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Grand maître
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  • Grand maître Demandé le 4 juillet 2021 dans Général

    On peut parfaitement dire (et écrire) cela.
    Peut-on avoir plus de précisions sur les ateliers ? Comment se passent-ils ?

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  • Grand maître Demandé le 26 juin 2021 dans Général

    En fait « appel » ne peut pas être un moyen ni une cause pour appeler quelqu’un c’est pour cela que la préposition « par » ne fonctionne pas. Un appel est une sorte de signal.

    —-> Nous lui parlons plusieurs fois par jour lors d’une communication vidéo.

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  • Grand maître Demandé le 25 juin 2021 dans Question de langue

    Ou on change de verbe pour éviter la préposition « à » devant « où » : prends garde où tu vas.

    Ou on remplace l’adverbe par un nom : fais attention à l’endroit où tu vas.

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  • Grand maître Demandé le 25 juin 2021 dans Question de langue

    « Doutable » n’existe pas.
    Douteux concerne l’objet dont on doute.
    Dubitatif concerne la personne qui doute.

    Cette histoire est douteuse.
    Devant cette affirmation, je suis dubitatif.

    Cette réponse a été acceptée par SourisVerte. le 25 juin 2021 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 25 juin 2021 dans Général

    Tu as un bonjour de … est tout à fait correct en effet mais moins courant que tu as le bonjour de …

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  • Grand maître Demandé le 25 juin 2021 dans Général

    Hi hi hi !
    Eh bien moi, je dirai le contraire et même plus :
    Il y a espoir qu’il s’en sorte
    Je pourrais protéger A de mon corps. Au moins, il y a espoir qu’il s’en sorte.

    – le subjonctif (l’indicatif est possible mais je le trouve moins judicieux dans votre phrase) : exemples du Grévisse :
    On trouve, mais assez rarement, le subjonctif après espérer que ou se flatter que pris affirmativement ; ces verbes se chargent alors d’une affectivité qui les fait tomber dans la même orbite syntaxique que attendre […]. De même après l’espoir que, l’espérance que, mon espoir, mon espérance est que, etc.
    Avait-elle (…) l’espoir qu’on ignorât qu’elle était la fille de Swann ? (Proust)
    Si j’écris ces lignes, c’est avec quelque espoir qu’elles puissent un jour tomber sous ses yeux. (Gide)
    Son espérance, c’était qu’elle sortît. (Montherlant)
    Le seul espoir, c’est que tu réussisses à Paris. (Chamson)

    – absence d’article : après « il y a »
    On utilise l’arti­cle zéro dans des constructions formées avec le ver­be il y a, qui ex­pri­ment l’idée que quel­que chose s’est produit ou se produit ce qui est le cas ici : l’espoir a lieu.
    Mais vous pouvez utiliser l’article qui  souligne ce qui détermine  le nom espoir (qu’il sen sorte).
    Le partitif « de » est inutile et lourd sans être absolument incorrect.

    Cette réponse a été acceptée par Automne. le 25 juin 2021 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 25 juin 2021 dans Général

    Non.  Il n’y a pas une option qui serait la meilleure.
    Avec l’article défini, on comprend que le personnage (« moi ») attendait le tir. L’indéfini souligne davantage le blanc entre les deux faits.

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  • Grand maître Demandé le 24 juin 2021 dans Accords

    Oui Virginie. Le pronom relatif, qui reprend « femme » est cod du verbe construit avec l’auxiliaire « avoir » et comme il est placé avant, il y a accord : féminin singulier.

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  • Grand maître Demandé le 24 juin 2021 dans Question de langue

    « Il me fallait » est une tournure impersonnelle
    Il me fallait des outils : le sujet apparent est « il » (qui ne renvoie à rien, il est, pour simplifier, vide de sens) et le sujet réel est « outils » —> les outils m’étaient nécessaires.
    L’accord se fait avec le sujet apparent.

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  • Grand maître Demandé le 24 juin 2021 dans Question de langue

    Pour formuler une interrogation, le français a plusieurs solutions.
    – La plus soutenue, ou employée de préférence dans les textes écrits  a pour marques :
    l’inversion du sujet simple quand le sujet est pronom personnel : pourquoi brillent-elles ?
    ou La reprise du sujet par un pronom personnel avec lequel on fait l’inversion : pourquoi les étoiles brillent-elles ?
    + le point d’interrogation (à l’oral l’intonation)
    + le mot interrogatif quand nécessaire pour les interrogations partielles (pourquoi quand où quel qui…)

    – celle qui est souvent utilisée à l’oral
    Le point d’interrogation ou l’intonation
    + le mot interrogatif pour les interrogations partielles : Pourquoi les étoiles brillent ?

    – Celle qui utilise « est-ce que », plus lourde et parfois trop lourde mais très utilisée à l’oral  : est-ce que les étoiles brillent ?
    point d’interrogation ou intonation
    + est-ce que avant le verbe
    + mot interrogatif pour les interrogations partielles : pourquoi est-ce que les étoiles brillent ?
    Il n’y a alors pas d’inversion du sujet, ce qui serait incorrect.

    Cette réponse a été acceptée par Isil. le 24 juin 2021 Vous avez gagné 15 points.

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