Oui effectivement ce n’est pas le sens auquel je pensais !
C’est « soumettre à une condition » et c’est la collaboration qui serait conditionnée.

Donc il s’agit plutôt de la forme passive :  la maîtrise pleine et entière de ma fonction conditionnera notre collaboration et donc notre collaboration sera conditionnée par la maîtrise pleine et entière de ma fonction.

ou encore : notre collaboration sera soumise à la maîtrise pleine et entière de ma fonction.

Bonjour xalef.

Effectivement court-circuiter est d’usage familier.

On peut proposer :
Sans craindre de ne pas être impliqué, au risque de perdre toute légitimité et tout crédit.
Sans risque d’être mis de côté/d’être écarté et de perdre ainsi en légitimité
Sans craindre de ne pas prendre votre avis en considération au risque de perdre toute légitimité.

Bonjour xalef.

Ici conditionner a le sens d’influencer le comportement de quelqu’un, et vous voulez dire qu’elle sera formée de telle sorte qu’elle puisse maîtriser parfaitement la fonction.

« elle sera conditionnée par… » correspond à la forme passive et équivaut à « la maîtrise pleine et entière de ma fonction la conditionnera ». Cela n’a pas de sens.

On dira plutôt : « elle sera conditionnée de façon à maîtriser parfaitement ma fonction » ou  » elle sera conditionnée pour la maîtrise pleine et entière de ma fonction »

Bonjour Janine.

Servir est une verbe transitif et occasionnellement pronominal (réfléchi).
L’accord du participe passé se fait alors avec le COD s’il est placé avant l’auxiliaire (comme pour le participe passé avec avoir).

Pour trouver le COD, on remplace l’auxiliaire être par avoir : je me suis servie = j’ai servi quoi ou qui ? m’, mis pour je, placé avant l’auxiliaire, donc accord avec le sujet.
Le genre dépend donc du genre de la personne qui parle !
Ces outils, je les connais car je m’en suis servie s’il s’agit d’une femme.
Ces outils, je les connais car je m’en suis servi, s’il s’agit d’un homme.

En, qui représente les outils,  est COI (on se sert de quelque chose), donc n’intervient pas dans l’accord (et s’il était COD, étant neutre, servi serait au masculin singulier).

Bonjour fpaggi.

Traiteur est ici un nom mis en apposition d’un autre nom (produits) pour le caractériser à la façon d’un adjectif (« nom épithète »).

Dans votre exemple, traiteur vient apporter un complément d’information sur la provenance du produit, son mode de préparation.
Il faut préciser le sens apporté par traiteur.
Produits traiteur(s) peut signifier produits préparés par plusieurs traiteurs différents ou par un traiteur en particulier désigné sur l’emballage ou que vous nommez.
Selon le cas vous utiliserez le pluriel (produits traiteurs) ou le singulier (produits traiteur).

http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?t1=1&id=4661

Bonjour LeDonk.

J’aurais volontiers encadré ces adjectifs par des virgules, pour souligner l’état dans lequel se trouve Sophie, en plaçant éventuellement les adjectifs en début de phrase.

« Sophie, tremblante, s’en alla. »
« Sophie, vexée, remonta la grande rue. »
« Sophie, vacillante, lui coupa la parole. »

«Tremblante, Sophie  s’en alla. »
« Vexée, Sophie  remonta la grande rue. »
« Vacillante, Sophie  lui coupa la parole. »

Bonsoir trinitysg69.

Dans la locution « flambant neuf »,
flambant est toujours invariable
et neuf peut varier en genre et en nombre ou rester invariable.

Vos deux propositions sont donc correctes.

Bonjour Ivan.

Gardes-en un (livre).
Livre est sous-entendu, il s’agit d’une ellipse.
Un reste un article indéfini utilisé avec le pronom en. On ne doit pas mettre de trait d’union après en.

Bonjour franck.

Vous vous demandez comment différencier le participe passé (-é) de l’infinitif (-er) d’un verbe du premier groupe puisque l’oral ne le permet pas : é ou er ?

Le participe passé, terminé en é, est utilisé dans la forme composée d’un verbe conjugué, le plus souvent le passé composé, et il est alors associé à l’auxiliaire avoir ou l’auxiliaire être.
J’ai mangé des fruits, ils ont acheté un canapé, nous sommes restés longtemps cachés…

Si vous trouvez un auxiliaire conjugué avant un verbe, vous savez que c’est un participe passé qui suit.
De façon pratique, remplacez le verbe du premier groupe par un verbe du troisième groupe dont le participe passé est bien différent à l’oral, de l’infinitif.
J’ai voulu des fruits ou j’ai vouloir des fruits ? Vous éliminez facilement l’infinitif.

La difficulté peut venir de la distinction entre a, forme conjuguée de avoir, qui sera suivi par un participe passé et la préposition à, suivie par un infinitif !
Mettez la phrase à l’imparfait. Si la phrase garde un sens il s’agit bien de l’auxiliaire avoir ( a -> avait).
Il a mangé des fruits ->Il avait mangé des fruits. C’est correct, c’est donc bien l’auxiliaire a
Il est prêt à manger -> Il est prêt avait mangé ? Non, cela n’a aucun sens, il s’agit de la préposition à, qui réclame un infinitif : il est prêt à manger.

Donc : Papa a mangé la mangue de tati.
Papa avait mangé la mangue de tati : il s’agit bien de l’auxiliaire avoir, suivi d’un participe passé.
Papa  a perdu la mangue de tati et non pas Papa a perdre la mangue de tati : il s’agit bien du participe passé.

Bonsoir Estudiantin.

C’est une très bonne question.

& était beaucoup plus largement utilisé auparavant, mais semble être,  aujourd’hui, essentiellement réservé aux noms d’entreprises pour remplacer la conjonction de coordination et  entre deux patronymes, prénoms ou initiales, ou dans des expressions telles que & Fils, & Frères, & Associés, & C^ie.

http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?t1=1&id=3330

Bonne soirée.