Le profil de joelle
Grand maître
60814
points

Questions
11

Réponses
8932

  • Grand maître Demandé le 28 septembre 2023 dans Conjugaison

    Un loup et sa meute ont attaqué le village.
    Le sujet est vraiment au pluriel = un loup + sa meute

    • 453 vues
    • 1 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 28 septembre 2023 dans Accords

    Dans votre cas :  1) Après un adjectif pluriel au superlatif
    Il est préférable d’accorder possible lorsqu’il est placé après un adjectif pluriel au superlatif. Cependant, on peut aussi le laisser invariable.

    Nous avons cueilli les fraises les plus mûres possible(s).
    Ils ont acheté les articles les moins chers possible(s).

    2)  possible s’accorde en nombre avec le nom auquel il se rapporte. Il a le sens de « qui sont possibles », « qui peuvent exister ».
    J’ai consulté tous les ouvrages possibles.

    3)  L’adjectif possible est invariable lorsqu’il est placé après les superlatifs le meilleur, les meilleurs, le moins, les moins, le plus, les plus, etc. Il signifie alors « qu’il est possible » et ne se rapporte pas au nom pluriel.

    Prenez le moins de risques possible.
    Je veux visiter le plus d’attraits touristiques possible pendant mes vacances.

    • 1041 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 28 septembre 2023 dans Question de langue

    Forcément, non !
    Si vous écrivez, au début ou au milieu d’une phrase, Grand-mère, maman, Oncle Picsou, Patricia, c’est que vous désignez la personne par le nom que vous lui donnez quand vous vous adressez à elle.
    Si vous employez l’article, ma grand-mère, mon oncle, ma soeur, etc. vous privilégiez la fonction ou le statut de cette personne.
    La première formulation est un peu plus « familière », affective, la seconde un peu plus froide, officielle, mais rien n’est obligatoire. C’est affaire de contexte de rédaction, de style d’écrit.

    Cette réponse a été acceptée par Pompadour. le 28 septembre 2023 Vous avez gagné 15 points.

    • 516 vues
    • 1 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 27 septembre 2023 dans Conjugaison

    Je lui ai dit que ce serait un projet de courte durée : il faut mettre « serait » = le conditionnel présent qui équivaut à un futur par rapport à un repère passé. On l’appelle le futur du passé.

    • 2319 vues
    • 3 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 27 septembre 2023 dans Accords

    Vous avez semble-t-il compris le principe : pour rappel, avec certains verbes qui appellent un complément de mesure – et au sens propre.
    Les participes passés « coûté, valu, pesé, marché, couru, vécu, dormi, régné, duré… » sont invariables avec un complément circonstanciel de mesure. Le complément circonstanciel n’est pas l’objet direct. Il ne répond pas aux questions « quoi ? » ou « qui ? » mais à la question « combien?« .

    Les six mille francs que ce buffet m’a coûté.
    Ce buffet a coûté combien? et non : Ce buffet a coûté quoi ?

    Pendant les cinq heures qu’a duré notre marche.
    Notre marche a duré combien? et non : Notre marche a duré quoi?

    ATTENTION AU SENS FIGURÉ ;

    Il faut prendre garde au fait que certains de ces verbes peuvent aussi être employés transitivement et avoir un véritable complément d’objet direct qui oblige à l’accord. Souvent, leur sens varie et permet de déterminer la nature du complément. On fera l’accord avec les verbes suivants, lorsqu’ils ont le sens précis de :

    « Peser » s’il signifie « constater un poids » ou, au figuré, « examiner » : Ses propositions, je les ai pesées avec attention.

    « Courir » dans le sens de « poursuivre » ou « s’exposer à » : Les dangers qu’il a courus l’ont épuisé.

    « Valoir » dans les sens de « valoir à quelqu’un » : Les nombreuses critiques que m’a values mon article.

    « Coûter« …à quelqu’un, dans un sens figuré : les efforts que ce travail m’a coûtés.

    « Vivre » lorsque le complément n’exprime pas la durée. Comparez : Les trente ans qu’il a vécu et Ses rêves, il les a vraiment vécus.

    Cette réponse a été acceptée par Cocojade. le 27 septembre 2023 Vous avez gagné 15 points.

    • 1257 vues
    • 1 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 27 septembre 2023 dans Accords

    Je ne vois pas pourquoi on ne mettrait pas le pluriel à bébés et à tortues ainsi qu’à tous les noms associés à bébé. Bien sûr, certaines espèces ont des noms spécifiques pour leurs jeunes (aiglon, caneton, corbillot, cygneau…). Donc l’appellation « bébé » relève plus du grand public, Mais je pense que le pluriel s’impose.
    https://tortue.ooreka.fr/comprendre/bebe-tortue

    • 475 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 27 septembre 2023 dans Général

    En général, pour une personne on dira « Qui est ce monsieur ? » ; pour un objet ou quelque chose d’abstrait : Quel est le problème ? Quelle est la question ? quel est votre métier ? qu’est-ce que c’est ?

    • 759 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 27 septembre 2023 dans Accords

    1) Le bien–être, associé à la performance de leur(s) investissement(s), est la promesse (qu’ils s’engagent à faire)  aux nouveaux acquéreurs.

    Pour l’accord du verbe : quel est le sujet ? importance des virgules (virgule syntaxique). Cas de mise en apposition, on voit bien que le sujet est seulement « le bien-être », il est complété par « associé à la performance », un complément qui ne s’ajoute pas au sujet.

    2) Le bien–être associé à la performance de leur(s) investissement(s) sont la promesse (qu’ils s’engagent à faire) aux nouveaux acquéreurs.

    Ici, on peut considérer le sujet comme un pluriel, puisque « associé » suggère une addition (on aurait pu mettre « et »).

    Parfois l’accord dépend vraiment du sens, donc de la rédaction.

    Leurs investissements : ce sont les investissements de qui ? si le possesseur est pluriel (les actionnaires, les dirigeants…,c’est « leur » avec S puisque investissements est au pluriel ; si vous parlez de la société, vous écrirez ses investissements, mais il nous faut les phrases précédentes.

    • 576 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 26 septembre 2023 dans Général

    Il me semble qu’on peut répondre que le complément du nom est introduit par une préposition (à, de, par, pour, sans, avec, en…)
    ou un article défini contracté (au, aux, du, des).

    : une sorte de voitures, un type d’assiettes, une catégorie de stylos… on a un nom et un complément du nom, introduit par la préposition « de » élidée en « d' ». À ne pas confondre avec « l’achat des assiettes » où des est un article contracté.

    • 572 vues
    • 4 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 25 septembre 2023 dans Question de langue

    Les deux formulations signifient la même chose.

    Ça doit faire cent fois que je lui dis : avec cette forme, utilisation du présentatif, ça fait … que / c’est … qui…
    Vous insistez sur le nombre de fois.

    • 1424 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes