C’est l’endroit où l’on dénombre le plus d’accidents de ce genre, avec 1 personne sur 2 y étant exposée.
Je trouve votre phrase bien maladroite et peu précise.
Vous voulez dire qu’à cet endroit, une personne sur deux est exposée à ce genre d’accidents : avec et y ne me paraissent pas bien formulés.
En réalité, tout le monde est exposé au risque mais seule une personne sur deux est victime ? Pourquoi l’exposition au risque ne concerne-t-elle qu’une personne sur deux ?

Cet endroit est le plus dangereux : une personne sur deux y est exposée (!) aux accidents de ce genre.
Cet endroit est le plus dangereux : une personne sur deux y est victime d’un accident de ce genre.

C’est correct, sous réserve du contexte (temps du reste du texte).
Si Lola était encore là, je doute que l’idée eût été (PQP du subj. en raison du verbe principal douter qui appelle le subjonctif) acceptée, mais, au moins, on les aurait rendues exceptionnelles (conditionnel passé).
Ne pas oublier l’accent circonflexe au subj.

En effet, c’est une figure de style inappropriée dans un contexte de rédaction courante ou professionnelle.
Parlons d’une personne souffrante.
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Ajout à ma réponse : j’ai cherché la figure de style, si « douloureux » signifie « qui est le siège d’une douleur : Une articulation douloureuse alors on peut penser à l’hypallage, ce n’est pas la personne qui est douloureuse mais l’un de ses organes.

Franchement, les deux sont synonymes et c’est vous le rédacteur.
Donc lester d’un poids, d’une charge ou d’un objet plus précis, à vous de décider !

Ces mots sont des noms communs et association de quartier n’est pas une dénomination officielle ou unique, donc je n’en mettrais pas.

Elle avait une tête ridée qui sortait d’une carapace rigide aux motifs vert et marron si tarabiscotés qu’on les aurait crus peints par la fillette.
crus s’accorde avec « les » COD placé avant.
peints (attribut du COD) est bien accordé aussi.

C’est plutôt courant. Rien de relâché là-dedans.

C’est un thème souvent proposé ici, débattu … et peu tranché.
L’Académie admet les deux (pluriel et singulier).
Personnellement, le singulier me suffit : je suis recouverte de mon châle, nous sommes recouvertes de notre châle (chacune a un châle) ; le pluriel ne me choque pas : … de nos châles (il y a plusieurs châles : un par personne).
Finalement, quel est le problème ?
– nous sommes recouvertes de notre châle (chacune a un châle / un châle collectif étant peu probable).
– nous sommes recouvertes de nos châles (chacune a un châle, ça en fait plein / peut-il y avoir plusieurs châles par personne ?).

Si le nombre de châles est le thème central de votre écrit, il faut être plus précis : chaque spectatrice avait jeté un châle (ou deux châles) sur ses épaules ; les deux amies s’étaient réchauffées à l’étoffe du même châle.

C’est la Rue Neuve qui est coupée dans sa profondeur, par la présence de la maison.

La joie de vivre –les scientifiques l’ont maintes fois démontré – est bonne pour la santé.
Accord du participe avec l’ : ce que les scientifiques ont démontré.