Bonjour bmama.

Le premier nom (ainsi que l’adjectif qui le précède éventuellement) d’un événement historique prend une majuscule initiale.

Ainsi,
– Occupation, si celle-ci désigne la période 1940-1944 pendant laquelle la France a été occupée par les troupes allemandes,
– Résistance, si elle correspond au groupement des résistants pendant la Seconde Guerre mondiale et
– Terreur, période de la Révolution française comprise entre juin 1793 et juillet 1794 pendant laquelle des mesures d’exception furent prises
prennent une majuscule initiale.

Bonjour bmama.

À l’impératif, les verbes du premier groupe (ainsi que aller et les verbes du troisième groupe se terminant par « e » : ouvrir, offrir, souffrir, cueillir, aller et savoir) ne prennent pas de « s » final à la deuxième personne du singulier, sauf, pour des raisons d’euphonie, s’ils sont suivis de « en » ou « y » : mange ! mais manges-en un peu !

Laisse, laisse-m’en, mais laisses-en.

Bonjour THIEBLEMONT.

On dit, en effet, prendre du retard.

Dans une phrase négative, l’article indéfini (un, une, des) et l’article partitif (du, de la, des) sont habituellement réduits à de (ou d’) devant le complément direct : ne pas prendre de retard.

On maintient l’article indéfini :
– avec ne… que : ne pas prendre que du retard.
– s’il existe ensuite un élément qui s’oppose à cette négation : je n’ai pas pris du retard, mais beaucoup de retard !

Bonjour Isil.

Je partage votre interprétation.

Cliché est un substantif utilisé comme un adjectif. On parle de « nom épithète ».
Le « nom épithète » garde son genre et peut éventuellement prendre la marque du pluriel quand le nom qu’il complète est au pluriel.

Cette construction est dans le cas présent fondée sur la ressemblance : une réputation « qui est comme » un cliché.

On écrira donc : une réputation cliché.

Bonjour Cyril17.

Cela dépend effectivement du nombre de coupures par journée de travail.

Il me semble qu’il y a une seule coupure, entre la période travaillée le matin et la période du soir, pour ceux qui ont ce type de travail.

J’écrirais donc : je travaille « en coupure », avec guillemets.

Bonjour Syl69.

La dénomination d’une période s’écrit avec une majuscule initiale : la Renaissance.

En apposition, « Renaissance » indique également ce qui appartient à la période ou au style de la Renaissance, et prend aussi une majuscule initiale : le style Renaissance.

Bonjour nath3110.

Je suis aussi de votre avis.

Les deux sont possibles mais le participe présent justifierait un complément du verbe : je regarde le kinésithérapeute massant mon pied.

Ici « massant » est un adjectif verbal. On peut le reconnaître en utilisant un terme féminin. On dirait des douches massantes et non pas des douches massant.

Bonjour Andric.

L’office québécois de la langue française propose RC.

Bonjour Sof.

Le verbe avoir est ici employé à la forme impersonnelle : il y a.
Le participe passé des verbes utilisés de façon impersonnelle est invariable comme le participe passé des verbes impersonnels.

« Vu les difficultés qu’il y a eu« 

Bonjour Tarek97.

Un poignard est une « Arme blanche à lame courte, assez large, tranchante et effilée à son extrémité, garnie d’un manche. » (CNRTL)
Il s’agit donc d’un »couteau » particulier.
Aucune des termes que vous proposez ne représente un poignard,