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Le partitif est un déterminant utilisé pour introduire une réalité non quantifiable ou abstraite plutôt inanimée : pour du jazz, c’est comme du sucre.
Pour « du Rihanna », ou « du Mozart », c’est un raccourci (ellipse ?) un peu familier, mais cela reste correct. Pour un écrit plus soigné, « j’écoute la musique de Mozart/ les chansons de Rihanna ».- 442 vues
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Bien sûr, si l’intention des rédacteurs est de s’adresser directement à des lecteurs, il faut utiliser l’impératif qui permet de donner un ordre ou un conseil. Surtout s’il y a le point d’exclamation, qui me fait pencher pour l’adresse au lecteur.
La forme à l’infinitif relève de l’action en général, c’est vraiment une question de contexte, de sens et d’intention. Comme vous l’avez supposé.
Accéder au stade et visiter Lyon ! C’est vraiment génial !- 718 vues
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Faire comme si on buvait (…), apportant à nos / ses lèvres le bol fumant.
Littéralement, « on » désigne l’homme en général et permet la conjugaison au singulier, on aime rentrer chez soi et non chez nous.
Mais Il me semble que les deux (nos et ses) se défendent dans votre phrase dans la mesure où il est admis que le pronom personnel « on » peut représenter « nous » (et c’est à vous de le dire).
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Un loup et sa meute ont attaqué le village.
Le sujet est vraiment au pluriel = un loup + sa meute- 453 vues
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Dans votre cas : 1) Après un adjectif pluriel au superlatif
Il est préférable d’accorder possible lorsqu’il est placé après un adjectif pluriel au superlatif. Cependant, on peut aussi le laisser invariable.Nous avons cueilli les fraises les plus mûres possible(s).
Ils ont acheté les articles les moins chers possible(s).2) possible s’accorde en nombre avec le nom auquel il se rapporte. Il a le sens de « qui sont possibles », « qui peuvent exister ».
J’ai consulté tous les ouvrages possibles.3) L’adjectif possible est invariable lorsqu’il est placé après les superlatifs le meilleur, les meilleurs, le moins, les moins, le plus, les plus, etc. Il signifie alors « qu’il est possible » et ne se rapporte pas au nom pluriel.
Prenez le moins de risques possible.
Je veux visiter le plus d’attraits touristiques possible pendant mes vacances.- 1044 vues
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Forcément, non !
Si vous écrivez, au début ou au milieu d’une phrase, Grand-mère, maman, Oncle Picsou, Patricia, c’est que vous désignez la personne par le nom que vous lui donnez quand vous vous adressez à elle.
Si vous employez l’article, ma grand-mère, mon oncle, ma soeur, etc. vous privilégiez la fonction ou le statut de cette personne.
La première formulation est un peu plus « familière », affective, la seconde un peu plus froide, officielle, mais rien n’est obligatoire. C’est affaire de contexte de rédaction, de style d’écrit.Cette réponse a été acceptée par Pompadour. le 28 septembre 2023 Vous avez gagné 15 points.
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Je lui ai dit que ce serait un projet de courte durée : il faut mettre « serait » = le conditionnel présent qui équivaut à un futur par rapport à un repère passé. On l’appelle le futur du passé.
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Vous avez semble-t-il compris le principe : pour rappel, avec certains verbes qui appellent un complément de mesure – et au sens propre.
Les participes passés « coûté, valu, pesé, marché, couru, vécu, dormi, régné, duré… » sont invariables avec un complément circonstanciel de mesure. Le complément circonstanciel n’est pas l’objet direct. Il ne répond pas aux questions « quoi ? » ou « qui ? » mais à la question « combien?« .Les six mille francs que ce buffet m’a coûté.
Ce buffet a coûté combien? et non : Ce buffet a coûté quoi ?Pendant les cinq heures qu’a duré notre marche.
Notre marche a duré combien? et non : Notre marche a duré quoi?ATTENTION AU SENS FIGURÉ ;
Il faut prendre garde au fait que certains de ces verbes peuvent aussi être employés transitivement et avoir un véritable complément d’objet direct qui oblige à l’accord. Souvent, leur sens varie et permet de déterminer la nature du complément. On fera l’accord avec les verbes suivants, lorsqu’ils ont le sens précis de :
« Peser » s’il signifie « constater un poids » ou, au figuré, « examiner » : Ses propositions, je les ai pesées avec attention.
« Courir » dans le sens de « poursuivre » ou « s’exposer à » : Les dangers qu’il a courus l’ont épuisé.
« Valoir » dans les sens de « valoir à quelqu’un » : Les nombreuses critiques que m’a values mon article.
« Coûter« …à quelqu’un, dans un sens figuré : les efforts que ce travail m’a coûtés.
« Vivre » lorsque le complément n’exprime pas la durée. Comparez : Les trente ans qu’il a vécu et Ses rêves, il les a vraiment vécus.
Cette réponse a été acceptée par Cocojade. le 27 septembre 2023 Vous avez gagné 15 points.
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Je ne vois pas pourquoi on ne mettrait pas le pluriel à bébés et à tortues ainsi qu’à tous les noms associés à bébé. Bien sûr, certaines espèces ont des noms spécifiques pour leurs jeunes (aiglon, caneton, corbillot, cygneau…). Donc l’appellation « bébé » relève plus du grand public, Mais je pense que le pluriel s’impose.
https://tortue.ooreka.fr/comprendre/bebe-tortue- 476 vues
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En général, pour une personne on dira « Qui est ce monsieur ? » ; pour un objet ou quelque chose d’abstrait : Quel est le problème ? Quelle est la question ? quel est votre métier ? qu’est-ce que c’est ?
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