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Bonjour,
Lorsque vous utilisez « plus de », cette augmentation (ou comparaison) porte sur le substantif qui suit : « je mange plus de bonbons« .
Lorsque vous utilisez « plus « , vous augmentez l’action représentée par le verbe : « Je mange plus » , « je mange plus lentement », « je mange plus qu’avant »
Dans votre cas, attention est effectivement un substantif mais fait également partie de certaines locutions verbales : « faire attention », « prêter attention », « donner attention à ».
Votre question trouvera sa réponse dans le contexte :
« Henri accorde plus d’attention à son chat qu’à son chien. »
« Henri fait plus (prête plus) attention à son chien qu’à son chat. »
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Bonjour,
Votre phrase ne présente aucune incertitude, La condition la lève !
« Si c’est elle alors tu ne seras pas… » et en aucun cas « Si c’est elle alors tu ne serais pas »
Le conditionnel est ici un solécisme.
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Bonjour,
Avec un peu de retard, je me range à l’avis de Joëlle en ce qui concerne votre phrase. Le subjonctif est requis
Si je suis d’accord avec Tara quand à la possibilité des deux modes après » Je ne suis pas certaine… », le fait est que le doute ici est clairement exprimé par le syntagme « Du fait de l’obscurité ». « …qu’il soit vraiment là. » ne peut donc pas être tenu pour acquis.
En revanche l’indicatif est pleinement justifiable dans la phrase suivante : » Je ne suis pas certain qu’il est là pour ça » ou le doute ne porte pas sur la présence ( il est là) mais sur la raison de sa présence.
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Bonjour,
Aucune des deux prépositions n’est incorrecte :
« Je suis reconnaissant de ta gentillesse. »
« Je suis reconnaissant pour ta gentillesse. »La préposition de n’est requise que lorsque la reconnaissance découle d’une action décrite par un verbe à l’infinitif.
« Je te suis reconnaissant de m’avoir aidé »
« Je te serai reconnaissante de bien vouloir m’aider »- 11769 vues
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J’ajoute qu’en ce qui concerne Rothko, il n’a jamais nommé expressément de série, nombre de ses œuvres n’ont souvent pas de titre ou un simple numéro.
J’ai toujours lu « Multiforms » au pluriel d’ailleurs, Multiform est le titre d’une seule peinture, de 1949-1950 je crois.
Donc, j’écrirais : « Je possède Multiform et un autre Multiforms de Rothko. »- 832 vues
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Bonjour,
je reformulerais au plus simple : « Je n’arrive pas à arrêter le tremblement de mes jambes ».
Arrêter quelque chose, c’est stopper un mouvement.
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Bonjour,
Toujours ce fameux COD antéposé : « C’est comme la formule magique qu’a dite Ethan. » (prononcée, c’est plus joli, non ?)
« Le genre de femme qui lit dans les cartes et possède un autel chelou chez elle en l’honneur de divinités tout aussi bizarres. »
Tout est ici adverbe, il modifie l’adverbe aussi et est donc invariable.« Elle a forcément une longue robe de bohémienne et toute une tripotée de chats noirs. »
Tout est dans ce cas adjectif, il s’accorde avec tripotée.- 732 vues
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Bonjour,
la bonne formulation est : « Je les fais asseoir »
Le sujet ne subissant pas l’action et asseoir étant ici transitif direct, la forme pronominale réfléchie n’est pas correcte.
Vous ne pouvez l’utiliser qu’avec un verbe transitif indirect :
« Je les oblige à s’asseoir »
« Je leur demande de s’asseoir »- 5381 vues
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Bonjour,
Pour ma part, « quelque » est ici adjectif indéfini, qui signifie ici « une quelconque », et en tant que tel s’accorde avec le nom qu’il qualifie.
C’est plus votre « que ce soit » qui me paraît inapproprié, cette forme signifiant « quelle qu’elle soit » et non « quel que soit son montant » puisque l’on sait qu’elle est supplémentaire.
« Comment pourrait-il s’acquitter de quelque dette que ce soit ? » ou « Comment pourrait-il s’acquitter de quelque dette supplémentaire ? » sont plus appropriés pour ma part .
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Bonjour,
pour ma part vos deux phrases expriment parfaitement deux nuances.
« Je vois ses yeux brûlant de désir. » Ils sont en train de brûler -> action -> participe présent)
ou
« Je vois ses yeux, brûlants de désir. » ( État des yeux, qualificatif -> adjectif)- 668 vues
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