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Le subjonctif est obligatoire dans les subordonnées qui suivent un verbe exprimant le doute, l’hypothèse, le désir et certains sentiments.
Je veux que tu viennes, je doute que cela te plaise, je suis contente que tu sois là ou … que tu aies pensé à moi.- 38784 vues
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Les avis sont partagés, il faut suivre les conseils du directeur de thèse et s’enquérir des usages des membres du jury, ou de la profession exercée (pour un rapport professionnel), ou du destinataire. Certaines habitudes sont ancrées.
Le mieux est de rester proche de la réalité : si l’action (y compris celle de penser) est réalisée par une seule personne, éviter le « nous » un peu ronflant. Mais, le « je » peut être perçu comme prétentieux. Il est en revanche souhaité pour le témoignage, ou pour montrer son implication.
La formulation impersonnelle peut être allégée : au lieu de « il a été procédé à une analyse linguistique de… », il est préférable d’écrire « l’analyse linguistique de … démontre que ou met en exergue… »; cette formule permet de mettre en valeur les seules idées et la démonstration devant lesquelles le locuteur (je ou nous) s’efface.- 7076 vues
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La première correspond au style écrit ; la seconde est plus « orale » mais correcte aussi.
Puisque vous rédigez, la première est parfaite.- 9067 vues
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Il s’agit plutôt du nous de majesté (ou de modestie) ! En ce cas, le verbe reste au singulier et s’accorde en genre…
S’il y a un réel collectif « derrière » ce nous, utilisez le pluriel ! Nous nous sommes servis, ou nous avons utilisé, etc.Pour ma part, je ne verrais aucun inconvénient à ce que vous employiez le pronom personnel « je » car vous allez signer le rapport et le signataire sera unique. Il n’y aura donc pas d’homogénéité entre le signataire et le pronom de conjugaison. En outre, utiliser le « nous » tout au long du rapport s’il est évident que vous avez oeuvré seul paraît curieux et alourdit la rédaction. Tout dépend bien sûr des usages en vigueur dans votre profession et de votre destinataire.
Autre solution, la rédaction neutre : l’instrument utilisé est …, celui-ci a … Il apparaît que … Des désordres ont été constatés. Ce n’est guère plus léger.
Bon courage !- 8544 vues
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« Tickets à retirer dans les magasins adhérents de la fédération. » Voilà la bonne formulation car il ont adhéré, on ne fait pas référence à l’acte d’adhérer mais à leur statut d’adhérents. Ils sont bien adhérents de la fédération mais ils ont adhéré à la fédération.
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Votre phrase doit être complétée. Voici la règle générale.
Adhérant est le participe présent et adhérent est le nom commun. Les deux existent, mais leur emploi diffère.
Ce sont les magasins qui adhèrent = les magasins adhérant à la fédération auront de nombreux avantages. (c’est bien une forme verbale rappelant l’action d’adhérer) à la fédération.
Les magasins seront adhérents de la fédération (résultat de l’action).
En adhérant à ce club, vous aurez des contacts. Vous en serez l’un des adhérents.Il y a un certain nombre de termes qui n’ont pas la même orthographe comme adjectif verbal, nom ou participe présent.
Fatigant (adjectif) : un travail fatigant
en vous fatiguant ainsi, vous allez perdre vos forces. (participe présent et même gérondif).
Résident : nom commun Les résidents du foyer
Résidant à Paris depuis longtemps, je suis une parfaite citadine.(participe présent); vous pouvez remplacer par la forme verbale « parce que je réside à Paris… »- 168482 vues
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Le bon usage admet les deux ; ne pas employer « à l’avance » moins correct, voire incorrect.
J’utilise par avance qui a l’idée d’anticipation : » je vous remercie par avance pour les réponses que vous m’apporterez » (j’anticipe car vous allez me répondre, c’est sûr).- 905190 vues
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Deuxième s’emploie lorsque l’énumération peut aller au-delà de deux ; alors que second s’emploie lorsqu’il n’y a pas de troisième. C’est donc le dernier.
C’est pour cela qu’on parle de la Seconde Guerre mondiale parce qu’on espère qu il n’y en aura pas de troisième !
J’ai tendance à l’employer ainsi, comme dans les livres d’histoire.- 13320 vues
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Non, les deux sont synonymes et peuvent s’utiliser avec l’adjectif de deux façons.
− De manière, d’une manière + adj.Pour le nom façon, j’aime bien :
De ma, ta… façon : je vais vous donner une explication de ma façon.- 6524 vues
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Non il s’agit de l’emploi de tout comme adjectif et non comme adverbe :
Adj, « toute la vie » (la totalité de la vie)
Adv, « tout content »Adj. indéf. A l’appui, le CNTRL :
A. − [Marque l’idée d’intégralité]
1. [Précède un déterm. du subst. (art. déf., art. indéf., adj. poss., adj. dém.) ou bien précède un pron. (dém., pers., poss.) ou encore un nom propre]
a) [Pour marquer l’intégralité d’un espace (au propre ou au fig.), d’un volume, d’une durée, d’un processus, d’une collection, d’une masse ou la plénitude d’une réalité]
− [D’un espace, d’un volume] Tout l’univers; tout le pays; tout le long de; toute une partie de; sur toute la ligne*. Visite à la Princesse, qui est tombée hier dans l’escalier et qui a tout le bras droit ankylosé (Goncourt, Journal, 1894, p. 675).
− [D’une durée] Toute la journée; tout cet été; tout un hiver; avoir tout son temps*. De tout le repas il ne prononça pas une parole (Châteaubriant, Lourdines, 1911, p. 248).
− [D’un processus] Nous nous rendons avec lui chez M. Martin, à qui nous racontons toute l’histoire (Gide, Voy. Congo, 1927, p. 809).
− [D’un ensemble, d’une collectivité] Toute la récolte; toute la classe; tout le quartier (« les habitants du quartier »); toute la population; toute la somme; tout le monde*. Tout l’hôtel, en un moment, fut sur pied. On courut chercher du secours (Bourges, Crépusc. dieux, 1884, p. 339).- 18473 vues
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