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  • Maître Demandé le 12 juin 2020 dans Conjugaison

    Bonjour,

    Ici, le participe passé subi(es) est employé avec l’auxiliaire avoir, il faut donc effectivement l’accorder avec le COD antéposé (= placé avant l’auxiliaire) s’il existe.

    La ville a subi quoi ? La ville a subi les évènements successifs. Il faut donc accorder au pluriel :

    Les évènements successifs qu’a subis la ville.

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  • Maître Demandé le 8 juin 2020 dans Accords

    Bonjour,

    Dans ta phrase, m’ est un COI :

    Ces fonctions ont permis À QUI de développer des outils ? Ces fonctions ont permis À MOI de développer des outils.

    Ici, le à moi est transformé en m’.

    La règle disant Lorsque le participe passé est employé avec l’auxiliaire avoir, celui-ci s’accorde en genre et en nombre avec le complément d’objet direct antéposé (= placé avant l’auxiliaire) s’il existe et m’ étant un complément d’objet indirect, il ne faut pas faire l’accord :

    Ces fonctions m’ont permis de développer des outils.

    Bonne journée.

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  • Maître Demandé le 27 mai 2020 dans Accords

    Bonjour,

    La règle est la suivante : le participe passé employé avec l’auxiliaire avoir s’accorde en genre et en nombre avec le complément d’objet direct antéposé (= placé avant l’auxiliaire) s’il existe (et non avec le sujet).

    Tu cherches alors le COD : J’ai acquis une base de connaissances et de compétences solides qui m’ont offert QUOI ? Qui m’ont offert de plus grandes responsabilités.

    Le COD est placé après le verbe (= postposé), tu ne dois donc pas accorder le participe passé :

    J’ai acquis une base de connaissances et de compétences solides qui m’ont offert de plus grandes responsabilités.

    Bonne journée.

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  • Maître Demandé le 26 mai 2020 dans Accords

    Il est aussi possible que C’est moi qui les fait soit un jeu de mot avec la phrase homonyme C’est moi qui l’ai fait, comme pourrait l’écrire un enfant…

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  • Maître Demandé le 24 mai 2020 dans Question de langue

    Bonjour,
    Il me semble que lorsque la négation employée est ne … que, l’auxiliaire ET le participe passé sont entourés par ne et que :

    Je n’ai mangé que du pain.
    ET NON : Je n’ai que mangé du pain.

    Je ne suis sorti qu’hier.
    ET NON : Je ne suis que sorti hier.

    Ta phrase devrait plutôt être : Je n’ai appliqué que la même recette ; ou bien : Je n’ai fait qu’appliquer la même recette (ici, appliquer est un infinitif, il peut donc être hors du ne … que).

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  • Maître Demandé le 24 mai 2020 dans Accords

    Bonjour,
    Pour ce genre de situation, le Bescherelle précise que les deux cas sont possibles :

    1) Tu peux effectivement accorder le verbe directement avec le sujet, qui est l’essentiel (des habitations) :
    L’essentiel des habitations était des logements sociaux.

    2) Toutefois, le mot essentiel étant un nom collectif qui désigne une pluralité d’objets (les habitations), tu peux accorder au pluriel :
    L’essentiel des habitations étaient des logements sociaux.

    Ton choix peut être orienté par le mot sur lequel tu souhaites appuyer.
    S’il est important de savoir que c’est L’ESSENTIEL des habitations, la majorité, la plus grande partie d’entre eux qui est des logements sociaux, alors tu privilégies le cas n°1.
    Si tu veux appuyer sur le fait que c’est l’essentiel DES HABITATIONS, de ces logements-ci, et pas d’autres, qui sont des logements sociaux, alors tu préfères le cas n°2.

    Bonne journée.

    Cette réponse a été acceptée par Pascal3873. le 24 mai 2020 Vous avez gagné 15 points.

