Bonsoir,

1. Il est évident si l’on considère le sens qu’il y a ici un seul sujet. On peut en rajouter que le singulier serait toujours requis :
« Cette terrible vision, ce sentiment d’effroi, cette horreur innommable, (quoi que ce soit ces 3 locutions désignent le même sujet) la laisse décontenancée.

2. Le singulier pour la même raison, mais le sens voudrait que les deux  termes soient intervertis :
Il portait une cuirasse qu’aucune épée, aucune lance ne pourrait  transpercer.

3. Envers quelqu’un signifie à l’égard de quelqu’un, Vous ne pouvez pas avoir une requête à l’égard de quelqu’un.

Si votre requête porte sur la personne, une tournure correcte serait par exemple : « il a une requête à son sujet » ou « …la concernant » ou encore « …qui la concerne »

Bonjour,

Vous n’avez pas rencontré une sélection mais des cas parmi lesquels une sélection a été faite.

« une sélection de cas que j’ai rencontrés »

De même vous écririez : « une sélection de cas que j’ai faite »

Bonjour,

Elle éclata d’un rire sonore et s’écria : « Comme vous êtes spirituel ! »

Guillemets

Bonjour,

Si symbole et parfum représentent une famille, je laisserais au singulier.

Bonjour,

Il est nécessaire de se conformer aux usages imposés ou préconisés par votre entreprise.

Si l’écriture inclusive est en vigueur au sein de cette dernière, alors usez du point médian, qui n’est pas le même que le point final : HOMMAGE À NOS PRÉSIDENT·E·S

Pour inclure ce point · , sur un clavier géré par Windows, je tape en maintenant la touche Alt enfoncée : 0183

Bonjour,

Virgules ou non, cette phrase est incorrecte :

Voire a pour fonction de renforcer, de renchérir sur un terme, une locution.

Si vous gardez ce voire et considérez que la pluie est un renchérissement du vent ( ce qui est poétique mais pas très météorologique),  il vous faut écrire :

« Seul le vent voire la pluie pourra me soulager. » bien que l’utilisation de voire après seul me paraisse pour le moins inadéquate.

Si ce qui est proposé n’a pas vocation à être un renchérissement mais une alternative alors vous avez deux possibilités :

« Seuls le vent ou la pluie pourront me soulager. » (ou inclusif)

« Seul le vent, ou la pluie, pourra me soulager. » La mise entre virgules précisant le caractère exclusif de l’alternative.

Bonsoir,

Oui est autonome, invariable, monosyllabique, il marque l’assentiment affirmé et peut être supprimé sans que le sens de la phrase n’en soit changé, il a toutes les qualités une interjection.

– Il y a peu de doute oui !
– Elle découche parfois oui ! mais elle me prévient toujours.
– J’ai fouillé ta chambre oui !
– C’est ma faute oui !

Bonsoir Marisa,
Votre phrase 4 est une anacoluthe : les deux cent cavaliers ne sont pas le sujet de « être hebergé », que l’on considère le groupe comme une entité ou les deux cent unités.
Il vous faut écrire cela différemment : « Deux cent cavaliers sont réunis et il ne sera pas toujours possible qu’ils soient hébergés dans les locaux disponibles. »

Bonjour,

pour ma part la première et la troisième sont effectivement des anacoluthes.
Pour le seconde, je dirais non, « fidèle à ses convictions » est épithète détachée du sujet il, alors que « Après plus de vingt ans à chasser, à guerroyer » ne qualifie pas le sujet de la phrase, les rides, pas plus que : « Étant l’épouse de l’empereur germanique »,  cela représentant la succession supposée de l’héritière.

Bonsoir,

Après « comme tous les ans », vous avez le choix avec tous les temps de l’indicatif.

C’est ici le locuteur, celui qui prononce *comme tous les ans »,  qui donne la bonne réponse.

S’il est en train de ramasser avec d’autres personnes, conjuguez au présent.

S’il annonce à d’autres personne qu’ils ramasseront plus tard, conjuguez au futur, etc.