Le profil de PhL
Grand maître
23543
points

Questions
11

Réponses
2426

  • Grand maître Demandé le 11 novembre 2017 dans Conjugaison

    Bonjour DEMOULIN.

    Le subjonctif est courant mais non obligatoire après la locution « le fait que ».
    L’indicatif sera choisi pour insister sur la réalité du fait.
    « Il n’est pour rien dans le fait qu’elle tomba amoureuse » : Le fait de tomber amoureuse est avéré. L’indicatif doit être choisi.

    Mais « du (seul) fait que » n’est jamais suivi du subjonctif. En effet on parle d’un fait réel, on donne une explication : il va maigrir du fait qu’il ne se nourrit pas.

    • 2139 vues
    • 1 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 11 novembre 2017 dans Conjugaison

    Les sonorités respectives du passé simple et de l’imparfait du subjonctif ainsi que du passé antérieur et du plus-que-parfait du subjonctif étant assez proches, je vous propose d’utiliser ces deux temps de l’indicatif :

    « après que tu partis pour une raison absurde »

    – « après que tu fus partie pour une raison absurde » 

    • 4199 vues
    • 5 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 11 novembre 2017 dans Général

    Bonjour DEMOULIN.

    L’accord de cet attribut se fait avec le sujet du verbe, donc avec c’, qui est un pronom neutre « C‘est quand même spécial… »

    Mais : « Elle est quand même spéciale cette période »

    • 2595 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 11 novembre 2017 dans Conjugaison

    Bonjour Isil.

    La locution conjonctive « non que » ou « non pas que » exige le subjonctif.

    « Non pas que le règlement de la compagnie interdît les relations entre membres de l’équipage, mais sa pudeur lui défendait toute exhibition potentiellement publique. « 

    • 19089 vues
    • 1 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 11 novembre 2017 dans Général

    Bonjour Minouche.

    L’emploi de « sont-ce » semble critiqué par les grammairiens.

    On peut contourner la difficulté en utilisant « est-ce » ou en évitant l’inversion :
    N’est-ce pas là des pays pauvres ?
    – Il s’agit de pays pauvres ? (n’est-ce pas)

    • 24148 vues
    • 5 réponses
    • 1 votes
  • Grand maître Demandé le 11 novembre 2017 dans Général

    Bonjour livrisme.

    « Elle n’en use pas »

    À la forme affirmative : elle en use.
    À la forme négative on utilise « ne…pas » : elle n’en use pas.
    « Ne » et « pas » encadrent l’auxiliaire ou la forme verbale. Un pronom peut s’insérer entre « ne » et le verbe comme ici.

    On entend à l’oral la liaison qui donne cette impression d’un « n » supplémentaire.

    • 7178 vues
    • 3 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 11 novembre 2017 dans Conjugaison

    Bonjour livrisme.

    Vous pouvez dire cela, mais en utilisant « ce » vous dépersonnalisez déjà la jeune fille. Vous insistez sur la faible probabilité que ce monstre fût humain à l’origine. L’accord se fera avec « ce », pronom neutre donc masculin singulier.

    Vous pouvez aussi utiliser le pronom « celle » pour désigner la jeune fille, à la condition, me semble-t-il, de supprimer le caractère hypothétique par le remplacement de « devait être » par « était  » : « Celle qui était une jeune fille, s’est métamorphosée en un monstre. « 

    • 4415 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 11 novembre 2017 dans Question de langue

    Bonjour Chambaron.
    Pour compléter les très bonnes références données par Evinrude, je citerai celle du CNRTL à l’entrée « pierre »  (B.2.) qui propose indifféremment en et de.
    Très modestement.

    • 7865 vues
    • 6 réponses
    • 1 votes
  • Grand maître Demandé le 10 novembre 2017 dans Question de langue

    Oui Estudiantin, toutes les subordonnées sont complétives sauf la dernière :
    « que l’on aille en ville »
    « que PhL est un chic type » (merci !)
    « qu’il m’écoute »
    « qu’il passe plus tard »

    Elles ne peuvent pas être retirées de la phrase et jouent un rôle essentiel, ici de COD.

    Dans la dernière phrase, âneries est COD du verbe mais il ne s’agit pas d’une subordonnées puisqu’il n’y a pas de verbe.
    Il dit qu’il partira demain : « qu’il partira demain » = subordonnée complétive
    Il ne dit que des âneries = il dit des âneries. « âneries » = COD.

    • 2908 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 10 novembre 2017 dans Général

    Bonjour DEMOULIN.

    Lors d’un appel de phares, les deux phares s’allument.
    On écrira phares au pluriel.

    • 2714 vues
    • 1 réponses
    • 0 votes