un objet en soi mais deux : les noms sont donc juxtaposés.
Il est intéressant de le rapprocher de « costume-cravate » qui prend parfois un trait d’union
-s’il est utilisé (de façon péjorative) par métonymie pour désigner un cadre ou un employé de bureau : Le costume-cravate glissa la main sous sa veste, un petit sourire aux lèvres.
– mais aussi quand il est considéré comme une sorte d’uniforme : Le costume-cravate est la règle vestimentaire à respecter dans de nombreuses entreprises
–Un poney club : on touche là à la syntaxe française pour adopter l’ordre des mots anglo-saxons : l’expansion du nom avant le nom. En français on devrait avoir un club poney : deux noms dont l’un est complément du précédent.
–Un café croissant : un café et un croissant : deux objets donc et donc pas de trait d’union (ellipse du « et »)Cette réponse a été acceptée par Marisa. le 14 avril 2022 Vous avez gagné 15 points.
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Deux noms sont qualifiés par l’adjectif. Ils sot de genre différents (un masculin l’autre féminin). On a donc besoin d’un neutre pour l »adjectif et en français, c’est le masculin qui fait office de neutre :
fours et cheminées industriels .
Si la proximité d’un nom féminin et d’un adjectif masculin s’avère gênante, il suffit, quand c’est possible d’inverser l’ordre des noms :
Cheminées et fours industriels.
Mais à mon avis, on perd en clarté car on ne sait plus si l’adjectif s’applique aux deux noms ou uniquement à « fours » le masculin.- 770 vues
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Ma fille, ils n’ont pas mis longtemps pour/à la localiser. Cela contribuait au grand bonheur que j’éprouvais à trouver ma famille entière à mes côtés.
– mettre longtemps + préposition + à/deLes deux propositions « de » et « à » sont possibles
– Éprouver » + préposition :
« avoir plaisir à faire quelque chose » – avoir du chagrin à faire quelque chose et donc : éprouver du bonheur à faire quelque chose.
Mais dès que le nom COD est défini*, on emploie la préposition « de » : avoir le plaisir de – j’ai le chagrin de – j’éprouve le bonheur de trouver ma famille entière à mes côtés.* le nom peut être défini par un déterminant (le ce mon…), par un adjectif, par un complément du nom, ou par une proposition relative. Le COD (pronom « que ») dans votre phrase reprend le mot » bonheur » qui a un déterminant article (au = à le) : il est donc défini et c’est la préposition t « de » qu’il faut utiliser.
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Les groupes de mots que vous proposez n’appartiennent pas à une phrase.
La fonction d’un groupe de mots étant son rôle dans une phrase donnée, nous ne pouvons pas donner la fonction de vos groupes de mots.- 773 vues
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En effet, aller à l’imparfait + infinitif est le futur immédiat du passé.
Vous pouvez utilisez le semi-auxiliaire « devoir, mais soyez conscient (ou consciente) que vous modalisez :
Cette ville, où elle devait se battre et mourir, était le théâtre de cette guerre.Quelle est cette modalisation ? Avant tout c’est une intrusion du narrateur qui montre qu’il sait ce que le personnage ignore.
Modalité en linguistique : ensemble des faits linguistiques (mode, forme assertive, interrogative ou injonctive de la phrase, adverbes ou auxiliaires modaux) traduisant l’attitude du sujet parlant par rapport à ce qu’il énonce TLF (c’est moi qui mets en gras)
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Outre le fait que la reprise deux fois des mêmes désordres (n’excluent ou n’exclut) pas une troisième réapparition des désordres
J’avoue avoir du mal à comprendre votre phrase.
Étant donné qu’avec reprise on nous sert deux fois les mêmes désordres, on ne peut exclure cette fois une troisième réapparition des désordres.
Est-ce que c’est ce que vous voulez dire ?
Si oui, le problème est contourné.Dans la phrase (peu compréhensible)
– il n’y a pas de sujet au verbe « exclure ».
– « la reprise » n’a pas de fonction
– « deux fois » n’a pas de fonction- 740 vues
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Ce n’est pas pour être contrariante, mais on dit de préférence à la deuxième ligne, quand on renvoie à un passage d’un texte. A la rigueur dans la deuxième ligne mais jamais « sur » sauf s’il y avait une tache sur la ligne.
On peut relever, un mot vieilli à la deuxième ligne.
Dans la deuxième ligne, il est question de lumière.
Je ne peux pas lire, il y a une tache juste sur la deuxième ligne.- 665 vues
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Un beau hibou puisque le H est aspiré. On dit aussi le hibou, ce hibou (et non l’hibou, cet hibou).
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L’idée de base, que j’avais émise.
Participe passé employé avec « avoir » : accord avec le COD s’il est placé avant.
C’est le cas ici « que » pronom relatif, en même temps qu’il relie deux propositions, reprend « idée » et est donc féminin singulier.
Une phrase complète : L’idée de base, que j’avais émise était intéressante. (Phrase à 2 propositions de base : l »idée était intéressante – j’avais émis cette idée)- 1198 vues
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