Bonjour,

pour ma part la formulation :  « Je rêve d’avantages pécuniaires dont a joui mon prédécesseur. » est un peu bancale.

Si le professeur a joui d’avantages connus, le « d' » n ‘a pas raison d’être.

« Je rêve des avantages pécuniaires dont a joui mon prédécesseur. » ou

« Je rêve d’avantages pécuniaires similaires à ceux dont a joui mon prédécesseur. »

Bonjour,
Je trouve votre tournure inappropriée. Soit « et » a pour fonction de relier « parler » et « dire » et il vous faut écrire :
« Il faudrait que je lui parle et lui dise.  »
Ou « et » relie « falloir » et « dire », ce qui semble être le cas de votre phrase, et il vous faut écrire :
« Il faudrait que je lui parle et alors je lui dirais. »

Bonjour,

La répétition du déterminant, voire du prédéterminant que « tout » peut être, est nécessaire.

Que ce déterminant soit « tout » ou « chaque » importe peu.

Ceci n’alourdit pas la phrase, cela la rend simplement conforme à la syntaxe.

Chaque genre, chaque ethnie, chaque handicap et chaque morphologie sera représenté.

Bonjour,
Joëlle ayant répondu, je présise que le « et »devant « qui n’engendra » n’a pas raison d’être.

Bonsoir,

Il est normal que vous ne le compreniez pas : il est erroné.

Ici « Les mesures » est le COD de « il a pris » en aucun cas ce de devoir. Dans cette acception, « être obligé », devoir n’admet comme COD qu’un syntagme verbal qui n’engage pas d’accord.

« il a dû sauter, courir, etc. »

J’écrirais plutôt pour ma part : «Il a pris toutes les mesures qu’il a dû prendre.»  avec un effet de renforcement.
ou
« Il a pris toutes les mesures qu’il devait. »

Bonsoir Manuel,

Répondre à votre question tient de la gageure.

La présence d’un auxiliaire indique que l’on est en présence d’un participe passé

« Manuel a coupé une pomme. »  Nous avons un participe passé, le verbe est conjugué à la voix active.

« La pomme est coupée par Manuel. » Nous avons également un participe passé, le verbe est ici conjugué à la voix passive.

« La pomme coupée par Manuel se trouve sur la table »  Nous avons ici un adjectif  qui qualifie la pomme et le verbe conjugué est se trouve. Coupée n’est pas dans le temps de l’action (l’action c’est se trouver) mais l’état de la pomme au moment de l’action. Dans la majorité des cas, l’adjectif formé sur un participe passé est accolé directement après le nom qu’il qualifie.

Je suis certain que de futurs contributeurs plus calés que moi, auront à cœur d’améliorer cette explication.

Bonjour,

La règle dans le cas de sujets multiples est claire : si il y a une gradation alors il est considéré qu’il y a un sujet unique qui évolue et l’on conjugue le verbe qui suit avec comme sujet le dernier terme.

Exemple de gradation : « La tristesse, le désespoir l’envahissait »

C’est le cas dans votre phrase.

Il en est de même si les sujets peuvent être considéré comme synonymes :

« Le vainqueur du Grand-prix , la pilote talentueuse est félicitée par la foule. »

mais si les termes sont liés par une préposition sans être synonymes, on accorde :

« La tristesse et le désespoir l’envahissaient. »

Bonjour,

 le sujet de votre phrase est la parole qui n’est donc certainement pas un COD .

De plus le verbe voyager n’admet pas de COD, ne s’utilise pas à la voix passive, son participe passé est invariable.

Bonjour,

la bonne formulation est :

«De son vivant, c’était un farouche opposant à Mitterrand».

De s’utilisera dans la tournure : «De son vivant, il se situait farouchement à l’opposé de Mitterrand». Ce qui n’a pas la même signification.

Bonjour,

Pourquoi une majuscule à Monsieur, qui lui aussi suit une virgule ?

Cette intéressante question, je n’en  ne connais pas la réponse. Réponse qui ne devrait pa être éloignée de « convention typographique ».