Profond est un adjectif : il doit s’accorder avec un nom commun.
Là, il faut employer l’adverbe « profondément ».
Les yeux profondément cernés de gris.
Les yeux profonds ou le gris profond n’allant pas dans votre phrase.
Il a creusé profondément.

Le participe Passé employé avec avoir Ne s’accorde pas avec le sujet.
Comme il n’y a pas de cod, on écrit »laissé ».

Les adjectifs grand bon, frais ayant une valeur d’adverbe doivent malgré tout s’accorder :
Les yeux grands ouverts.

Oui c’est juste ; avec l’auxiliaire être on accorde avec le sujet qui est ici sous -entendu.
Ce sont des femmes et elles apparaîtront dans la proposition principale qui suit la proposition infinitive :
Après être allées goûter, elles sont parties.

Il n’est pas multiplié : 120 c’est 100+ 20

Je me suis laissée tomber. 
car « elle » est aussi sujet du verbe tomber.
Toutefois, depuis 1990, on considère que « laisser » suivi de l’infinitif reste invariable.

La forme correcte est :
Que s’est-il passé ou qu’est-ce qu’il s’est passé ? 
Pourquoi ?
à l’affirmative : il s’est passé quelque chose de prodigieux…ou il s’est passé une chose incroyable.

En général, on emploie QU’IL lorsque le verbe est ESSENTIELLEMENT impersonnel.
* Il faut CE QU’IL faut. Voilà CE QU’IL vous faut.
* Je ne sais pas CE QU’IL y a.
* Voici ce qu’il convient de faire

Toutefois, on peut dire aussi bien :
– on verra ce qu’il se passera (un événement se produira; il est précis)
– on verra ce qui se passera  (il se passera quelque chose, « il » est le sujet impersonnel car on ne précise pas l’événement)
« Ce qui s’est passé » est employé lorsque le pronom qui renvoie à un antécédent.

– il sait ce qui lui reste à faire ou ce qu’il lui reste à faire.
(même analyse au sujet de l’antécédent)
* Le peu d’argent QUI lui restait. (Stendhal)

Toutefois, l’usage est fluctuant quand le verbe est impersonnel ou personnel.
* Choisis CE QUI te plaît. (= ce qui t’attire)
* Choisis CE QU’IL te plaît. (= ce que tu voudras., sous-entendu : ce qu’il te plaît de faire.

Les règles typographiques de l’emploi de l’italique sont connues et peuvent justifier cet effet. J’y vois un effet d’insistance et de mise en valeur qui s’apparente à la liberté de l’auteur.  Les mots sont déjà redondants par le sens.

« Je suis flatté d’avoir été présent dans tes pensées », me paraît plus clair et moins ampoulé.

Je ne suis pas sûre que les tournures soient très correctes, plutôt du style oral (je ne comprends pas bien le sens)

– Les actions sont supposées (ou censées) traiter. (ce sont elles qui devraient traiter)
– Les actions sont censées ou supposées être traitées (ce qui ne signifie pas grand-chose sans contexte)

Le participe passé du verbe supposer signifie qui est admis comme possible ou présenté comme vrai.
Donc j’écrirais plutôt : les actions supposées, ou les actions que l’on pense traitées. Enfin ce n’est pas très heureux, il faudrait bâtir une phrase avec une formulation plus directe.
Je (on, nous) présume(ons) que ces actions ont été traitées ou traitent de…