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Bonjour Lazarre, en est un pronom indéfini ayant comme sens « une partie, un certain nombre de quelque chose » (ici des balles). À ce titre, et bien qu’il soit considéré comme COD, on n’accorde pas le participe passé avec lui (ou plus précisément, on accorde le participe passé avec lui — grammaticalement, au masculin singulier — et non pas avec les choses qu’il représente qui, elles, sont généralement au pluriel et peut-être au féminin). On écrira donc je n’en ai mis aucune (et non mises).
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Bonjour Virginie, si l’on en croit le dictionnaire de l’Académie, les deux formes sont correctes : C’est notre faute, ma faute, de ma faute (exemples cités section II §5, au sens de manquement).
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Bonjour Virginie, oui, cette phrase est correcte, la préposition depuis est généralement suivie d’un nom ou d’un adverbe (je ne l’ai pas vu depuis un moment, depuis longtemps) mais peut également être elle-même utilisée adverbialement, sans complément : je n’ai rien fait depuis (faisant alors référence à un repère de temps exprimé précédemment dans le contexte).
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Bonjour Virginie, oui, cette phrase est tout à fait correcte, compter parmi a bien le sens de être au nombre de, figurer parmi : « Pasteur compte parmi les bienfaiteurs de l’humanité » (et le verbe compter s’accorde bien sûr avec son sujet, donc ici ces hommes comptaient parmi les victimes).
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Bonjour Kind, l’adjectif attribut est séparé du nom qu’il qualifie par un verbe (d’état), ce qui n’est pas le cas dans votre phrase, où les deux adjectifs sont donc épithètes. Le premier (délicat) est lié (il n’est séparé que par l’adverbe si — aussi, tellement — qui ne modifie pas cet état), le second (empreinte) est séparé par une virgule, donc épithète détaché.
Cette réponse a été acceptée par Kind. le 16 octobre 2019 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour Kind, non, si santé, grâce et assurance ont bien la fonction d’attribut, ils ne peuvent pas pour autant être considérés comme des adjectifs, ils restent des noms communs (en fait ce sont simplement des noms attributs).
Cette réponse a été acceptée par Kind. le 16 octobre 2019 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour Tara, ces deux phrases sont effectivement correctes. Dans la première, le conditionnel représente le futur du passé : dans la subordonnée qu’il reviendrait le lendemain, l’action se passe dans le futur par rapport à la proposition principale il m’avait dit, mais l’ensemble se situe dans le passé. Dans la seconde phrase en revanche, l’action de la subordonnée (qu’il reviendra demain) se situe non seulement dans le futur par rapport à la proposition principale (il m’a dit hier), mais aussi par rapport à l’instant présent. On peut donc considérer qu’il s’agit du futur tout court (par rapport à « maintenant », temps où se passe le récit), et il est donc possible d’utiliser le futur simple dans la subordonnée. Notez toutefois que dans cette seconde phrase, l’emploi du conditionnel serait également correct (et même me semble-t-il plus usuel).
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Bonjour Phil, je suis de votre avis, l’absence de la préposition d’ (de) devant acquérir me semble aussi rendre la phrase bancale, bien que je je ne sois pas absolument sûr qu’elle soit fautive. Le dctionnaire de l’Académie (ici,– il faut descendre au paragraphe V) nous dit que de est employé devant un infinitif qui est le sujet réel de la phrase : la raison de sa présence est d’acquérir des connaissances (= acquérir des connaissances est la raison de sa présence). De plus, même s’il était possible d’omettre la préposition devant le verbe : la raison de sa présence est acquérir des connaissances (ce dont je suis loin d’être sûr), le fait qu’elle soit présente dans la première des deux propositions reliées par la conjonction mais rend l’ensemble non homogène et à mon sens fautif.
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Bonjour Virginie, contrairement à d’autres expressions comme « le droit de vie et de mort » ou « c’est une question de vie ou de mort », « décider de vie ou de mort » n’est pas une expression usuelle, consacrée par l’usage et passée dans le langage courant, et du coup apparaît quelque peu bancale et incomplète. Vous pourriez la remplacer par une formule plus explicite comme « l’inquisiteur avait sur les condamnés le droit de vie et de mort ».
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Bonjour Kind, dans la phrase le ciel reste ce qu’il est, ce est un pronom (démonstratif) car il se substitue en quelque sorte à un nom : le ciel reste la chose qu’il est. Lorsqu’il est utilisé devant un nom, il est alors adjectif (démonstratif également) : ce ciel est l’un des plus beaux que j’ai vus.
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