Moi aussi ça me chagrine !

dans la subordonnée relative, il faut éviter d’employer dont avec un complément introduit avec la préposition de ou avec le pronom en, qui « cache » toujours un de (cette promotion, il en est heureux = il est heureux de cette promotion).

Exemples : 

–  Elle m’a soumis cette question, dont je doute de l’importance.

–  Le ministre dont j’avais écrit le texte de l’allocution a été retenu à Québec.

On écrira plutôt :

–  Elle m’a soumis cette question, dont  l’importance me fait douter. 

–  Le ministre duquel (ou : de qui) j’avais écrit  l’allocution a été retenu à Québec.

J’ignore mon interlocuteur, dont la bienveillance est douteuse / contestable.

Alors, si le complément du non est au pluriel, il faut le S.
Un duo de melons (ou d’autre chose) comporte au moins deux éléments.
Un collier de perles comporte plusieurs perles mais une maison de verre est faite avec du verre, donc la logique.

soi-même : désigne « en général » : Il n’est pas séant de se servir soi-même.
Dans la solitude, on se parle à soi-même.
Nous-mêmes : désigne plusieurs personnes «nous-mêmes comme eux-mêmes – l’adj. même est toujours accordé avec le pronom personnel».
Exemple: «Mes parents et moi, avons nous-mêmes bâti notre maison. Elles ont elles-mêmes confectionné leurs tenues.»

On notera toutefois l’expression au singulier dans deux cas très précis.

Nous-même / comme vous-même peut être au singulier :
1)  lorsque «vous» est un « vous » de politesse et par voie de conséquence: une seule personne.
Exemple: «C’est vous-même, cher Monsieur, qui nous l’avez annoncé ce matin.»
On la rédigera au pluriel lorsque «vous» sous-entendra plusieurs individus. Exemple: «Pierre, Louis et Marc, vous ferez vous-mêmes votre chambre.».

2) nous de majesté et de modestie :
Lorsque «nous» sera utilisé comme un équivalent du pronom «je».
Dans les copies de dissertation ou travaux de recherche (nous de modestie). Exemple: «dans un premier temps, nous verrons nous-même qu’il existe…»
Et, lorsque «nous» -le cas est rare- sera employé par une figure royale ou une figure de pouvoir…nous de majesté.

Dans l’usage actuel, l’adj. standard, qui signifie modèle, exemple, … s’accorde, en nombre mais pas en genre. Il a été considéré comme invar. (venant de l’anglais qui l’a lui-même emprunté au français…)
Voici un article

Il se sentit paralysé par le refus qu’elle lui opposa.

(Il fut content qu’elle fût/ soit venue : verbe de la principale exprime un sentiment, donc subj. )

vous avez raison :
m’ est COI
innombrables choses est COD
donc l’accord est juste

Y a-t-il des choses que je puisse faire pour demain ?
éventualité
Que puis-je faire pour demain ?

d’air : d’ : est la préposition « de » élidée et sans article.

Elle travaille à XXXX en qualité d’employée. 
Compte tenu de  la qualité de son travail, un congé d’étude lui est accordé.

Cette attestation est délivrée à la demande de l’intéressée ….

Cette société n’aura aucun engagement dans aucun domaine. ??? (je ne comprends pas cette phrase).

je ne me suis pas crue : accord avec le COD ME