Bonjour Renaud1974,

Je pense que ni l’un ni l’autre n’existe et n’est approprié pour l’usage que vous voulez en faire.

L’empreinte carbone est une estimation de la quantité de gaz à effet de serre (en particulier de dioxyde de carbone) émise par une activité.

On peut baisser l’empreinte carbone en réduisant l’émission de gaz à effet de serre, mais je ne trouve pas de mot existant, ayant cette définition.

Bonjour cyrielle3,

Sur peut avoir un sens abstrait et pourrait indiquer en particulier la direction d’un mouvement.
Ici il n’y a pas de notion de déplacement, et il est préférable d’utiliser « dans« .

Votre conseiller régional sera dans votre secteur.
Votre conseiller régional doit se rendre la semaine prochaine  sur votre secteur .

Bonjour marsupilami.

il faut distinguer « leur » pronom personnel et « leur » adjectif possessif.

« leur » adjectif possessif est le pluriel de son, sa, ses et indique que le « possesseur » est au pluriel.

Paul a marié sa fille
Paul et Marie ont marié leur fille

Il est placé à côté du nom désignant l’objet possédé et s’accorde avec lui : leur s’il n’y a qu’un objet possédé, leurs s’il y en a plusieurs.
Paul et Marie ont marié leur fille.
Les arbres ont perdus leurs feuilles.

« leur » pronom personnel, désigne des personnes ou des objets qu’il remplace pour éviter la répétition.
Les pronoms personnels varient selon le ou les choses ou personnes auxquelles ils font référence, et selon leur fonction (sujet, COD, COI).
Ainsi « leur » est un pronom personnel de la troisième personne du pluriel qui a la fonction de COI.
Il est invariable.
Le professeur explique la règle à Martin -> Le professeur lui explique la règle.
Le professeur explique les règles aux élèves -> Le professeur leur explique les règles.

Dans votre phrase, « leur » est un adjectif possessif., placé à côté de l’objet « possédé », la situation.
Le « possesseur » est « les parcelles ».
Il s’accorde avec « la situation« , qui est singulier, donc « leur » est au singulier.

Nous ne nous portons pas acquéreurs de ces parcelles car leur situation et leur(s) surface(s) ne permettront pas d’aménagement.

Bonjour IslMoos,

Tel que s’accorde avec le nom qui le précède. La virgule doit être supprimée.

« […] pour autant qu’il n’occasionne pas des dérives telles que la recherche du contrôle de l’information par les investisseurs. »

En revanche quand tel  introduit une comparaison, il s’accorde avec le nom ou le prénom qui le suit : Certains oiseaux, telles les perruches à collier, sont de plus en plus envahissants ! La virgule est nécessaire.

Cordialement.

Bonsoir Bene.

Le participe passé employé avec avoir, des verbes
– intransitifs (qui n’ont pas de complément d’objet) ex. rire, persister…
– transitifs indirects (dont le complément d’objet est construit avec une préposition) ex. douter, participer…
– impersonnels (qui s’emploient avec le pronom neutre il) ex. pleuvoir, neiger…
reste toujours invariable puisque ces verbes n’ont pas de complément direct avec lequel s’accorder.

Pourtant certains de ces verbes peuvent être employés avec un sens transitif.
Vivre fait partie de ceux-là :
– intransitif : les plantes vivent -> les plantes ont vécu (invariable, car pas de COD)
– transitif : vivre une période difficile -> la période difficile qu’ils on vécue (accord avec le COD, qu’ mis pour période, placé avant le verbe)

Pour compliquer les choses cependant, il ne faut pas confondre le COD (comme dans l’exemple précédent) avec le complément circonstanciel de temps : au cours les dix années que j’ai vécu loin de toi.  (J’ai vécu COMBIEN DE TEMPS ? : que mis pour dix années = COI et non pas COD)

Elles font souvent l’inventaire des diverses formes d’amitié qu’elles ont vécues jusqu’ici.  (elles ont vécu QUOI ? qu’ mis pour formes, placé avant le verbe, donc accord)

Cela concerne tous les verbes qui expriment une mesure, une quantité, une durée :
il regrette les cinquante mille euros que lui ont coûté ces réparations (les réparations lui ont coûté COMBIEN ? que mis pour cinquante mille euros, COI et non pas COD)

Bonsoir Bene,

Si auto fait référence à l’automobile :
– s’il est placé en premier dans le mot composé, il n’y a pas de trait d’union : autoroute.
– S’il est à la fin du mot composé, il est rattaché par un trait d’union : siège-auto.

Si auto signifie « soi-même », il est soudé au mot qui suit sauf celui-ci commence par un i ou un u et très souvent s’il commence par un o : autosatisfaction, auto-immunité.

autodénomination mais se dénommer (sinon il s’agit d’un pléonasme car le verbe pronominal réfléchi renvoie déjà à soi)
autodésignation mais se désigner
autoproclamation mais se proclamer
autoentrepreneur
autodérision

Je vous renvoie vers un autre site canadien.

http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?t1=1&id=1028

Bonjour IslMoos.

Les accords de cette phrase sont corrects si ce sont les fonctions qui sont « citées  » dans le paragraphe. Mais il manque une virgule après journaux pour bien le comprendre. Sans virgule, on doit considérer que ce sont les journaux qui sont « cités ».

« Citées » est un participe passé utilisé comme adjectif, et s’accorde avec le nom auquel il se rapporte :
– fonctions : « Les fonctions que remplissaient les journaux, citées dans le paragraphe précédent, n’ont à ce jour pas considérablement changé ».
– ou journaux : « Les fonctions que remplissaient les journaux cités dans le paragraphe précédent, n’ont à ce jour pas considérablement changé ».

« Changé »  est ici intransitif ( = être modifié) et ne s’accorde pas.

L’adjectif familier « cool » (calme, détendu), est un anglicisme apparu en France vers 1970.

http://www.cnrtl.fr/definition/bhvf/cool

Bonsoir Bene.

Devant un nom selon et suivant s’emploient indifféremment.
Devant un pronom on emploie selon : selon moi.

Vos phrases sont donc équivalentes, sans nuance de sens.

http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/selon/71921/difficulte

Cordialement.

Bonsoir thibthib,

Le verbe de la subordonnée complément circonstanciel de condition introduite par si  ne se met jamais au conditionnel. On peut donc être choqué de lire ou d’entendre une subordonnée introduite par si, dont le verbe est au conditionnel (passé ici).

Mais c’est même si qui introduit la subordonnée et même si n’indique pas une condition, mais une restriction ou une concession. Dans ce cas, comme avec excepté que, sauf que, si ce n’est que, sinon que, le verbe se construit avec l’indicatif ou avec le conditionnel.

Ces deux emplois sont intéressants, même si celui-ci me conviendrait mieux.

La construction de la phrase est donc correcte.