Oui, il est possible d’utiliser ces formules. Et de même : « vous m’avez fait honneur ».

Faire honneur à qqn/qqc. Être une des causes de l’estime, de la considération qui est accordée à quelqu’un ou quelque chose; lui donner des marques de considération – TLF-

Emploi des temps correct !
Les passés simples font avancer le récit – les imparfaits donnent des informations.

C’est qu’il ne fut plus du tout lui-même : il s’agit du passé simple.
C’est que tu ne fus plus du tout toi-même: que nous ne fûmes plus du tout nous-mêmes (et non : c’est que tu fusses/ que nous fussions).
Il ne fut plus de tout lui même est simplement encadré par la formule d’insistance « c’est…  que ».

L’accent étant mis sur la quantité, il me semble bien qu’on dirait plutôt : je fais beaucoup de piano.

Ai-je le droit de dire que[…]? Ou serai-je banni pour l’avoir dit ?

En changeant de personne on voit mieux que les deux temps sont possibles dans la deuxième phrase. Ils expriment une nuance différente – plus d’incertitude avec le conditionnel, voire une certaine perplexité.
As-tu le droit de dire que … ? Ou seras-tu banni pour l’avoir dit ?
As-tu le droit de dire que … ? Ou serais-tu banni pour l’avoir dit ?

Pour ce qui concerne le présent dans la première phrase : je le comprends comme un présent de vérité générale (présent indivis) et donc comme parfaitement correct.

On peut alléger encore : membre du conseil, il  en a les privilèges .

Cet emploi -qu’en effet on rencontre ici ou là parfois- est une impropriété.

Larousse : Personne qui a le statut d’une catégorie donnée sans avoir le titre attaché à la fonction : Le traitement des cadres et assimilés.

TLF : Personne qui a le statut d’une certaine catégorie de personnel, sans avoir le titre qui s’attache à la fonction. Fonctionnaires et assimilés, cadres et assimilés (Larousse encyclopédique)
Par extension et plaisant.* :

—
*noter que cet emploi (lorsqu’il ne s’agit pas d’un statut) est seulement attesté pour une personne et encore, de façon plaisante.
—
Je vous propose :
Jusqu’à 90 % de nos élèves ont aujourd’hui leur propre téléphone portable, tablette ou autre appareil équivalent (ou : permettant etc.).

> mais qu’existe-t-il comme autres appareils  qui seraient équivalents  à un téléphone portable ? Peut-être vaudrait-il mieux énumérer…

Oui vous le pouvez.
Si la personne fait beaucoup de fautes et que cette fois-ci elle n’en fait aucune, elle dira : je n’ai pas fait de fautes.
Mais on peut considérer que comme il n’y en a pas, il n’y en a pas une.

Remarque : on ne devrait pas dire « faute » pour les erreurs en orthographe. On ne parle pas de « faute » en mathématiques par exemple.

Voici ce que dit la BDL :

Le déterminant indéfini aucun, qui signifie en français moderne « pas un », s’emploie généralement au singulier. Le nom qu’il détermine est donc aussi au singulier.
Exemples :

–  Aucune demande d’inscription ne sera acceptée après cette date.
–  Sa santé ne lui permet plus aucun exercice violent.
–  Marie n’avait reçu aucune nouvelle de son fils parti à l’étranger.

Toutefois, aucun et aucune se mettent au pluriel et s’écrivent aucuns, aucunes lorsqu’ils déterminent des noms qui sont toujours au pluriel (comme frais, honoraires, funérailles, archives), puisque l’accord du déterminant se fait selon le genre et le nombre du nom qu’il accompagne. Aucun sera également pluriel lorsqu’il détermine un nom qui, dans un contexte donné, est nécessairement pluriel.
Exemples :
–  Aucuns frais ne seront remboursés.
– On n’a pu célébrer aucunes funérailles dans l’ancienne église.
–  Il n’y aura aucuns travaux routiers sur cette section de l’autoroute au printemps.

Un verbe est à l’infinitif notamment après un autre verbe et après une préposition.
cela serait pour moi l’opportunité de continuer d’étudier
Vos deux verbes sont précédés de la préposition « de » —> infinitifs