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  • Maître Demandé le 28 mai 2020 dans Question de langue

    Prince,
    Concernant la distinction sigle/acronyme, j’ai cru comprendre, en croisant plusieurs sources que :

    • sigle dit « pur », « strict » : groupe de lettres réunissant les initiales, sans exception : PSU (Parti socialiste unifié)
    • sigle dit « impur » : un sigle « pur », mais qui se sépare des articles ou des prépositions ; SPA (Société protectrice des animaux)
    • sigle acronymique (je ne sais si l’on peut le nommer seulement « acronyme ») : un sigle qui se prononce :
      • laser (light amplification by stimulated emission of radiation) (nom commun)
      • UNESCO (United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization)
    • acronyme : abréviation constituée de plusieurs lettres :
      • AFNOR ou Afnor (Association française de normalisation)
    •  

    Je vous laisse me reprendre sur certains points s’ils sont erronés.

    Bon, cela étant écrit, je ne sais toujours pas ce que ces distinctions permettent finalement.
    Pour faire simple, voici ce que j’en retire : un sigle se trouve en capitales ou en bas de casse s’il est lexicalisé, un acronyme peut n’avoir qu’une capitale initiale s’il est long.
    Mais si on peut écrire le sigle Unesco au lieu de UNESCO, cela revient au même traitement que pour un acronyme.
    Ainsi, quelle différence dans le traitement typographique ?

    Qu’il s’agisse du sida (nom commun, malheureusement), de la Covid-19/COVID-19 (nom toujours pas commun, et heureusement), de la SNCF, de l’ONU, OTAN en emporte le vent…

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  • Maître Demandé le 28 mai 2020 dans Accords

    J’en profite pour préciser que, pour abréger, il ne faut pas confondre « numéro » et « degré ».
    À savoir :
    numéro : no (la lettre o est en exposant)
    degrés : 10 °C (il s’agit du symbole degré)

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  • Maître Demandé le 26 mai 2020 dans Général

    Merci pour votre réponse (et pour les autres, si détaillées), Prince !
    Je m’étonnais de remarquer que cette règle était si peu suivie dans les publications, et qu’il en soit aussi peu question dans les dictionnaires… d’où mon doute !

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  • Maître Demandé le 24 mai 2020 dans Accords

    Prince,
    Merci pour ce message.
    Disons (il s’agit d’une histoire inventée à titre d’exemple, mais j’ai dû en trouver un mauvais) : nous entendons du bruit (c’est le chat), nous nous rendons dans la pièce concernée et nous retrouvons les planches qui ne sont plus ni au(x) même(s) endroit(s), ni dans le même ordre.

    En clair, elles ont valsé dans tous les sens !

    Autre exemple : une bourrasque s’engouffre dans une pièce emplie de pots de fleurs (disons une dizaine).
    Tout valdingue, les pots de fleurs ne sont plus au(x) même(s) endroit(s), ni dans le même ordre.
    (Chacun a changé d’endroit, et ils ont changé de « hiérarchie »/de place entre eux.)

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  • Maître Demandé le 20 mai 2020 dans Conjugaison

    Joelle, je vous remercie pour ces nouvelles réponses à mes nouvelles questions !
    Merci pour vos explications détaillées et votre point de vue.

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  • Maître Demandé le 16 mai 2020 dans Accords

    Merci beaucoup, Prince !

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  • Maître Demandé le 16 mai 2020 dans Conjugaison

    Merci joelle et Leopardi pour vos discernements !

    Je pense choisir cette forme : « On s’avisa que… pouvaient… »

    Je trouve que le présent coupe la fluidité de la lecture (c’est le dessein, je crois) ; mais je souhaitais vos avis afin de savoir si cette correction serait malvenue.
    Mon autre exemple n’est assurément pas une découverte scientifique, même si la découverte, dès lors, modifia considérablement la manière d’organiser les villes occidentales.

    Merci encore !

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  • Maître Demandé le 16 mai 2020 dans Accords

    Merci joelle et Tara pour vos avis.

    C’est bien l’exemple du TLFi qui avait ancré un doute en moi : comment comprendre et décomposer ces « avalanches de pierre et de boue » ?
    Comme la paroi (de pierre, de roche) qui tombe ?
    Ainsi : soudain, une avalanche de pierre, des fragments de roche et des rochers tombent sur la route ?

    Merci encore.

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  • Maître Demandé le 16 mai 2020 dans Accords

    Merci joelle pour votre avis sur cette question.

    Dans ce texte en particulier, l’auteur utilise (très) souvent le singulier, en désignant l’essence : les personnages vont chercher deux troncs de bouleau(x) pour s’asseoir.
    Ici, il met : « deux troncs de bouleaux ».
    Alors, en vu de respecter son choix constant du singulier, je me suis posé la question, à savoir si on pouvait considérer l’essence et non l’objet.
    Il est nécessaire de conserver son idée de générique, et je souhaitais savoir si cette proposition serait fautive, à savoir qu’ils vont chercher deux troncs de bouleau pour s’asseoir.
    Qu’en pensez-vous ?

    Merci encore.

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