Pour rester modeste, je dirai / disons que je me débrouille.
Je me débrouille dirons-nous, pour rester modeste.

À mon avis le conditionnel n’a rien à faire là. En effet, dans ce cas précis, il ne s’agit pas d’une « hypothèse », et je ne vois pas ce que « l’élégance » ou « la préférence » ont à voir avec la grammaire ou le bon sens.
Pour reprendre l’exemple de Tara, à  la première personne du pluriel cela donne « dirons-nous » et non pas « dirions-nous« , ce qui n’aurait pas de sens, me semble-t-il.

Je ne suis pas d’accord, pour un arbre on dira « cime » et non pas « faîte » employé plutôt pour des constructions ou des reliefs naturels
Voir ICI
Son chant s’élève jusqu’à la cime des arbres.
Vous pouvez également parler de la « canopée« .
Voir ICI

Ni « de« , ni « pour« , ni « avec » ne me semblent convenir. La locution est généralement employée seule.
Personnellement je penche plutôt pour :
Elle cueillait des framboises et s’en donnait à cœur joie.
Ou éventuellement
Elle s’en donnait à cœur joie à cueillir des framboises. 

Non cumulable avec d’autres réductions, non valable pour les marques X, Y, et Z ni pour les services et les commandes déjà passées.

Il faut éviter d’employer « sur » pour tout et n’importe quoi, c’est un mal qui s’étend et nous ronge notre jolie langue.

On dira « Ce n’est pas valable non plus » et non pas « ce n’est pas valable aussi« .
Donc votre deuxième proposition « ainsi que » est erronée.

Votre dernière question :
Il m’a dit qu’il se couchera tôt ce soir s’il peut.
Il m’a dit qu’il  se coucherait s’il pouvait.

Les deux phrases sont correctes, à condition d’ajouter « le » : s’il le peut / s’il le pouvait.

Il y a juste une petite nuance, vous y verrez plus clair si vous basculez en style direct :
Dans la phrase 1, il projette de se coucher tôt.
Au style direct : je me coucherai tôt ce soir, si je le peux.
Dans la phrase 2, cela peut induire l’idée qu’il sait déjà qu’il ne pourra pas se coucher tôt.
Au style direct : je me coucherais tôt ce soir si je le pouvais.

Est-ce que cela vous aide ?

« Je suis consciente qu’il me faudra prendre des décisions en état d’urgence et savoir s’adapter à l’imprévu car chaque jour et chaque enfant étant différent. »

Quel que soit le texte que vous écrivez, faites des phrases courtes, avec une seule idée par phrase, c’est le meilleur conseil que je puisse vous donner.
Tout dépend du contexte, que nous ne connaissons pas, mais…
Non, votre phrase n’est pas correcte, car vous mélangez trop de choses, les décisions à prendre, les urgences, les imprévus, les enfants… et puis oui, on le sait chaque jour est différent, et chaque enfant aussi, n’enfoncez pas des portes ouvertes.
« Il me faudra savoir s’adapter » est incorrect –> vous mélangez la forme personnelle et impersonnelle.
À mon sens « il me faudra savoir m’adapter » n’est pas très heureux.
Une suggestion pour une partie de votre texte :
Il me faudra m’adapter chaque jour à chaque enfant, et à chaque situation.

Cocojade,

À noter que l’on ne trouve pas « mixte » en tant que substantif dans le dictionnaire de l’Académie.

Il est effectivement passé dans le langage courant pour parler de mélange ou de combinaison, ce qui ne prouve pas pour autant que cet emploi soit approprié.
Si vous venez poser la question ici, c’est que vous souhaitez être sûre que vous vous exprimez correctement.
Dans ce cas, je vous conseille « mélange / combinaison » cela réconciliera tout le monde !

Benezet,

J’ai été absente du site depuis fin juin _ date à laquelle vous êtes arrivé sur Question orthographe » _  je n’avais jamais entendu parler de vous, et voici ce que je lis :
« La réponse de joelle est lunaire associant « agréable » à « quelqu’un » dans « quelqu’un d’agréable« , ne vous inquiétez pas, elle est folle. Et elle termine avec du « discuter avec quelqu’un c’est redondant car l’on discute le plus souvent avec quelqu’un« , elle est trois fois folle. Mais quand va-t-on virer ces gens-là de notre site ?« 

Mais qui êtes-vous ?
Pour qui vous prenez-vous Monsieur ?
Vous avez, semble-t-il, perdu le sens des réalités et de la décence…
Je vous trouve terriblement choquant.
Vous n’avez rien compris à sa réponse, pleine de bon sens, bien plus utile que la vôtre, et faisant preuve d’érudition, et vous vous tournez en ridicule avec ce commentaire où votre prétention n’a d’égale que votre crétinerie.

« Votre site » dites-vous ?! Ah oui, vraiment ?
Vous ne savez pas de quoi vous parlez… Joëlle, avec quelques-uns d’entre nous, a essuyé les plâtres du site, et en ce qui concerne sa connaissance de la langue française, elle a largement fait ses preuves toutes ces années !
Elle pourrait vous donner quelques leçons, et dans bien des domaines, à commencer par l’humilité…………….

Je suis allée voir votre profil, et je me demande par quel miracle vous êtes passé « Grand Maître » en un mois et demi (un vrai mystère……………) alors que vos interventions de trois pages sont ennuyeuses à mourir, et vos continuelles leçons de vie assommantes !

Veuillez vous en tenir aux questions posées, et servez-vous de votre sens critique pour vos propres réponses, ce ne sera déjà pas si mal, et bien plus utile. 

Voici l’extrait de la chanson, où ces deux phrases se suivent :
« J’peux dormir serein, aucune faute moi je n’ai commis
Toi toutes les fautes tu les as commises« 

Aussi, je suis tentée de dire que Tayc connaissait cette règle de grammaire quand il a écrit ce texte, et qu’il a sciemment choisi la tournure poétique pour « moi je n’ai commis aucune faute« .

Eh bien non Cendrine, « il faut » est une forme impersonnelle, et donc comme son nom l’indique on parlera de genre neutre.
Il faut être / on doit être timbré pour faire ça.