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Grand maître
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  • Grand maître Demandé le 17 octobre 2016 dans Accords

    Oui, elle me semble correcte. Les accords sont justes. Tout au plus pourrait-on déplacer « finalement » pour alléger un peu la phrase en évitant de saucissonner le verbe. Finalement, les travaux….

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  • Grand maître Demandé le 16 octobre 2016 dans Question de langue

    Bonjour,
    En fouinant deci-delà, je me fais peu à peu une idée des contours de ce que recouvrent ces appellations.
    Les « médias sociaux » prennent différentes formes : blogs, forums, des sites de partage de photos ou de vidéo,  des jeux de société en ligne…
    Ce qu’on appelle « réseaux sociaux » (numériques) ne serait qu’une partie de ces nouveaux médias. On trouve une tentative de classement sur Wikipédia.

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  • Grand maître Demandé le 15 octobre 2016 dans Général

    Bonjour,
    Ce n’est pas parce qu’on emploie un verbe au sens figuré ou dans un sens dérivé qu’on peut  changer sa construction à volonté :
    greffer ou se greffer se construit avec « sur ».  Une seule personne en dix ou douze siècles ne suffit pas à modifier l’usage et… pour une fois qu’il y a quelque chose de simple, JacksJack !

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  • Grand maître Demandé le 13 octobre 2016 dans Accords

    Je ne suis pas une passionnée de défis (pas assez de testostérone ?), je n’ai aucun sens de la compétition (sauf avec moi-même).  Et je n’ai pas pour habitude de ne pas vérifier mes intuitions. Mais à première vue, « s’en tenir à » est une expression toute faite. Le verbe n’est certes pas essentiellement pronominal, mais  comme il a changé de sens en devenant pronominal, le pronom n’est pas analysable et l’accord se fait avec le sujet.

    Je vais de ce pas vérifier ce que j’avance et je prendrai la liberté de modifier ma réponse si je pense m’être trompée.

    P.-S. Si mon explication n’est pas parfaite, l’accord, lui, est juste : « L’entreprise ne s’en est pas tenue à une pomme de douche. » En revanche, on écrira : « Elles se sont tenu la main ». (occasionnellement pronominal, COD placé après). 

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  • Grand maître Demandé le 13 octobre 2016 dans Question de langue

    Bonjour,

    En effet, « récrire » et « réécrire » sont aujourd’hui admis par les deux dictionnaires, Larousse et Robert. Mais on ne trouve pas « réécrire » dans le Littré (à la fin du XIXe siècle). Ce qui indique que le terme « réécrire » est d’usage plus récent (courant XXe). Il semblerait qu’il commence à s’imposer, comme le montre ce beau graphique… et votre question !

    On ne le trouve pas non plus dans le dictionnaire de l’Académie (8e édition), mais nul doute qu’il y sera dans la prochaine, quand les Immortels arriveront au R, car les Académiciens l’utilisent beaucoup dans leurs discours.

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  • Grand maître Demandé le 13 octobre 2016 dans Accords

    Concernant le pronom « se », j’ai parlé de « miroir », dans le cas précis de « s’endormir » (soi-même). Votre analyse correspond grosso modo à ce que l’on appelle les verbes pronominaux réfléchis (ils se sont endormis), réciproques (ils se sont embrassés, s.e. l’un l’autre ou les uns les autres), de sens passif (elles se sont bien vendues), de sens subjectif (elle s’est moquée). Et, je vous l’accorde, ce n’est pas toujours facile à démêler, car ces catégories ne sont pas étanches.

    Par ailleurs, ôtez-vous de l’idée que les règles de grammaire sont « érigées » ad vitam  par de vieux barbons qui n’y verraient que l’occasion d’affirmer leur pouvoir.  Je me répète : une langue évolue, s’enrichit, s’appauvrit, se modifie par l’usage au fil des siècles. Les grammairiens tentent régulièrement d’y mettre de l’ordre et de la logique, sans toujours y parvenir, et c’est tant mieux ! Néanmoins,  pour nous comprendre les uns les autres, il faut un minimum de points de repères communs. On peut parfaitement s’en extraire (notamment en poésie, quand la musique est primordiale), mais au risque de devenir abscons ! Les règles de grammaire  peuvent être complexes ou devenir inadaptées à leur temps, mais elles ne sont pas « artificielles », créées à partir de rien, elles ont aussi leur histoire.

    Ici, nous essayons modestement de donner quelques repères de base et de faire « simple ».  Trop ?

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  • Grand maître Demandé le 11 octobre 2016 dans Accords

    Vous voudriez écrire « endormie » sans « s » au prétexte que le « se » pourrait être le pronom personnel singulier ? Je pense que vous retombez dans votre penchant à réécrire la grammaire…  « Se » est un pronom personnel « réfléchi », c’est-à-dire qu’il est le miroir du sujet. Il est singulier si le sujet est singulier, pluriel si le sujet est pluriel. 

    Si vous voulez dire que « Chacune s’est endormie devant la télévision », dites-le ainsi. Ce sera plus clair qu’en modifiant des accords.

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  • Grand maître Demandé le 11 octobre 2016 dans Conjugaison

    Bonjour,
    Le sujet du verbe semble bien être « la première chose » , le verbe être est ici un verbe d’état (ou une copule) et « les yeux bleus » l’attribut du sujet (« la première chose » et les « yeux bleus » représentent un seul et même élément).
    On accorde en général le verbe avec le sujet (qui le précède). La première chose (qu’il vit) fut les yeux bleus.

    Ce qui gêne dans votre phrase, c’est que l’un et l’autre sont deux groupes nominaux qui n’ont pas le même nombre….
    Ici, on peut dire : Ce sont les yeux bleus qui sont la première chose qu’il vit, mais pas, c’est la première chose qu’il vit qui sont les yeux bleus.  D’où l’on peut conclure que le sujet réel est le groupe nominal « les yeux bleus ». Et accorder avec lui :
    La première chose (qu’il vit) furent les yeux bleus.

    Vous trouverez d’autres exemples ou méthodes pour distinguer le sujet réel et l’attribut ici: : http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?t1=1&id=4462

     

    Cette réponse a été acceptée par Tatsu. le 11 octobre 2016 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 11 octobre 2016 dans Accords

    Bonjour,

    La règle est que le participe passé employé avec avoir s’accorde avec son complément d’objet direct (COD) si celui-ci est placé avant le verbe.

    Dans votre phrase, le participe « échappé » est bien employé avec le verbe avoir mais il n’a pas de COD.

    • Sujet : Cette faute
    • Verbe : a échappé
    • À qui ? : à lui (lui est donc complément d’objet indirect).

    Donc, le participe passé ne s’accorde avec rien !
    « Cette faute ne lui a pas échappé » est juste.

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  • Grand maître Demandé le 11 octobre 2016 dans Conjugaison

    Bonjour,

    Le subjonctif s’emploie après un certain nombre de verbes ou d’expressions marquant, notamment, l’étonnement :

    « Je suis étonné que tu aies posé cette  question » est donc exact.

    http://www.bertrandboutin.ca/Folder_151_Grammaire/C_b_emploi_subj.htm#_INDIGNATION_OU_ÉTONNEMENT

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