Pour une énumération, les virgules sont la ponctuation la plus valable, 
toutefois, le dernier terme doit être précédé de "et" : 

"Je me suis baissé, en ai pris une poignée, l'ai palpé et ai dit : "

les deux sont possibles,
Le grenier était encombré de vieux meubles.
inutile ici d’ajouter par.
mais
les souris sont mangées par les chats.

Dans la plupart des cas, le verbe à la voix passive est suivi d’un complément d’agent  introduit par la préposition par et, plus rarement, par la préposition de.

Préposition devant le complément d’agent.

C’est la préposition par qui est de loin la plus fréquente : quand il s’agit, entre autres, d’un verbe exprimant clairement une action; l’accent est alors mis sur l’action même exprimée par le verbe.

On utilisera plutôt la préposition de pour exprimer le résultat d’une action. Dans ce type d’emploi, la valeur du participe passé se rapproche de celle de l’adjectif. La préposition de est employée notamment avec les verbes exprimant des sentiments. Il est très apprécié de ses patients. 

Comme le bébé aura un prénom : prénom bébé
Comme vous donnerez des idées de prénom à plusieurs bébés : prénoms bébés

Faire l’accord de toute façon.

on n’a qu’une vie,
la négation est obligatoire.
on a une vie.

ça me fait mal de le dire, mais ton travail est parfait.

En fait, il est compréhensible de mettre une majuscule au diminutif affectueux quand on s’adresse à la personne car on a le sentiment que cela remplace son prénom.
Chère Maman ! Mon Minou, mes Loulous, … je vais arrêter car je risque de basculer dans le mode « gaga ».
En revanche, si vous employez le terme comme un nom commun – par exemple « une maman » au lieu de « une mère », les petits loulous sont à l’école (je ne jugerais pas cette façon de s’exprimer que je trouve un peu régressive…), c’est fréquent dans une certaine presse ou dans les petits mots personnels, je n’en mettrais pas.

Le marché se tient – a lieu – est ouvert deux fois par semaine (bihebdomadaire).

Au subjonctif imparfait à valeur de conditionnel, on écrit qu’il fût (ou fût-il) et non qu’il fusse. Mais on dit correctement : que je fusse, que tu fusses, qu’ils fussent.

La tournure fût-il équivaut à « même si, peu importe qu’il soit ». Elle relève cependant de la langue littéraire :

• […] tant qu’on me laissera le libre arbitre, je refuserai quiconque se présentera pour être mon mari, ce prétendant fût-il millionnaire, fût-il prince! (Alexandre Dumas)

Il semble avoir mis sa confiance dans les cordes, si minces qu’elles soient / fussent.

Il me semble que ce qui rime c’est l’ensemble, l’idée, le fait – que les agences soient fermées – donc je laisse au singulier…
Ce ne sont pas les agences qui riment – c’est le mot …