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Non : à lui tout seul concerne un homme ou une chose du genre masculin. Ex. : A lui tout seul, il croit t sauver le monde. A lui tout seul, ce spectacle ne renflouera pas la caisse. S’il s’agit d’une femme ou d’une chose du genre féminin, on dit à elle toute seule. A elle toute seule, elle pense en venir à bout. A elle toute seule, cette pièce de théâtre ne parviendra pas à renflouer la caisse.
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Tiens Russeum ! 🙂
Oui, on peut l’omettre.
En réalité, on a le choix. Vous pouvez donc écrire Je vais jusque chez le médecin ou Je vais chez le médecin (formulation la plus courante).
NB – La préposition jusque a pour particularité d’être généralement suivie d’une autre préposition, le plus souvent à. Mais elle peut aussi précéder plusieurs autres prépositions selon le complément qui suit, notamment après, chez, dans, en, entre, sous, sur et vers. Ex. : J’étais si fatigué qu’il m’a accompagné jusque chez moi avec sa voiture. (= J’étais si fatigué qu’il m’a accompagné chez moi avec sa voiture.)
Cette réponse a été acceptée par russeum. le 21 mai 2020 Vous avez gagné 15 points.
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Définition de l’interjection : c’est un mot (en principe inv.) inséré dans le discours pour exprimer un sentiment ou une sensation avec vivacité. L’interjection est en général suivie d’un ! S’il y a plusieurs mots, c’est une loc. interjective. Ex. : Ah ! Stop! Gare ! Chiche ! Hélas ! Ma parole! Par exemple ! Dis donc !
Certains mots- phrases sont aussi des interjections : Adieu ! Aïe ! Allo ! Ha ! Ah ! Bravo ! Zut ! D’autres, non. Ex. : Merci. Bonjour. Bonsoir.
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Le verbe s’accorde avec son sujet. Qui est-ce qui me conseillait ? Réponse : Shakib (prénom masc. si je ne me trompe pas). On écrira donc le verbe au singulier : conseillait.
NB – webinar est francisé en webinaire.
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La classe grammaticale (ou nature) vous a été donné par Joëlle.
Il est intéressant de savoir que des grammairiens dénomment aussi ces mots des mots-phrases (ou locutions-phrases). Ex. : Bonjour, Allô. Merci. Hélas ! O.K. Zut ! Tant pis.
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Bonsoir,
On t’a dit est correct. T’ (t’) résulte de l’élision de Te (te). ==> °On te a dit ==> On t’a dit. L’élision est marquée ici au moyen de l’apostrophe (‘), qui prend la place de la voyelle amuïe e).
L’élision est toujours marquée dans l’écriture lorsqu’elle concerne e dans le monosyllabe te devant une voyelle (aussi dans me, se , le , que , de , ne , et dans jusque).On t’a dit. Tu t’ es trompé.
On te dit que est correct.On appelle ce t’ t apostrophe ou t élidé.- 13735 vues
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J’ai maintenu contre vents et marées que « avoir dans avoir froid n’est un verbe strictement ni d’état ni d’action, mais un verbe utilisé dans un emploi proprement copulatif. Dit autrement, avoir est un verbe à emploi occasionnellement copulatif », comme avoir peur, avoir faim, etc.
Je précisais que je fondais mon opinion sur l’analyse de M. Riegel, J.-C. Pellat et R. Rioul, auteurs de la Grammaire méthodique du français (2e meilleure grammaire actuelle, comme je l’ai dit ici sans jamais être démenti).J’indiquais que selon cette analyse, « en alternance avec être, le verbe avoir fonctionne également comme une copule régissant un élément nominal il a faim (il est affamé), il a peur (il est apeuré), il a la fièvre (il est fiévreux) ; il a du courage (il est courageux), etc. », et que ces emplois de ces deux verbes (être et avoir) sont qualifiés d’ « emplois copulatifs ».
Je vous informe que l’Académie française vient de m’informer que « l’analyse que font Rioux, Riegel et Pellat au sujet de groupes comme il a peur, il a faim peut être étendue à il a froid. »Dès lors, a (du verbe avoir) ) dans le groupe il a froid « fonctionne comme une copule régissant un élément nominal » (froid) et son emploi, en l’espèce, peut être qualifié de « copulatif ».
On est donc assez loin notamment d’un verbe d’action ou d’une locution inanalysable (avoir froid), comme cela a pourtant été soutenu.
Je crois que qu’il ne faut pas se laisser enfermer dans la dichotomie primaire (VE/ VA)*, satisfaisante pour les élèves du primaire, et qu’il convient d’élever le débat grâce aux meilleurs professionnels de la langue.* Comme certains l’ont tenté, par ex. Tara (avec l’expression « verbe de sensation », qui ne « méritait » pas une certaine réaction… Je pense que certains verbes échappent à l’opposition VE/VA et qu’en particulier, c’est le cas de avoir dans certains de ses emplois.
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Anouck, non, comme si n’est pas toujours suivi de l’imparfait de l’indicatif.
Il peut être suivi du PQP de ce mode : Comme si qqch. avait passé sur eux (Hugo).Dans la langue littéraire, on utilise le PQP du subjonctif (qui a valeur de cond. paasé), parfois l’imparfait de ce mode.
Quand comme si introduit une phrase exclamative, il peut être suivi du conditionnel : Comme s’il se réconcilierait jamais avant d’avoir vaincu (Troyat).
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Bonjour,
On dit Vous nous avez fait l’amitié/l’honneur de participer, mais pas Vous nous avez fait la considération de participer…
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