Bonjour,

D’accord avec Anji : le trait d’union se met entre deux adjectifs deux couleurs : gris-bleu, etc.
Dans les autres cas, point de trait d’union.

Voir par exemple le Robert en ligne pour la règle et des exemples :

Bonjour,

Je pense que les deux accords sont défendables, le singulier étant le plus fréquent (à mon avis sans qu’il y ait vraiment de nuance de sens entre les deux accords).

(On peut d’ailleurs bien aussi accepter à mon sens :  réseau d’influences.)

Dans ce cas, il faut une proposition : Ils présagent que cet été sera caniculaire.

Voir par exemple Larousse en ligne pour les différentes constructions :

Bonjour,

Plutôt les contrats d’auteur (bien que le pluriel ne soit pas absurde) et les contrats des auteurs.

(En fait, ce serait pas mal d’avoir la phrase en contexte pour mieux décider.)

Si l’on considère officier comme un substantif épicène* = dont la forme ne varie pas en genre : un officier / une officier (comme on a par exemple : un élève, une élève), alors on accorde logiquement l’adjectif en genre et en nombre avec le substantif qu’il complète (on n’est donc pas en présence d’un accord sylleptique, mais d’un accord tout à fait grammatical).

Si officier est considéré comme un substantif uniquement masculin, l’accord sylleptique de l’épithète parait difficilement acceptable : une grand victime / une victime étranger = inacceptable.

* a priori, ce n’est pas encore enregistré par les dictionnaires de référence (Larousse, Robert, Académie, Tlfi), mais on trouve des occurrences, y compris sur des sites officiels :

Un ou une Officier de Police Judiciaire (OPJ), mène des enquêtes de terrain sous l’autorité du ministère de l’intérieur.

Et Wiktionnaire en fait état :

officier \ɔ.fi.sje\ masculin (pour une femme, on peut dire : officier,

Bonjour,

Deux problèmes :

1) deux heures à travailler est-il un complément circonstanciel de mesure ou un COD ?
passer est un verbe transitif, il se construit donc obligatoirement avec un CO, le complément circonstanciel est par conséquent ici exclu.

2) Comment accorder un participe passé lorsque l’infinitif est précédé d’une préposition ? Les deux accords sont acceptés (extrait de Robert en ligne) :

Bonjour,

On communique quelque chose à quelqu’un, mais si on utilise une forme pronominale, la préposition à disparait :

Il* a  créé ce groupe pour pouvoir me / te / lui / nous / vous / leur communiquer les informations nécessaires.

* J’ai remplacé Je par Il, pour pouvoir donner tous les pronoms objets, sans que la phrase sonne faux.

Bonjour,

Grammaticalement, oui, la phrase est correcte. On pourrait peut-être la tourner autrement, mais il faudrait avoir un peu plus de contexte pour pouvoir proposer une éventuelle reformulation.

Bonjour,

Pas de est suivi du singulier ou du pluriel selon que ce qui est nié est unique ou pluriel. Parfois, on a le choix (1) et parfois, non (2) et (3) :

(1) J’ai un enfant / des enfants : Je n’ai pas d’enfant(s).
(2) J’ai un chapeau sur la tête : Je n’ai pas de chapeau sur la tête. (Bon, on peut bien sûr imaginer que la personne porte plusieurs chapeaux sur la tête, mais ce n’est pas le cas le plus typique.)
(3) J’ai des yeux : Je n’ai pas d’yeux.

Le cas du portable est du type (1) : on a le choix. Cependant, si un portable comporte classiquement plusieurs filtres, le pluriel est plus logique.

Bonjour,

Je ne vois pas bien pourquoi la vingtaine poserait problème, extrait de Usito :

Pour le reste, je suis d’accord avec Tara. Voici une source linguistique (page 280 et suivantes) que vous pourrez fournir comme « preuve » ; et deux extraits (page 280 et page 283).

Sur la valeur éventuellement circonstancielle des adjectifs détachés :

Et sur le caractère non systématique de cette valeur :