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En effet, aller à l’imparfait + infinitif est le futur immédiat du passé.
Vous pouvez utilisez le semi-auxiliaire « devoir, mais soyez conscient (ou consciente) que vous modalisez :
Cette ville, où elle devait se battre et mourir, était le théâtre de cette guerre.Quelle est cette modalisation ? Avant tout c’est une intrusion du narrateur qui montre qu’il sait ce que le personnage ignore.
Modalité en linguistique : ensemble des faits linguistiques (mode, forme assertive, interrogative ou injonctive de la phrase, adverbes ou auxiliaires modaux) traduisant l’attitude du sujet parlant par rapport à ce qu’il énonce TLF (c’est moi qui mets en gras)
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Outre le fait que la reprise deux fois des mêmes désordres (n’excluent ou n’exclut) pas une troisième réapparition des désordres
J’avoue avoir du mal à comprendre votre phrase.
Étant donné qu’avec reprise on nous sert deux fois les mêmes désordres, on ne peut exclure cette fois une troisième réapparition des désordres.
Est-ce que c’est ce que vous voulez dire ?
Si oui, le problème est contourné.Dans la phrase (peu compréhensible)
– il n’y a pas de sujet au verbe « exclure ».
– « la reprise » n’a pas de fonction
– « deux fois » n’a pas de fonction- 728 vues
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Ce n’est pas pour être contrariante, mais on dit de préférence à la deuxième ligne, quand on renvoie à un passage d’un texte. A la rigueur dans la deuxième ligne mais jamais « sur » sauf s’il y avait une tache sur la ligne.
On peut relever, un mot vieilli à la deuxième ligne.
Dans la deuxième ligne, il est question de lumière.
Je ne peux pas lire, il y a une tache juste sur la deuxième ligne.- 657 vues
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Un beau hibou puisque le H est aspiré. On dit aussi le hibou, ce hibou (et non l’hibou, cet hibou).
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L’idée de base, que j’avais émise.
Participe passé employé avec « avoir » : accord avec le COD s’il est placé avant.
C’est le cas ici « que » pronom relatif, en même temps qu’il relie deux propositions, reprend « idée » et est donc féminin singulier.
Une phrase complète : L’idée de base, que j’avais émise était intéressante. (Phrase à 2 propositions de base : l »idée était intéressante – j’avais émis cette idée)- 1172 vues
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Joëlle a raison :
Les guillemets d’ironie marquent la distance, l’ironie, le mépris que l’auteur veut montrer vis-à-vis de ce qu’il cite. Ils ont un pouvoir de distanciation et indiquent les réserves de l’auteur par rapport à un mot ou à une expression.Le linguiste Jacques Drillon écrit : « Les guillemets ont deux fonctions principales : on les emploie pour citer, mais on les emploie aussi pour se désolidariser de ce qu’on dit, pour ajouter une distance, une nuance d’ironie ou d’étrangeté. »
(Extraits de Wikipédia)
Lorsque vous écrivez une stratégie dite d’échec , une loi dite de 1946, vous ne mettrez des guillemets que si vous prenez de la distance avec ces appellations. Si vous les prenez à votre compte, les guillemets n’ont pas lieu d’être, ce qui semble bien être le cas ici.Exemples de Linguee et Reverso :
Les réponses allergiques font intervenir le phénomène dit de sensibilisation.
marchandises transformées vers les pays tiers et l’utilisation des produits de ces pays admis au régime dit «de perfectionnement».
L’accent a été mis sur le capital social dit de liaison.
[…]à travers une révision radicale du système dit de « comitologie ».- 1078 vues
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Pour comprendre pour quelle raison il faut un participe passé et non un infinitif :
Les participes passés s’emploient parfois comme des adjectifs :
Un manteau usé/ abîmé/ vieux
Une tasse cassée/ fêlée/ neuve
Une personne agacée/ énervée/nerveuse
être psychologue c’est rester informé/attentif/sérieux/observateur
Les infinitifs jamais. Ils restent des verbes (peuvent parfois être des noms « le coucher » – « le manger »…)
Être psychologue, c’est s’informer, c’est toujours apprendre, se perfectionner
Impossible de lui substituer un adjectif : °être psychologue c’est attentif/sérieux/observateur (non ).- 1318 vues
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Je ne reviens pas sur ce qui vous a été déjà répondu.
Il faut cependant préciser quelque chose : attention de ne pas confondre agent et objet (qui se réfèrent au sens) avec sujet et complément (qui se réfère à la syntaxe)
Votre phrase :
(Compte tenu des circonstances de) l’accident constaté par la police qui est intervenue sur les lieux, nous nous sommes interrogés sur la cause de celui-ci.(compte tenu des circonstances de : n’a pas la bonne place dans votre phrase) l’accident constaté par la police : ce bout de proposition est de forme passive (l’auxiliaire « être » -a été constaté- est omis).
Police est complément d’agent – il est agent (il agit, il fait l’action) mais pas sujet.
Accident, lui, est objet mais pas complément. Il devrait être sujet de a été constaté.à la forme active nous avons : la police a constaté l’accident .
Cette fois-ci, police est agent et sujet et accident est objet et complément.Il faut comme on vous l’a dit, remanier votre phrase. retenons la reformulation de Cathy : Compte tenu des circonstances de l’accident, établies par la police qui est intervenue sur les lieux, nous nous sommes interrogés sur ses causes.
ou encore :
Nous nous sommes interrogés sur les causes de l’accident, compte tenu de ses circonstances, établies par la police.
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Les personnes en situation de handicap m’ont tellement apporté que je souhaite continuer à les accompagner.
Participe passé construit avec l’auxiliaire « avoir ».
On cherche le COD et on accorde avec lui s’il est placé avant.
Ici pas de COD.
|m’| est COI et n’entre pas en ligne de compte dans la règle du PP.- 833 vues
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Attention : comme suit, par la suite et comme suite sont des locutions de sens différents :
« Comme suit » est une locution adverbiale qui signifie « de la façon suivante ».
Exemple : Il a écrit le mot comme suit : « métamorfose » au lieu de « métamorphose ».
« Par la suite » est une locution adverbiale de temps qui signifie « ensuite ».
Exemple : il a d’abord nié. Par la suite il s’est décidé à avouer.« Comme suite » est une locution prépositive qui signifie « à la suite de » pour faire suite à.
Exemple ; Comme suite à mon dernier courriel je vous prie de me faire parvenir d’urgence les documents.
===>par la suite on a divisé les deux heures de la séance comme suit ( 10 minutes d’ouverture :Remarques :
– évitons de faire se rencontrer dans une même phrase les deux expressions « par la suite » et « comme suit » (maladresse). > puis/ensuite/ plus tard…
– après « comme suit » il faut les deux points qui annoncent la suite précisément.- 10430 vues
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