Bonjour,

L’usage est hésitant. Toutefois, l’accord est prédominant.

Même dans ce cas particulier la variabilité prédomine :
Tout le monde l’a crue morte (Hugo, Angelo, III, ii , 3).

Préférez donc : 

une résurrection des émotions qu’il avait crues  mortes…  (accord avec émotions)

+ « Que est plus littéraire que quoi » (Le Bon usage actuel).

Il existe trois graphies

© 2021 Dictionnaires Le Robert – Le Grand Robert de la langue française

© 2021 Dictionnaires Le Robert – Le Grand Robert de la langue française »

Seule la 3e est donc variable en nombre.

On écrit « Mon Père », mais on écrit cela dans un cas bien précis. 

A plus !

En parlant de M. Macron, on peut se borner à écrire « une lettre au président de la République ». Ce n’est pas du tout impoli. 

(Mais en s’adressant à lui, on met deux majuscules de déférence :
Monsieur le Président de la République,)

Bonjour PiqualiseC,

Selon le Bon usage, quand  peut, ou bien être répété (surtout si les propositions sont senties comme nettement distinctes), ou bien être repris par que , ou bien, plus rarement, n’être ni répété ni repris par que.

Pour ma part, j’écris quand, puis que. 

Je ne rencontre pas ce problème, Tara.

Leendder, plutôt oui,  quand on voit les sens extensifs de « fourbir » ». Et puis, ce verbe a bien le sens de « préparer avec soin ».
Les risques, tu les connais mieux que moi : ça risque de ne pas passer la vérif du correcteur (si tu en a un),  ou bien le lecteur risque de fort s’étonner de « fourbir un voeu », par ex.

À remarquer que «ce qui lui a pris de », moins fréquent,  est également correct.

Oui ;  mais « Et, parfait idiot que je suis, » a ma préférence,  en vertu des principes de concision et d’économie linguistique.
==>Et, parfait idiot que je suis, je n’ai inventé aucune excuse crédible.