433
points
Questions
7
Réponses
924
-
Bonjour BBFolk, rien n’interdit de conjuguer le verbe savoir à d’autres personnes ou d’autres temps, la phrase reste correcte grammaticalement mais on perd alors quelque peu le sens attaché à l’expression « je ne sais quel… » (sauf « on ne sait quel… » qui est une variante usuelle). Dans la phrase que vous proposez, il faut bien écrire « Elle semblait résignée à je ne sais quel sacrifice » à la première personne et au présent (ou éventuellement on ne sait, qui n’est pas spécialement plus élégant).
- 3798 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Bonjour Line, votre phrase est presque correcte, il conviendrait juste d’accorder le participe passé « connue » avec son COD (le pronom « qu’ » (que) mis pour « la polémiste ») : « la meilleure polémiste qu’ait connue l’émission ».
Pour votre deuxième question, « tout » dans « tout autour » est adverbe donc invariable : « tout autour de ce château ».Cette réponse a été acceptée par Linee. le 16 juin 2019 Vous avez gagné 15 points.
- 2341 vues
- 1 réponses
- 0 votes
-
Bonjour Millan, pour une bonne concordance des temps, avec « c’était » à l’imparfait vous devez effectivement mettre « consolais » également à l’imparfait. Si vous voulez utiliser le passé simple « consolai », il faut alors que vous mettiez toute la phrase au passé simple : « ce fut moi qui consolai les autres ». Notez que l’imparfait et le passé simple ont des significations différentes : l’imparfait décrit une situation qui se répétait dans le passé (en ce temps-là, d’habitude…), le passé simple un événement qui s’est produit une fois (ce jour-là…).
Cette réponse a été acceptée par millan. le 15 juin 2019 Vous avez gagné 15 points.
- 8422 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Bonjour, je ne suis pour ma part pas du tout persuadé que l’adjectif semi-retourné soit correct. Les dictionnaires usuels (Petit Larousse, Petit Robert) donnent chacun une liste limitée de mots commençant par semi– (une trentaine pour le PL, une quarantaine pour le PR), comprenant des mots relativement usuels comme semi-conducteur, semi-précieux, semi-remorque et d’autres plus spécialisés voire anecdotiques. Le dictionnaire de l’Académie quant à lui précise à l’entrée semi– : « Il se joint à un certain nombre [c’est moi qui souligne] d’autres mots et sert à former des expressions dont les suivantes sont les plus usitées : {…} » (suit une liste de sept mots dont semi-circulaire, semi-périodique et cinq autres que je n’avais jamais rencontrés). Dès lors, je doute fort qu’il soit légitime de coller le préfixe semi– à n’importe quel nom ou adjectif et obtenir un mot « correct » (ou même semi-correct 😉 ). Je conseillerais donc aussi à Florence de s’en tenir à une formulation classique comme les jambes à demi repliées et d’éviter les constructions fantaisistes avec semi– (notamment semi-retournées qui me fait mal rien qu’à le lire… 😅)
- 1914 vues
- 5 réponses
- 0 votes
-
Bonjour Millan, pour répondre complètement à votre question, le nom partie prend donc bien un ‘e’ final (une partie), en revanche ni naturel ni inné ne doivent en prendre car il ne s’accordent pas avec partie mais avec c’est, donc au masculin singulier : c’est (en grande partie) naturel, c’est (en grande partie) inné.
- 1840 vues
- 3 réponses
- 1 votes
-
Bonjour BBFolk, taper des mains et taper dans ses mains sont effectivement deux expressions usuelles et équivalentes, dont le sens est assez proche d’applaudir (avec toutefois peut-être une connotation plus populaire, plus « joyeuse »). Personnellement j’aurais tendance à considérer la tournure taper dans ses mains comme un peu plus enfantine, mais c’est assez subjectif (le Petit Robert cite les deux expressions simultanément et sur le même plan).
- 5964 vues
- 3 réponses
- 0 votes
-
Bonjour Electra, pour répondre précisément il faudrait connaître un peu plus de contexte. Il y a eu plusieurs discussions ici sur l’emploi comparé de à travers et au travers de qui pourront vous apporter des éléments de réponse (de la plupart il ressortait d’ailleurs que ces deux expressions sont à peu près équivalentes). Notez toutefois que la première formulation que vous proposez est bancale : tant à travers ceci que de cela ne convient pas (puisque cela reviendrait à dire à travers de cela). D’un autre côté, écrire tant à travers ceci que cela me paraît également incorrect, je pense que si vous optez pour à travers, vous êtes obligée de le répéter dans les deux branches du tant : tant à travers la montée du mécontentement qu’à travers (autre chose). En revanche, tant au travers de ceci que de cela me semble correct (et évite la répétition).
- 5167 vues
- 1 réponses
- 0 votes
-
Bonjour Line, le plus-que-parfait s’emploie normalement dans un récit au passé pour exprimer un événement survenu dans une période de temps antérieure à celle du récit. Par exemple : je te demande (aujourd’hui, au présent) si tu as reçu ma dernière lettre (passé composé) mais je t’ai demandé hier si tu avais reçu ma dernière lettre (plus-que-parfait). Dans votre phrase, la proposition principale étant au présent, il n’y a pas de raison particulière de mettre la subordonnée au plus-que-parfait, le passé composé est correct : je te demande de relire la lettre que tu m’as envoyée l’année dernière.
Cette réponse a été acceptée par Linee. le 15 juin 2019 Vous avez gagné 15 points.
- 25043 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Bonjour grmber, l’expression (dire) ce qu’il en est est extrêmement courante, je n’ai jamais entendu dire qu’elle soit incorrecte ou même familière, je pense que vous pouvez l’utiliser sans réserve (notamment dans ce qui semble être un courrier d’ordre administratif). Par ailleurs, pour une question de légèreté, j’éviterais de multiplier les virgules dans la deuxième phrase en déplaçant s’il vous plaît : « De ce fait, pourriez-vous s’il vous plaît me dire ce qu’il en est ? » (mais c’est une question de style purement personnelle… 🙂 ).
Cette réponse a été acceptée par gmmbrr. le 12 juin 2019 Vous avez gagné 15 points.
- 181932 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Bonjour Julien, ici le participe passé permis (de permettre) est conjugué avec l’auxiliaire être (les choses de la vie leur étaient permis[es]), dans ce cas il s’accorde avec le sujet (les choses), il faut donc bien écrire les choses de la vie leur étaient permises. Le participe passé est ici utilisé comme un adjectif (on parle parfois de participe passé adjectival), il pourrait d’ailleurs être remplacé par un adjectif (qui bien sûr s’accorderait aussi), par exemple les choses de la vie leur étaient douces (ceci peut être un « truc » pour décider en cas de doute sur l’accord du participe passé).
- 2380 vues
- 2 réponses
- 0 votes
