49530
points
Questions
15
Réponses
6607
-
Le serveur :
-êtes-vous seuls, madame, monsieur ?
Monsieur :
– oui, nous sommes seuls.C’est la façon la plus élégante de répondre dans cette situation.
L’emploi du « on » est moins soutenu mais possible.- 1692 vues
- 5 réponses
- 0 votes
-
Système du présent : Le jour où vous aurez trouvé une maison vous me rappellerez
Système du passé : Elle a dit que le jour où vous auriez trouvé une maison vous me,rappelleriez.
Futur antérieur du passé futur du passéIl est possible aussi d’employer le présent pour un fait futur ( à l’oral on le fait souvent) :
Le jour où vous trouvez une maison, vous m’appelez.- 27763 vues
- 8 réponses
- 0 votes
-
Comme vous Joëlle, je choisis « barrière ». Il s’agit d’une image. Je trouve le pluriel impropre. Ce n’est pas parce qu’on le trouve dans des écrits ministériels que cela change quelque chose.
- 4140 vues
- 5 réponses
- 0 votes
-
Il me semble que « taux », signifie niveau, degré, et précède le plus souvent (toujours) une abstraction : taux de natalité – de chômage – d’invalidité – de croissance. Je pense que votre hésitation à mettre « erreur » (au pluriel) vient de là. Mais « erreur » n’est pas un mot abstrait.
On peut trouver le pluriel lorsque « taux » a le sens de prix ou de valeur : le taux des actions, des produits alimentaires… ce qui n’est pas le cas dans votre exemple.
Peut-être vaudrait-il mieux employer le terme pourcentage ou proportion qui eux acceptent à coup sûr des entités dénombrables et donc le pluriel : le pourcentage/la proportion d’erreurs commises.
- 2590 vues
- 3 réponses
- 0 votes
-
PrinceV :
Il y a 4 mois, j’ai appris qu’il fallait …
Il y a 4 mois j’ai appris qu’il faudrait …
= si on transpose au système du présent :
Aujourd’hui j’ai appris qu’il faut…
Aujourd’hui j’ai appris qu’il faudra…On a simplement deux temps possibles pour le verbe falloir, selon que son procès est envisagé comme simultané ou postérieur à celui du verbe apprendre
- 27763 vues
- 8 réponses
- 0 votes
-
J’opte pour le pluriel en considérant que « le meilleur » est sous-entendu la deuxième fois.
Je n’écrirais certainement pas : Le meilleur de la performance et le meilleur de l’innovation réunis.
Mais je sous-entendrais le deuxième « le meilleur » : le meilleur de la performance et de l’innovation réunis- 1347 vues
- 3 réponses
- 0 votes
-
Non, c’est juste. « Deux mois plus tard montre bien que vous avez affaire à un futur du passé.
Sinon, vous auriez employé « dans deux mois » > il y a 4 mois, j’ai appris qu’il faudra que je fasse un devoir maison dans deux mois (demain, tout à l’heure).Cette réponse a été acceptée par Malo21. le 21 avril 2020 Vous avez gagné 15 points.
- 27763 vues
- 8 réponses
- 0 votes
-
Excusez moi, Faucon. Ne vous en déplaise, je vais ci-dessous continuer à réfléchir :
Comment réagir quand on découvre que son mari nous a trompé(e)(s) ?1 Soit « on » est l’équivalent de « nous » : comment devons-nous réagir quand nous découvrons que notre mari nous a trompé(e)s ?
Mais pour dire la même chose qu’en 1 (le « on » permet de théoriser), il faudrait employer plutôt « si » que « quand » : comment devons-nous réagir si nous découvrons que notre mari nous a trompés ?
Sinon la phrase sous-entend que cette tromperie a eu lieu.2 Soit le « on » est l’équivalent de « quelqu’un » : comment quelqu’un doit-il réagir quand il découvre que son mari l’a trompé. Pas de problème avec le possessif ni avec le pronom complément qui correspond à ‘il » (son – le).
Mais: comment réagir quand on découvre que son mari –?– a trompé
Il n’y a pas de pronom complément satisfaisant correspondant à « on »
C’est pourquoi on ne peut que choisir le pronom personnel complément « nous », normalement pluriel, mais qui est souvent substituable en tant que sujet à « on » (dans d’autres contextes).
Cependant, comme le sens de « on » n’est pas ici un pluriel mais signifie « quiconque », on lui donne, par cohérence, un « nous » singulier.Il semble qu’on aboutisse alors ici à une ambiguïté sur le sens de « on » considéré, à la fois comme signifiant « quelqu’un », et « nous ».
Reste à savoir si cette polysémie de « on » est à assumer ou à proscrire. Si on l’assume, il sembla alors logique de mettre le « nous » qui suit au singulier.
- 2920 vues
- 7 réponses
- 1 votes
-
On n’accorde pas « pomme » -un nom ne s’accorde pas avec un autre nom,mais avec son verbe et son déterminant- on choisit entre le singulier ou le pluriel selon le sens.
Cette boisson a un parfum de pomme (de la pomme en général).
Je fais une tarte aux pommes (et pas « à la pomme ») : j’utilise des pommes.
Je confectionne une recette à base de pommes : là aussi j’utilise des pommes.Au singulier on parle de la « matière » pomme au pluriel d’ « objets » pommes.
- 2084 vues
- 1 réponses
- 0 votes
-
« Dont » est un pronom relatif simple qui remplace un complément introduit par « de ».
Je t’ai parlé de cette personne. Elle est revenue sonner à ma porte hier.
La personne dont je t’ai parlé est revenue sonner à ma porte hier.
On peut à sa place employer « de » + relatif :
La personne de laquelle/de qui je t’ai parlé est revenue sonner à ma porte hier.Cette réponse a été acceptée par Margarita. le 21 avril 2020 Vous avez gagné 15 points.
- 1916 vues
- 2 réponses
- 0 votes
