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Un acte de naissance peut donner lieu à la délivrance de 3 documents différents : la copie intégrale, l’extrait avec filiation et l’extrait sans filiation. Les conditions de délivrance dépendent de la nature du document que vous demandez.
Je suppose que vous évoquez le numéro d’inscription au répertoire national d’identification des personnes physiques (NIR). Le NIR, communément dénommé « numéro INSEE » ou « numéro de sécurité sociale », se compose de 15 chiffres.Je ne vois pas de rubrique réservée au « code personnel » ou à un « identifiant personnel » ou à un « numéro d’identification personnel national » ou au fameux NIR dans l’extrait de naissance, dont ci-joint une photo.
Cela dit, je ne suis pas officier d’état-civil. Etes-vous sûr que ce numéro figure sur l’acte de naissance (copie intégrale ou extrait) ?
Le mieux serait de téléphoner au service de l’état-civil d’une mairie pour demander si une rubrique est prévue à cet effet* et, dans l’affirmative, sa dénomination en France.
* Vous traduisez un acte d’état-civil étranger ?
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Bonjour,
Avec l’auxiliaire avoir, le PP s’accorde avec le C.O.D. antéposé* (s’il existe). ==> La chanson que nous lui avons chantée.
* Placé avant le verbe.- 3776 vues
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Bonjour Ariane.
» Ce lieu dont elles sont parties intégrantes » = « Ce lieu dont elles sont des parties intégrantes »
« Intégrantes » est ici un adjectif, qui s’accorde en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte.Si vous avez besoin d’une excellente source, en voici une :
Dictionnaire de l’Académie française, s.v. Intégrant, intégrante, adjectif :
« Ces articles sont des parties intégrantes du règlement.- 32899 vues
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TLFi, habiter :
P. ext. [Le compl. circ. désigne le lieu où se trouve la résidence] .à la campagne, à la ville; habiter dans le quartier, dans la rue. Finir là son existence et habiter comme un bourgeois sur cette place de Paimpol (Loti, Pêch. Isl.,1886, p. 29).J‘habite maintenant dans cette rue, chez ma femme, ma légitime (Queneau, Pierrot,1942, p. 215).J. Hanse : On habite une rue ou dans une rue. J’habite dans la même rue que lui. »
La rue que j’habite. La rue où j’habite.Par contre, habiter sur la rue Untel est critiqué par plusieurs ouvrages. La BDL l’accepte pour le Québec.
Ma conclusion : On peut écrire : La rue dans laquelle j’ai habité (pas de C.O.D. antéposé), la rue que j’ai habitée (C.O.D. antéposé), la rue où j’ai habité (absence de C.O.D. placé avant le verbe).
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Mettez une majuscule à « ça ».
« Mes ateliers », c’est du langage familier. Que voulez-vous dire exactement ?Sinon, l’ensemble n’est pas incorrect.
Bon après-midi!
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Bonjour,
« Peut-on omettre le pronom personnel dans le cas où il est élidé ?Je pose ma veste et (j’)ôte mes chaussures. »
A mon sens, on ne peut pas. En effet, il y aurait une rupture de construction à cause de l’absence du pronom personnel sujet (de la 1re pers. du sing.) qu’il faut employer avec ôte (j’). Il convient d’écrire Je pose ma veste et j’ôte mes chaussures. Ce genre de faute – assez courant, même chez les meilleurs, chez V. Hugo par ex. – s’appelle une anacoluthe. Certains parlent de zeugme (zeugma) ; mais ce mot recevant des acceptions différant selon les grammairiens, il est préférable de ne pas l’employer.
Autre exemple d’anacoluthe, souvent donné par les grammaires qui traitent de ce sujet : °entrer et sortir de la maison ; on entre dans la maison, mais on sort de la maison. On ne peut donc pas écrire : °Les enfant ne cessent d’entrer et de sortir de la maison. Il faut dire : Les enfants ne cessent d’entrer dans la maison et d’en sortir. (Cf. Portail linguistique du Canada, jeux sur la grammaire et la syntaxe.)
A plus. 🙂
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Ce n’est tout de même pas simplement une question de « subjectivité ».
Sans doute ne faut-il pas oublier que la modalité négative est, en quelque sorte, « tiraillée » entre l’affirmation (indicatif) et la négation (subjonctif) et que de ce fait il est impossible de fixer des règles précises et strictes. Mais la prise en considération du degré de certitude/incertitude est très importante (on dit très souvent que le subj. est le mode du doute).– Le questionneur A a déjà son opinion ; il veut simplement connaître celle du questionné B (par ex., pour savoir si B, qui est son collaborateur, sait bien apprécier les situations). ==> Pensez-vous que nous sommes suffisamment informés sur ce sujet ?
– A ne s’est pas forgé encore d’opinion ; il doute vraiment : il a donc besoin de l’avis de B. ==> Pensez-vous que nous soyons suffisamment informés à ce sujet ?– A a une idée ; il a simplement besoin d’une confirmation de cette idée (cf. ce que disent assez souvent les questionneurs sur ce site : « C’est ce que je pensais, mais j’avais besoin d’une confirmation »). Alors subj. ou ind. ? Le degré de doute est assez faible, mais il n’y a pas de certitude…
A mon sens, les deux modes seraient corrects ici, mais qqn peut faire une appréciation différente…Morale : comme je me plaît à le dire : Ne soyons pas, en matière d’emploi du subjonctif, comme dans d’autres domaines de la grammaire, trop souvent catégorique. Il existe souvent des « zones grises »…
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Oui : Je veux faire en sorte qu’il s’attache à moi.
Nous vous l’avons écrit Sandrine et moi ; et ensuite on nous a copiés ! 🙂- 1327 vues
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J’ai déjà répondu à Manuel quels sont pour moi les trois meilleurs dicos. Vous donnez d’ailleurs le lien qui conduit à ma réponse.
Comme Cathy Levy, j’estime que, compte tenu des règlements qui régissent encore l’Académie française, c’est son Dictionnaire qui devrait arbitrer.
Si on dispose d’un grand nombre d’ouvrages dictionnairiques (ce qui est mon cas), je peux aller au-delà de la seule consultation du dict. de la Compagnie. Mais cela suppose que l’on consacre un certain budget à leur acquisition sous la forme papier ou aux abonnements annuels (dict. électroniques, comme le Grand Robert, le Dictionnaire historique de la langue française, etc.).
Cette réponse a été acceptée par francais. le 8 décembre 2025 Vous avez gagné 15 points.
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« ’aimerais le faire s’attacher à moi. (= Je veux qu’il m’apprécie.) »
Ce n’est pas la même chose.
« Est-il possible de dire aussi J‘aimerais l’attacher à moi. ? Je pense que non, le sens serait différent : Lier quelqu’un par un engagement, un contrat (Larousse) ? »
Je ne dirais pas ça, moi non plus.
Je voudrais/Je veux faire en sorte qu’il s’attache à moi.
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