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Bonsoir Juliano,
1. La première phrase présente un inconvénient relativement important : l’idée essentielle (à savoir que, dans ce film, la vérité s’avère fracassante)* ne se révèle qu’après la lecture de la totalité de la phrase. On peut même se demander si la comparaison concerne le traumatisme quand on est en train de lire Dans ce film (-)phare sur le traumatisme, comme des vagues sur les falaises de Shutter Island en pleine tempête.
*La comparaison ne constitue pas l’essentiel.
2. A la violence inouïe n’est pas esthétique stylistiquement parlant.
3. Si le mot violence ne figure pas dans tes énoncés, l’idée de violence, elle, est bien rendue et ressentie (cf. fracassante, tempête).
4. On peut comparer un chose au exprimée singulier à une autre exprimée au pluriel. Il est fort comme deux Turcs.
5. Les vagues relève d’un style un peu meilleur.
Ma proposition : Un film phare sur le traumatisme, où la vérité s’avère fracassante, comme les vagues sur les falaises de Shutter Island en pleine tempête.
Cette réponse a été acceptée par Juliano. le 9 janvier 2019 Vous avez gagné 15 points.
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« Après ta mort, la seule chose qui restera de toi dans cette vie, sera ton souvenir conservé dans la mémoire des autres, et ta propre conscience que tu auras développée. »
Je supprimerais dans cette vie, car ce qui peut rester d’un mort, c’est nécessairement dans cette vie (en l’état actuel des connaissances scientifiques, ce ne peut être dans une autre vie que celle sur Terre, ou dans une mort).
De même, je ne conserverais pas conservé dans la mémoire des autres : le souvenir d’un défunt ne peut être conservé que dans la mémoire des autres = de certains vivants.
==> « Après ta mort, la seule chose qui restera de toi sera ton souvenir et ta propre conscience que tu auras développée. »
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Bonsoir Numeric.
Le Bon usage actuel (§ 903, a, b-1°, ainsi que c, 1° et 2°) traite de la question. Le b, 1°, examine même le cas de l’infinitif postposé à faire et ayant un O.D.
Je ne crois pas qu’on puisse faire d’autres distinctions et exceptions que celles prévues dans ces passages.- 7642 vues
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Bonjour Roland.
Il faut appliquer la règle de l’accord du part.passé employé avec l’auxiliaire avoir, selon laquelle le participe s’accorde avec le CO.D. placé avant lui : On a fatigué qui ? Vous.
Si vous représente un ensemble de personnes de sexe masculin, on mettra le part. au masc. pluriel ==> fatigués.
Si vous représente un ensemble de femmes, on mettra le part. au fém. pluriel ==> fatiguées.
Si vous représente un ensemble mixte (H +F), le part. se mettra au masc. pluriel. ==> fatigués (application de la règle selon laquelle le masc. l’emporte sur le fém.).- 13165 vues
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Bonjour Line.
On doit écrire à les rendre plus compliquées.
« La vie est vraiment simple, mais nous nous acharnons à la rendre compliquée. » (Confucius.)
Cette réponse a été acceptée par Linee. le 30 décembre 2018 Vous avez gagné 15 points.
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Si l’on veut être complet : Je vous ai tirés d’affaire. J’ai tiré d’affaire qui ? Vous = C.O.D. = des hommes, masc. pluriel ==> accord du part. passé tiré au masc. pluriel ==> tirés.
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Doubra, c’est Virginie elle-même qui dit que l’ représente l’ontologie…
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Bonsoir Line.
Construction pronom démonstratif + participe passé + complément : elle a été décriée par l’Académie française dans les années 60 et par Littré notamment. Toutefois, le Bon usage actuel (2017) estime que c’est à tort (et je partage ce point de vue). En effet, cette construction est très répandue, même chez les Académiciens ! Et les deux éminents grammairiens que sont Grevisse et Goosse (le B.U.) de citer de nombreuses illustrations littéraires de cette construction, dont celle-ci :
« Tant pis pour ceux culbutés dans le fossé ou écrasés en route (Guerre d’Esp., xxxviii ). »Ma conclusion : La construction en cause ne peut être considérée comme incorrecte, d’autant que l’Ac. fr. a supprimé sa mise en garde contre celle-ci.
A la question « il faut écrire : Je m’adresse à celles laissées à l’abandon ou je m’adresse à celles qui sont laissées à l’abandon ?, la réponse est : il est possible d’écrire les deux phrases ; il y a lieu tout de même de privilégier la seconde (qui n’a pas fait l’objet de critiques).Cette réponse a été acceptée par Linee. le 29 décembre 2018 Vous avez gagné 15 points.
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Bonsoir Virginie.
Accord du participe passé conjugué avec avoir : s’accorde avec le C.O.D. placé avant lui (s’il existe, bien sûr, un tel complément) :
Aristote a défini quoi ? l’ mis pour ontologie, fém. sing. ==> accord du part. passé au fém. sing. ==> l’a définie.
Cette réponse a été acceptée par VirginieK. le 28 décembre 2018 Vous avez gagné 15 points.
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Bonsoir Caffin.
On écrira : Il vous est proposé un jeu… Il s’agit du verbe être et non avoir.
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