Vous en avez tant : bien sûr, c’est vrai, absolument, évidemment, nettement, l’horrible « tout-à-fait »….
Il y a des nuances (soit est moins affirmatif : résignation ; certes annonce peut-être une contradiction = on fait une concession) ; à vous de chercher les significations et de les adapter au contexte de votre écrit.
Pour une question fermée : « Es-tu venu hier ? » – oui / non
Notre époque qui pratique l’inflation langagière pourrait apprécier : « Es-tu venu hier ? – Absolument… », mais je n’en vois pas l’intérêt ; en tout cas, ce serait permis et cela signifierait sans doute quelque chose (une insistance…).

Vous avez les
– points abréviatifs, y compris après etc.
Si l’abréviation qui termine la phrase figure entre parenthèses, le point final est de rigueur :

Le mot « nénuphar », qui nous vient du persan nelufar, s’écrivait naguère « nénufar » (début du XXe s.).

– Les points de suspension (exclamation et interrogation) aussi et les points (médians) de l’écriture inclusive. Bien sûr le « deux points » 

Apparemment, j’en ai oublié : 
voir ici. point décimal, points diplomatiques et lignes de points….

Il me semble que cette écriture est déjà assez étrange, donc il vaudrait mieux selon moi privilégier la « norme » avec les
points médians (les étudiant·e·s.) ; histoire de ne pas ajouter de la fantaisie à la bizarrerie.

Voici un article intéressant qui illustre les choix. 

mis : est un participe passé qui doit s’accorder ici avec le sujet, vu qu’il y a l’auxiliaire être
==> mises en évidence

vous m’avez demandé.
on n’accorde pas le PP avec le COI.
or vous est COI.

On ne doit pas faire l’inversion dans vos phrases, car ce sont des interrogations indirectes ou alors l’interrogation n’est pas présente comme dans votre 2e.
Attention : quelqu’un sait-il ? là est l’interrogation.

Oui c’est clair et bien ponctué.

La première n’est pas correcte car le verbe exploser est intransitif (sans complément).
La seconde est plus grammaticale mais le sens est plus flou, ou alors très très figuré. Manque de contexte sans doute.

Il n’y a pas de fautes.

En fait, l’abus actuel consiste à remplacer « plan » ou « organisation » ou même programme par ce déroulé, qui est bien inutile.
Déroulement c’est plus simple, mais ça n’a pas le même sens. 
Donc en fait, et comme toujours se demander ce que l’on veut dire…et si les autres vont nous comprendre.