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  • Maître Demandé le 23 mai 2020 dans Accords

    Bonjour,
    Ta fin de phrase bien que lui s’en était posé(es), c’est comme si tu disais il s’en était posé(es).

    Il s’était posé quoi ? Il s’était posé des questions. Ces questions sont désignées par le pronom adverbial en.

    Avant même de te demander si le COD est antéposé ou postposé (= placé avant ou après le verbe), ce qui peut poser un doute puisque en est entre s’ et était ; sache que lorsque le COD est en, cela n’engendre aucun accord du participe passé !

    En effet :

    Où sont les cerises ? Il les a mangées.
    MAIS : Où sont les cerises ? Il en a mangé.

    Les maisons ? Il les a détruites.
    MAIS : Des maisons ? Il en a détruit.

    Le fait est que lorsque le COD est un déterminant (le, la les…), celui-ci peut s’accorder, donc le participe passé aussi.
    Lorsque le COD est en, un mot sans genre ni nombre, le participe passé ne peut pas s’accorder avec lui.

    Ainsi : bien que lui s’en était posé.

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  • Maître Demandé le 23 mai 2020 dans Accords

    Bonjour,
    Le Bescherelle indique ceci : les deux formes sont possibles.

    1) Évidemment,  il est possible d’accorder le verbe avec sont sujet, qui est ici la majorité : La majorité d’entre eux se contente.

    2) Il est aussi possible de l’accorder au pluriel parce que le sujet désigne une pluralité d’objets : La majorité d’entre eux se contentent.

    Ton choix dépendra surtout du mot sur lequel tu veux mettre l’accent. Si c’est le fait qu’il y a une majorité qui est important, tu préfèreras l’accord n°1. Si tu veux appuyer sur le fait que c’est la majorité d’entre eux qui se contente, alors tu préfèreras l’accord n°2.

    Pour le leur(s), c’est ainsi : si toutes les personnes désignées par eux ont chacune un camarade, tu mets : des exercices à leur camarade.
    Si toutes les personnes désignées par eux ont chacune plusieurs camarades, tu mets : des exercices à leurs camarades.

    Si, comme je le pense, tous les camarades sont communs à toutes les personnes désignées par eux, alors chacune en à plusieurs, donc c’est leurs.

    Bonne journée.

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  • Maître Demandé le 18 mai 2020 dans Accords

    Bonjour,
    Ici mêlé est le participe passé de l’auxiliaire être à la forme pronominale. La règle est : le participe passé s’accorde en genre et en nombre avec le COD antéposé (= placé avant l’auxiliaire) s’il existe.
    Dans ta phrase, le sujet est attaques et esquives, c’est comme si tu avais écrit : Attaques et esquives se sont mêlé(es), on cherche alors à savoir si le pronom réfléchi se est COD ou COI :

    Attaques et esquives ont mêlé quoi ? Attaques et esquives ont mêlé elles-mêmes —-> se = elles-mêmes = COD, donc on accorde :
    Attaques et esquives se sont mêlées.

    Si le participe passé avait été succédé, cela aurait été différent :

    Attaques et esquives ont succédé à quoi ? Attaques et esquives ont succédé à elles-mêmes —-> se = à elles-mêmes = COI, donc on n’accorde pas :
    Attaques et esquives se sont succédé.

    Bon après-midi.

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  • Maître Demandé le 18 mai 2020 dans Accords

    Bonjour,
    Dans ta phrase, le sujet qui se rapporte au verbe devoir est l’ancien latiniste. Il faut donc accorder le verbe avec : l’ancien latiniste que je suis doit observer.

    Il ne faut pas accorder avec le je de que je suis, car il est sujet du verbe être (suis) qui est dans sa proposition subordonnée.
    Cela se voit mieux lorsque le verbe de la subordonnée n’est pas être : l’ancien latiniste que je connais doit observer.

    Bonne journée.

    Cette réponse a été acceptée par Agosin. le 18 mai 2020 Vous avez gagné 15 points.

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