ma mère est née le 15 mars 196…
Le passé composé est de rigueur car l’action est passée et non parce que la personne est morte.

En principe, subjonctif avec le superlatif dans la relative.
qu’on t’ait fait

La question à se poser : qui est entouré , pas les étapes, mais les gens qui fêtent.
Donc dans le pire des cas, si vous ne changez pas votre phrase
Certaines étapes méritent de se fêter,  ENTOURÉS des gens que l’on aime (sous-entendu : ceux qui fêtent).
Mais là, vous avez une rupture de construction : ça ne va pas au niveau de la phrase car le référent de « entourés » n’est pas mentionné.

Nous souhaitons fêter certaines étapes, entourés de … = entourés se rapporte bien à nous. 

Pas d’italique à ma connaissance  qui est utilisé pour la mise en valeur de termes, les mots étrangers notamment et les citations.
Il faut adopter une ligne sur tout le document et rester cohérent.

Pourriez-vous m’indiquer s’il faut mentionner le nombre d’élèves dans le document ?

Il faut faire une élision pour que les deux i ne se suivent pas;
S’il = si il ( qui n’est pas correct).
Référez-vous à « s’il vous plaît ».

https://www.question-orthographe.fr/question/anti-mot-ou-antimot/

Tendance à la soudure, comme rappelé ici.
Consultez la réponse de Chambaron, sur le fil cité en lien. 

On ne comprend pas bien qui désigne le pronom « on », surtout en relation avec la première proposition ; on a souvent expliqué que
– « on » est singulier s’il désigne l’homme ou une entité générale
– « on » est pluriel s’il désigne un groupe de personnes identifiées et peut se remplacer par « nous ».

On n’est jamais trop vieux, il faut en effet la négation avec jamais pour l’affirmation. 

Est-on jamais trop vieux ? – sans la négation est possible aussi ; jamais a le sens de « sur toute notre vie »

N’est-on jamais trop vieux ? je ne comprends pas ce que cela signifie. 

Voir ici
http://monsu.desiderio.free.fr/curiosites/jamais.html

Votre doute vient de l’heure et du fait que vous avez « intercalé » s’agissait à l’imparfait, et comme énonçant l’hypothèse.
Difficile dès lors, d’être subjugué par le récit, comme s’il s’agissait de la première fois que je lis ce genre d’histoires.
Difficile dès lors, d’être subjugué par le récit, comme si je lisais ce genre d’histoires pour la première fois.

Votre question est très bien posée. Voici quelques règles, qui seront certainement nuancées, précisées et critiquées :

1) pour le verbe de la subordonnée conjonctive :

Avec le verbe espérer, on ne met pas le subj. mais l’indicatif (tous les temps en fonction de l’action : j’espère que tu auras, que tu as eu, que tu as).
Avec le verbe souhaiter, c’est  le subj. (les verbes du 1er groupe ont des formes « je » identiques au présent de l’indicatif et au présent du subj.  : je souhaite que tu manges / que nous mangions).

2) Pour le verbe de la subordonnée relative :

un travail qui te convienne : nuance hypothétique (si ce travail existe)
un travail qui te convient : dans l’absolu (selon les critères « factuels » qui sont les tiens et car ce travail existe)
un travail qui te conviendra : au moment situé dans le futur = quand tu seras « grand ».