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Bonsoir Mimodesbois.
On écrit des livres d’occasion (sans s à occasion donc), et ce, car d’occasion est ici une locution adverbiale invariable.
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Re-bonsoir.
Ces réseaux ont varié au cours de l’histoire sociale et du développement de la structure physique et mentale des hommes.
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Bonsoir Youssef.
Mettre le point abréviatif à Tél. et supprimer les points dans le n° de téléphone.
Ecrire : proposée (le C.O.D. est antéposé au participe).
Tu préfères pas substituer m’intéresse à me concerne ?
Sinon, cet en-tête est très convenable.
Bonne chance!
Cette réponse a été acceptée par Youssef. le 11 décembre 2018 Vous avez gagné 15 points.
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Tu es prête à me suivre, dis-tu. Mais tu sais, je pars souvent très loin. lol
* Pour en revenir à ta question :
« Si tu avais une phrase du type « telle une étoile, cette personne apparaît et disparaît », tu ne ferais pas la même remarque , alors que si tu avais « telle une étoile, cette personne apparaît et disparaît dans les réunions », tu la ferais ? »Oui ; tu as tout compris. Dans Telle une étoile, cette personne apparaît et disparaît, le sens de la comparaison est clair, on trouve facilement les mots elllipsés (qui apparaît et disparaît, après étoile ) et les verbes apparaître et disparaître sont employés dans le même sens, qu’ils soient sous-entendus ou non).
Alors que dans le cas de Telle une étoile, cette personne apparaît et disparaît dans les réunions, la comparaison est soit dépourvue de tout sens (!Telle une étoile qui apparaît et disparaît dans les réunions (!), soit ne laisse pas connaître sa signification ( Cette personne apparaît et disparaît dans les réunions, telle une étoile qui… ?* Question de Nabil
Telle une lumière, ces hommes éclairent les esprits. Le sens de la comparaison n’est pas clair, parce que, comme je l’ai écrit, elle n’est pas complète (pour établir une comparaison, il faut (au moins) deux termes, l’un d’eux pouvant être implicite). Mais ici qu’est-ce qui est comparée à qui/à quoi ? ? Une lumière à certains hommes qui éclairent les esprits ? Quelle est la signification de cela ? Une lumière à autre chose ? Mais à quoi ? Une lumière qui éclaire à certains hommes qui éclairent les esprits ? Et une lumière qui éclaire quoi ? Une lumière peut éclairer une infinité d’êtres ou de choses… On ne connaît pas les mots éllipsés. Seul l’auteur de cette phrase sait ce qu’il a voulu dire (enfin je l’espère).Outre cette déficience sémantique, cet énoncé souffre d’une antonomase (on utilise deux fois le même mot dans une phrase en lui donnant deux sens différents (Jean Bordes n’apprécie guère cela). Parfois, dans l’antanaclase, le mot n’est pas répété mais sous-entendu. En effet, en admettant que l’auteur ait voulu dire « Telle une lumière qui éclaire… » [on ne peut pas connaître pas la suite], le verbe éclairer serait pris dans deux sens différents dans la même phrase. Laissons cela aux publicitaires qui jouent sur la polysémie (« Avec nos imprimantes, la qualité d’impression fait toujours impression. ») ou aux grands écrivains (Le coeur a ses raisons que la raison ne connaît pas).
Bonne nuit !
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Bonjour nabil54.
« Telle une lumière, ces hommes éclairent les esprits. »
Orthographe : d’accord.
Concernant la cohérence , il me semble qu’il manque un terme de comparaison. A mon sens, il faudrait : Telle une lumière (qui) éclaire…, ces hommes éclairent les esprits. En effet, compte tenu de la syntaxe de votre phrase, celle-ci signifie : « Telle une lumière (qui) éclaire les esprits, ces hommes éclairent les esprits ». Or, ce n’est sans doute pas ce que vous voulez dire…
Si qqn trouve une construction (bien référencée)du type de la phrase examinée, je suis preneur ; mais le Bon usage, qui consacre toute une étude à « Tel comme adjectif exprimant la similitude » (dernière éd., § 642) n’en fait pas état (sauf erreur de ma part).
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Bonjour Youssef.
(de) doit être supprimé. On vit/on a, etc., différentes expériences.
Tu peux supprimer les majuscules initiales dans « Génie Electrique, Automatique et Automatisme ». A la rigueur, tu peux conserver la première seulement. En ce qui concerne les noms de de formations, de stages, de diplômes, etc., certains mettent une majuscule initiale à tous les noms communs dans un but de valorisation… Mais ces majuscules ne sont nullement obligatoires.
Où voudrais-tu ajouter un article indéfini ? Pour ma part, je ne vois pas.
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Bonsoir Cathy.
On écrit des aides-soignantes (s à aides).
Cette question a été traitée ici.- 8500 vues
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Ce n’est pas si simple, Jean Bordes.
En revanche, Prisca, vous avez eu une bonne réaction ; je vais essayer de préciser, pour le cas particulier que vous présentez.Je reprends votre ex. :
« La plage de Nice, Mario ne se l’était pas imaginE ou imaginEE « caillouteuse ». (J’ai guillemeté car czardas a raison sur ce point.)On est en présence du cas ou l’ peut être considéré comme un C.O.D. accompagné de son attribut et où le participe passé est cru, dit, voulu, imaginé (+ synonymes) . En pareil cas, le participe passé reste normalement invariable.
Ex. : Elle lui parut plus grande qu’il ne l’avait imaginé (H. de Régnier). (Il avait imaginé qu’elle était grande.) Ma joie n’était ni aussi grande ni aussi franche que je me l’ étais promis (A.Toutefois, il convient de signaler que :
– les auteurs accordent parfois le participe passé comme si l’ était pour la : La nature apparaîtra plus généreuse qu’on ne l’ avait crue (J. Rostand).– avec imaginé, cet accord est fréquent : Je la voyais moins malheureuse et mieux portante que je ne l’ avais imaginée (Proust).Cette réponse a été acceptée par Prisca. le 10 décembre 2018 Vous avez gagné 15 points.
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Je me bornerai à indiquer qu’il y a, au moins, de l’hésitation pour le pluriel de lancer franc (désolé Joëlle, Czardas) :
Par ex.,le Gand Robert de la langue française, version électronique, 2017, entrée lancer franc, précise que le pluriel est lancer francs (lancer sans s) alors que Le Guichet du Savoir écrit « on écrira donc des lancers francs. »
Cela m’apparaît particulièrement illustratif du fait qu’il convient d’éviter d’être catégorique en ce qui concerne la langue française (sauf dans certains cas ou après avoir vérifié dans les meilleurs dictionnaires et grammaires notamment) ou, dit autrement, du fait que l’on n’est (presque) jamais trop prudent en la matière.
N.B. Je ne dis pas que le GR a nécessairement raison ou que des lancers francs est fautif…
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Bonjour Virginie.
Non, ta phrase n’est pas compréhensible ; en tout cas, je ne la comprends pas.
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