Ne pas confondre :
– la forme pronominale : je me suis confié à un ami (passé composé)
– la voix passive : cet objet est confié à une personne raisonnable (présent)

Pour votre information, le verbe « confier » à la voix passive et au passé composé serait ; l’objet a été confié à une personne raisonnable.

Je ne pense pas que l’on puisse confier une personne mais seulement un objet.
Vous avez été adressé à un dentiste fiable. (voix passive)
Un bon dentiste vous a été recommandé. (id. )

Le conditionnel est l’expression d’un souhait, d’une projection. Peut-être que par ellipse, on se déclare désireux d’être informé (on ne pourrait souhaiter être curieux, quoique…)

Il n’est pas étonnant ni aberrant de préciser un adjectif par un complément (cplt de l’adjectif); c’est même souhaitable, parmi les multiples exemples :
je suis capable … (en général) / capable d’escalader cette montagne.

On ne peut être curieux de tout et l’on peut préciser par quoi l’on est intéressé.
La langue française est très riche et parfois, certains adjectifs ne sont pas suivis de compléments :
– je suis gourmand/gourmet
– je suis friand de pâtisseries.

Elle a laissé sa chambre en désordre (le désordre) et les appareils étaient en morceaux (plusieurs morceaux). Il y a une certaine logique et pas une règle spécifique. Vos mégots ne peuvent pas se retrouver en un seul confetti (ou alors un gros…).
Je ne comprends pas votre question sur le manque / l’absence de contrôle,  il faudrait une phrase.
Enfin, pour Larousse, sans encombre est une locution adverbiale et donc elle ne prend pas la marque du pluriel.

Je viens de faire ce que vous m’avez dit. (passé composé)
La personne qui parle ne peut faire que ce qui a été dit avant.
Je viens de faire ce que vous m’aviez dit. (plus que parfait)
On peut – en ce cas – faire référence à un conseil qui se situe avant une autre action sous-entendue. Mais c’est un peu improbable. 

Il est fort parce que grand : c’est possible.
Leur foi n’était résistante que parce que joyeuse » : c’est un peu inélégant ces deux « que »
Leur foi était résistante parce que joyeuse.
La résistance de leur foi s’expliquait par son caractère joyeux.

quoi que ce fût : est au subjonctif imparfait, il est correct avec un autre verbe au passé.
Il était trop bête pour comprendre quoi que ce fût

On pourrait laisser « quoi que ce soit », c’est admis aujourd’hui dans la langue courante.

Qui est l’auteur de la bravade ?
Si c’est lui, je mettrais auprès de cette femme ou envers…
Mais attention au sens précis de bravade…

« Rejointe » est juste car le pronom Cod l’ représente une fille.
C’est comme : « la toile que j’ai peinte est belle ».

En effet, on peut employer les deux :
– Il s’est vu rétrograder : action 
– Il s’est vu rétrogradé : résultat de l’action