23543
points
Questions
11
Réponses
2426
-
Bonjour Estudiantin
Utiliser à au lieu de de , pour introduire le complément de faute, est archaïque.
Il faut dire : « c’est la faute de… »Il faut éviter aussi d’utiliser la préposition de avant faute : « c’est de la faute de… »
Lorsque faute est précédé d’un déterminant possessif, on peut toutefois employer à pour renforcer ce possessif devant un pronom ou un nom.
« c’est leur faute, à ces touristes si l’on ne trouve plus de place pour se garer l’été »
Enfin, il est populaire d’utiliser de avant un déterminant qui précède faute : « c’est de ma faute ». On dira plutôt : « c’est ma faute ».
- 28941 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Merci à tous
Je pense que l’on peut ainsi résumer : l’adverbe tout s’accorde avec un adjectif (ou un participe) si celui-ci est féminin, commence par une consonne ou un h aspiré, et s’il est placé immédiatement après « tout ». (sans avoir besoin d’introduire la notion d’adjectif de couleur)- 68562 vues
- 10 réponses
- 2 votes
-
Merci Evinrude.
Mais comment expliquer que les deux formes puissent être acceptées?
Il s’agirait alors d’une exception à l’exception de la règle de l’accord de l’adverbe « tout » !Si l’accord avec les adjectifs féminin commençant par une consonne peut éventuellement s’expliquer pour des raisons d’euphonie, ici « tout » est suivi d’une préposition commençant par une consonne et on pourrait être tenté de faire l’accord.
Ou bien alors, s’agit-il d’une règle concernant « tout » suivi d’une préposition (de ou à), comme je viens de le trouver sur le blog de B. Dewaele : selon la référence utilisée, l’accord se fait si le nom auquel « tout » se rapporte est féminin singulier, sauf avec un adjectif de couleur, comme ici (Girodet), ou avec un nom féminin singulier mais pas avec un nom féminin pluriel, sans qu’il soit fait allusion à l’adjectif de couleur (Thomas).
alafortunedumot.blogs.lavoixdunord.fr/archive/2014/12/24/index.htmlLe débat reste ouvert !
- 68562 vues
- 10 réponses
- 2 votes
-
Bonjour.
Je suis d’accord avec votre proposition de répéter l’adjectif indéfini devant chaque nom (et avec lequel il s’accorde) et en les liant par « ni ».
« il n’échafaude aucun raisonnement ni aucune démonstration »
Cette réponse a été acceptée par Montchenatre. le 5 septembre 2016 Vous avez gagné 15 points.
- 2740 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Bonsoir Estudiantin.
Oui vous avez raison, « flou » est un adjectif attribut du sujet du verbe « était », donc de « ma question« .
Il s’accorde avec ce sujet : féminin singulier, donc « floue« .
« je pensais que ma question était trop floue« .Autre exemple : la voiture est neuve.
« neuf » est attribut du sujet « la voiture« , donc accord avec celui-ci, féminin singulier : « neuve ».Cordialement
- 48331 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Bonjour.
Pour compléter la réponse d’Evinrude, il faut ajouter que le participe passé est suivi d’un infinitif (précédé de la préposition à, mais cela ne change rien à la règle).
Dans ce cas, l’accord se fait avec le COD placé avant le participe si le COD fait aussi l’action exprimée par l’infinitif.
Or, ici, c’est bien « m' » , donc votre fille qui grandit, donc il y a accord.
Ex. la valise que j’ai cherché à ouvrir … le COD « la valise » est COD de l’infinitif (on ouvre la valise), donc pas d’accord
Ex. Les airs que j’ai entendu jouer . Le COD, « les airs », placé avant le participe passé est COD de « jouer », donc pas d’accord.- 269224 vues
- 5 réponses
- 1 votes
-
Bonsoir.
Je pense qu’il n’y a aucune exception à l’invariabilité de quatre.
Mais pourquoi pas l’écrire comme on peut parfois le prononcer de façon familière : « quat’z’yeux, quatre-z-yeux, quat’z-yeux ou quatr’z’yeux ».
Ce sont en tout cas les propositions de l’Office québécois de la langue française !- 7528 vues
- 4 réponses
- 0 votes
-
Bonjour.
Je partage l’avis d’Evinrude.
C’est le sens qui détermine si le complément est au singulier ou au pluriel.
Dans « fins de semaine, fins de journée », il n’y a qu’une fin pour chaque semaine ou pour chaque journée. Le complément reste au singulier.
- 26789 vues
- 3 réponses
- 0 votes
-
Bonjour.
Je pense que la règle doit être la même qu’avec « sans ».
On utilise le singulier ou le pluriel selon qu’il s’agit d’une ou plusieurs personnes qui auraient pu être victimes.
On aurait pu regretter que plusieurs administrés eussent été victimes des attentats.
J’utiliserais le pluriel : « À ce jour, nous n’avons pas recensé d’administrés ayant été victimes des différents attentats. »- 8545 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Bonjour JCDEY.
Oui c’est encore le problème de la concordance des temps entre la principale et la subordonnée.
Si la principale est au présent, le verbe de la subordonnée, exprimant un fait postérieur, sera au futur (ou au futur antérieur).
« Je décide (présent) que l’état d’urgence sera prolongé (futur simple) de 3 mois »Si la principale est au passé, la subordonnée sera au conditionnel présent (futur du passé) ou au conditionnel passé (futur antérieur du passé)
« J‘ai décidé (passé) que l’état d’urgence serait prolongé (conditionnel présent) de 3 mois ».- 52133 vues
- 5 réponses
- 0 votes
