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Bonjour,
la règle de l’accord avec le COD placé avant le verbe conjugué (les qui a pour antécédent tes erreurs) s’applique ici :
« Tes erreurs, s’il y en a eu, nous les avons pardonnées. »
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Bonjour,
Vous demandez : « est-ce la même chose si je remplace cent mètres par « dix minutes » ? ». La réponse est non.
Dans le deuxième exemple de Bruno Dewaele, les « cent mètres » ne sont pas une distance mais une course, vous pouvez les remplacer par le terme marathon.
« Les marathons qu’il a courus tout au long de l’été lui ont permis d’arriver parfaitement entrainé aux Jeux olympiques. «
Vos dix minutes ne correspondent à aucun « objet » déterminé et reste donc un complément circonstanciel.
Quant à marcher, durer, etc., leur emploi intransitif fait que leur PP reste invariable, dura lex sed lex.N.B. On peut évidemment se poser la question de savoir pourquoi le même mouvement des jambes est intransitif dans un cas (marcher) et peut-être transitif dans l’autre (courir), et ce d’autant plus qu’il existe des compétitions de marche.
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Bonjour,
comme vous l’avez bien perçu en conjuguant vos verbes au singulier, tout le monde est masculin et singulier.
Le pronom lui est donc requis.- 1173 vues
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Bonjour,
La réponse de Chambaron est parfaite et argumentée, je vais la simplifier :
« Je vais lui causer de sa vie… » Non, car littéralement cela signifie je vais causer à lui de sa vie.
La construction causer à est fautive pour les raisons que Chambaron a données.« Nous causons de sa vie… » Oui
« Je vais causer avec lui. » Oui
« Je vais causer avec lui de sa vie… » Oui- 811 vues
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Bonjour,
Pour ma part, je privilégie l’imparfait puisque nous sommes dans la narration (passé simple) et donc dans une continuité d’action mais le plus-que-parfait accélère le rythme.
J’ajoute que la bonne tournure est « ce qui lui arrivait » et non « ce qu’il lui arrivait »
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Bonjour,
selon Bescherelle , lorsqu’il y a plusieurs sujets déterminés par « aucun », le verbe s’accorde généralement au singulier:
« Aucun symptôme, aucune fièvre ne me fera annuler mon voyage. »Cependant, l’accord du verbe au pluriel est admis, ainsi que le fait Stendhal dans Le Rouge et le Noir :
« Aucun regret, aucun reproche ne vinrent gâter cette nuit. »
Cependant votre déterminant n’est pas répété ce qui me convainc de garder le singulier.
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Bonjour,
L’emploi du subjonctif, est parfaitement correct. Tout comme l’indicatif ou le conditionnel. 🙂
Ce n’est qu’une question de nuances.
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Bonjour,
L’usage le plus commun est la tournure :
« Prendre à gauche la rue de Paris, puis à droite la rue de Nîmes ».
Cela écrit, l’important reste que la personne arrive au bon endroit, c’est bien pour cela que je mettrais la direction avant la rue. 😉
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Bonjour,
votre phrase ne peut se lire qu’avec le sens : « Je suis uniquement sujet de ma volonté », « Je suis uniquement sujet du roi de France ».
Seul est ici adverbe.- 688 vues
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Bonjour,
vous avez raison, la règle est bel et bien que le participe passé suivi d’un infinitif, s’accorde avec le complément d’objet direct placé avant lui si ce dernier fait l’action exprimée par l’infinitif.
« Ses copines, il les a encore vues rire ce matin. »
Le français étant ce qu’il est, le PP du verbe faire suivi d’un infinitif, exception à cette règle, reste toujours invariable. Depuis la réforme de l’orthographe de 1990, le verbe laisser a rejoint le verbe faire dans le club des exceptions et reste invariable.
Toutefois l’accord, précédemment en usage, est toujours toléré.
« Ses filles, il les a laissé nager dans la rivière gelée. » ou « Ses filles, il les a laissées nager dans la rivière gelée. »
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