6135
points
Questions
1
Réponses
967
-
Votre question est intéressante ( du moins pour moi).
En effet, on utilise en pour remplacer un complément introduit par de et y pour remplacer un complément introduit par à.
Il s’avère qu’accès accepte des compléments introduits avec les deux prépositions.
« Les accès des wagons se situent à l’arrière de ceux-ci. »
« L’accès aux wagons est interdit dès 20 heures.«Dans votre phrase, je l’écrirais, sans savoir dire pourquoi, sous la forme : « Ces documents étaient mal rangés. Un classement a été réalisé pour en faciliter l’accès.«
Attendons donc les autres réponses
- 2473 vues
- 4 réponses
- 2 votes
-
Bonjour,
Les choses est COD du verbe dire dans votre phrase, pas du verbe prévoir. ce dernier étant conjugué avec l’auxiliaire avoir, il reste invariable.
-> « toutes les choses que j’avais prévu de dire. »
- 697 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
Je pense ne pas avoir été assez explicite :
Arguer de implique un but, une volonté, une finalité
Arguer (que) implique une justification, une explication.
Dans la phrase de Marisa, telle qu’elle est présentée je ne perçois (peut-être suis-je le seul ?) aucune finalité : le haussement d’épaule étant la conséquence et non le but de l’indécision.
Le contexte dans lequel cette phrase est écrite peut, sans aucun doute, préciser ce but. Ou non.
- 1082 vues
- 5 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
1. « Arguer de…pour » mais pas « arguer de …que ».
La phrase correcte est : « Elle hausse les épaules, arguant une prétendue indécision que son ami ne semble pas prêt à croire . »2. Que relatif à eux, donc « Pour eux que ce long voyage avait habitués à la frugalité, il s’agit d’un festin de roi. » J’ajoute que je conjuguerais soit habituer au passé composé, soit agir à l’imparfait ou au passé simple.
3. J’écrirais sans hésiter : « Elle vacille, la flamme qui qui l’animait lorsqu’il narrait… » ; je n’ai jamais croisé la formulation animer à +verbe.
- 1082 vues
- 5 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
Lorsque il y a deux compléments introduits par de de dans la relative, l’usage de « dont » comme pronom relatif est proscrit.
« De toute évidence, il ne veut plus qu’on lui cause du pays dont il vient. » -> Il vient de toute évidence du pays.
Le pronom relatif correct est alors : duquel (de laquelle, desquels, etc.)
« De toute évidence, il ne veut plus qu’on lui cause du pays duquel il vient. »
- 1317 vues
- 8 réponses
- 1 votes
-
Bonjour,
Le sens commande le pluriel pour ma part : « C’est l’une des seules régions à ne pas être occupées » -> occupées est ici quasiment attribut de « seules régions ».
- 5287 vues
- 4 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
dans votre phrase les opportunités son COD du verbe saisir, pas du verbe manquer.
En conséquence l’auxiliaire étant avoir, il n’y a pas lieu d’accorder.
- 605 vues
- 1 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
j’ai cette phrase « Rien que de m’imaginer là-bas, j’ai peur. » Est-ce correct ? Oui.
J’ai peur (à l’idée = rien que ) de m’imaginer là-bas.
- 1488 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
Si lorsqu’il introduit une condition est suivi de l’indicatif.
(Par ex. : si je fus surpris et non si je fusse surpris)C’est bien le passé simple qu’il faut utiliser.
- 1282 vues
- 5 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
pour ma part, le trait d’union n’a aucun rapport avec le figement ou non de l’expression.
C’est uniquement le signe d’une lexicalisation, c’est à dire que le concept décrit par le mot ainsi composé possède un sens différent de chacun des termes qui le compose :
Un jambon-beurre, ce n’est pas du jambon et du beurre, c’est un sandwich. Aucun des deux termes ne précise l’autre.
idem pour le poulet-frites, c’est un plat, pas une façon d’accommoder le poulet, ni une façon de servir les frites comme peut l’être un poulet Marengo ou une sauce aurore.
En revanche, tendresse caractérise, précise, la pause, je ne mettrais pas de trait d’union.
- 1087 vues
- 2 réponses
- 0 votes
