Pas « semblable ».  Ce n’est qu’une analogie, et encore est-elle limitée. 

A mon sens, ce n’est pas un axiome.

Voici un ex. d’axiome :

Bonjour,

« Celle-ci » reprend « l’eau », normalement !  Oui, vous pouvez écrire ou dire « la première » pour désigner la tension (électrique), notée V.

Bonjour,

Dans ce cas, on utilise souvent l’italique.
Notez que la Compagnie emploie les guillemets.

Dictionnaire de l’Académie française, s.v. « ROULER » :
Par métonymie. Rouler les « r », les prononcer en faisant vibrer fortement la pointe de la langue contre le palais. Colette, qui était d’origine bourguignonne, roulait les « r ».

Dans une incise en italique, on préfèrera l’r en romain.

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Excusez-moi pour cette réponse tardive.

Selon l’éminent grammairien Joseph Hanse, si représente une personne précisée par le contexte et  est suivi d’un complément déterminatif, on emploie généralement lui/elle, lui-même/elle-même. Chacun de nous pense du bien de lui-même. Soi est rare.

Il renvoie chacun de nous vers lui–même.

Chaud étant un adj., la logique voudrait que l’on accordât chaud au pluriel.
Une première solution consisterait à écrire Ils sont chauds patate. Chauds comme la patate chaude qu’ils ne parviennent pas à tenir dans la main et qu’ils se refilent. D’où se refiler la patate chaude.

Une 2e  serait de guillemeter cette expression (courante). Trouvée une fois entre guillemets. 

On pourrait aussi considérer cette expression comme figée.

Les grands dict. contemporains et Internet ne permettent  de résoudre le problème (sauf omission de ma part).

Être chaud patate  ,  c’est être motivé comme jamais, paré à relever tous les défis.

Je crois que je mettrais cette expression populaire entre guillemets : Ils sont « chaud patate ».

Bonsoir,

La flatterie ne passe pas nécessairement par un compliment ; elle peut aussi résulter d’une attention.

Dict. de l’Acad. française, FLATTER :

Un des sens de ce verbe est en effet :

« Par analogie. Causer une satisfaction, en particulier d’amour-propre. Une telle préférence me flatte et m’honore. Je suis flatté de l’attention que vous me portez. Être flatté dans sa vanité. Voilà qui flatte le cœur d’une mère. Cela flatte l’orgueil. Par extension. Voilà un évènement qui flatte mes espérances, qui confirme leur bien-fondé et les encourage. Cette réussite flatte ses désirs. »

Salut Anouck,

« Une (bonne) façon de trancher, ou bien d’avoir au moins une préférence, est de s’en remettre au Dictionnaire de l’Académie française :
« cathare nom
Adepte d’une secte religieuse d’inspiration manichéenne, qui fut particulièrement active dans le Midi de la France, entre la fin du xi^e siècle et le xiii^e siècle. Pour les cathares, le principe du Bien et le principe du Mal s’opposent sans mélange. Les cathares se répartissaient en deux classes : les très rares purs, dits « parfaits », et la masse des impurs, dits « croyants ». En France, les cathares s’étaient regroupés dans la région d’Albi, d’où leur surnom d’albigeois. Adjectivement. La doctrine cathare. »

De ou des ? Cela dépend de ce que vous voulez dire.

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