Bonjour Naya.
« Pour que » exige toujours le subjonctif : débrouille-toi pour qu’on croie à un accident.
Bonne journée

Bonsoir Sara283.
Le participe présent des verbes se forme avec le suffixe –ant, comme la plupart des adjectifs verbaux correspondants. Certains adjectifs verbaux se terminent par –ent mais ne seraient pas directement dérivés du verbe correspondant mais seraient issus du latin ou d’une forme ancienne.
Ainsi divergent est issu du latin divergens.

Bonsoir MamorukunBE.
Je laisserais fourrure au singulier car dans le cas contraire ce peuple aurait une seule fourrure.
À l’instar des « sans culotte », je ne mettrais pas de majuscules.

Bonjour Caroline22.
Beaucoup est généralement suivi d’un substantif au pluriel et je serais tenté d’écrire émotion au pluriel.
Mais beaucoup peut être suivi d’un substantif au singulier quand celui-ci a une valeur collective ou exprime une « Partie importante de quelque chose que l’on considère comme un tout (comme le sont, par exemple, une qualité physique, intellectuelle, un sentiment, une valeur morale ou des facteurs extérieurs : pluie, vent, temps, etc.) » (TLFI). On pourrait donc aussi écrire beaucoup d’émotion pour parler de la réaction affective, du trouble provoqué.
Le contexte et la phrase entière pourraient nous aider.

Bonjour MamorukunBE.
Avec la principale au présent, vous utilisez le conditionnel passé pour exprimer une hypothèse qui a eu lieu dans le passé. Ce même temps peut être utilisé avec une principale au passé.

Bonsoir Soso.
Les phrases sont correctes.

Bonjour Anaislyd.
1- On pourrait écrire : cote, intérêt, portée
2- « Faire parvenir » implique le rôle d’un intermédiaire humain ou matériel (courrier, courriel…) tandis que « remettre » sous-entend un contact direct.
3- Le rendu me semble correct.

Bonjour Marouane.
J’aurais plutôt écrit : de quel  cahier tu parles ou quel est le cahier dont tu parles ?
« Quel cahier » est effectivement un syntagme nominal.

Bonjour Marine171086.
Le verbe « sous-entendre » n’exprime pas une possibilité mais bien une réalité non exprimée explicitement. Il n’y a donc pas lieu de recourir au subjonctif dans la subordonnée : Sous-entend-elle que je ne fais pas correctement mon travail ?

Bonjour abering.
L’utilisation de la préposition « à » est correcte. Se répandre signifie se propager et la préposition a valeur de « à la surface de « .