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  • Débutant Demandé le 18 mars 2020 dans Question de langue

    Marqué relève du style oral non soignée.
    … une  pancarte mentionnant «idiot »…   Tout simplement !

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  • Débutant Demandé le 18 mars 2020 dans Accords

    … congé(s) de fin de semaine. !!!

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  • Débutant Demandé le 16 mars 2020 dans Général

    Oui.

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  • Débutant Demandé le 15 mars 2020 dans Général

    Lola, je vous invite à lire ma réponse du 23 décembre 2018 (2° et mon avis final).

    Bien cordialement.

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  • Débutant Demandé le 15 mars 2020 dans Accords

    Bonjour,

    « La BDL rappelle la règle générale, la dérogation et donne des  exemples :

    L’orsque beaucoup de est suivi d’un nom au pluriel, l’accord du verbe se fait avec le complément. Dans certains cas, il est toutefois possible de laisser le verbe au singulier; on met alors l’accent sur l’ensemble qu’exprime beaucoup de.

    Exemples :

    – Beaucoup de végétaux ont été plantés dans le parc de notre quartier.

    – Beaucoup de rêves d’enfants seront réalisés grâce aux dons amassés.

    – Beaucoup de dettes peut faire sombrer dans la dépression. (le fait d’avoir beaucoup de dettes) »

    Dans votre cas, j’écrirais  Beaucoup de membres de la réunion sont muets.

    Malgré la possibilité du verbe au singulier,  Beaucoup de membres de la réunion est muet ne me paraîtrait  guère naturel.

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  • Débutant Demandé le 14 mars 2020 dans Général

    La BDL indique : 

    « Textes juridiques et littéraires

     

    Les nombres s’écrivent en lettres dans les textes juridiques. C’est aussi souvent le cas dans les textes littéraires ainsi que dans certains écrits solennels, dont les invitations. (Pour en savoir davantage sur l’usage consistant à répéter un nombre en chiffres entre parenthèses après l’avoir écrit en lettres, vous pouvez consulter l’article Répétition des nombres en chiffres ou en lettres.)

    Exemples :

    –  Fait à Alma, le cinquième jour du mois de juin deux mille quatre.

    –  Vous êtes invités à une réception le trente et un décembre deux mille vingt-deux à vingt heures.

    –  Le cadastre quarante-deux mille neuf cent soixante-quinze (42 975) appartient à monsieur Alexis Lebeau.

    –  La classe de l’institutrice comptait vingt-quatre enfants tous âgés de huit à dix ans. »

    Qu’on ait choisi les lettres ou les chiffres, il faut se tenir au choix qu’on a fait, par ex. dans le même roman. 

     

     

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  • Débutant Demandé le 14 mars 2020 dans Général

    Bonjour,

    L’excellente BDL indique :

    « Dans les textes littéraires, l’heure et la durée s’écrivent très souvent sous forme entièrement alphabétique.

     Exemple :

     –  Il est cinq heures et, paradoxale, ma ville n’a pas sommeil. »

    Cordialement

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  • Bonjour,

    1° La question de ne explétif ne se pose pas en termes d’obligation (cf. votre faut-il).
    Elle se pose en termes de possibilité : Peut-on employer ce ne après que et, dans l’affirmative, dans quel(s) cas ?

    2° A cet égard, il existe des divergences entre grammairiens. L’Académie française paraît même ne pas être conséquente de nos jours : elle dit qu’il faut éviter l’emploi de ne explétif après sans que, mais ailleurs elle semble bien le le recommander (sic !) en langage soutenu dans un certain cas : 

     « Sans que

    Cette locution conjonctive n’appelle pas l’emploi de la négation. Sans que personne s’y oppose, sans qu’on en ait rien su.
    Mais, dans les propositions introduites par sans que, lorsqu’elles s’insèrent dans un contexte négatif, on peut utiliser le ne dit explétif, que n’exige pas la correction grammaticale, mais qui est recommandé dans la langue soutenue. Il vient sans qu’on l’en ait prié, Il ne vient jamais sans qu’on l’en ait prié ou sans qu’on ne l’en ait prié sont toutes des phrases correctes. Seule la phrase Il vient sans qu’on ne l’en ait prié serait fautive. »

    3° Il faut savoir que beaucoup de grammairiens critiquent ne explétif après sans que  parce que sans est négatif à lui seul,  même si l’usage littéraire  n’est guère sensible à ces critiques.

    4° Compte tenu de ce qui précède  (2° et 3°), il y a longtemps que j ‘ai abandonné l’emploi de ce ne après la locution après que  : c’est plus simple et pas fautif.  Et je ne suis pas le seul :
    -voyez la réponse de Chambaron  ici ; 
    – voyez ce billet de l’excellent Marc.

    5° Mes conclusions pratiques 
    N’employez pas le ne explétif dans vos trois phrases soumises. Ne l’utilisez plus après sans que (vous n’aurez plus à vous poser de question, et l’absence de ce ne  ne sera pas fautive  puisque,  au mieux,  il est facultatif par définition.

    Cordialement

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  • Débutant Demandé le 13 mars 2020 dans Question de langue

    Bonjour,

    On dit ont conquis d’autres droits.

    Cordialement

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