Bonjour,
Si cela n’est pas très élégant, cela reste correct.

Bonjour,
Si jamais est utilisé dans un sens positif (= un jour), on ne met pas de ne. L’auteur veut ainsi indiquer qu’ils ont connu une fois au moins « autre chose que les tourments de la richesse ».
Imaginer est suivi du subjonctif car il s’agit d’exprimer une possibilité.
L’imparfait du subjonctif n’est plus guère employé sauf dans la langue écrite avec avoir et être. Il est remplacé par le présent du subjonctif. Ici le plus-que-parfait du subjonctif  de arriver (fût arrivé) peut donc être remplacé par le passé du subjonctif (soit arrivé).

Bonjour,
Avec « peut-être » en tête de phrase, quand le sujet est un nom (ici histoire), on ajoute un pronom placé après le verbe. Quand le sujet est un pronom, il y a inversion du sujet et du verbe.
Vous devez donc écrire :  « Peut-être, en fait, cette histoire était-elle moins étrange qu’on ne l’imaginait. »

Bonjour,
Il s’agit ici de l’adverbe de négation et non d’un ne explétif. Il est généralement employé avec un autre mot marquant la négation : pas, plus, rien…
L’adverbe ne est employé seul dans les subordonnées au subjonctif qui dépendent d’une phrase à la forme négative : Il n’y a pas une seule des filles de sa classe qui ne soit son amie.
Mais on peut aussi « employer ne sans autre adverbe de négation lorsqu’il suit un si conditionnel servant à atténuer la négation (si je ne m’abuse, si je ne me trompe, etc.) » (Office québécois de la langue française). Ce qui n’est pas le cas dans votre phrase.

Bonjour,
Il s’agit de craindre de + infinitif (Le Robert et CNRTL).

Bonjour,
Comme d’autres participes (dit, dû, cru, su, pu…), prévu reste invariable quand il a pour COD un infinitif ou une proposition à sous-entendre après eux :  Ces salariées n’ont pas obtenu les privilèges qu’elles avaient prévu (d’obtenir).

Bonjour,
Je n’ai pas trouvé de référence mais les deux formulations sont équivalentes et signifient « un peu partout ».

Bonjour,
La phrase incidente, mise entre tirets (ou entre parenthèses), n’intervient pas dans l’accord. Il s’agit d’un commentaire de l’auteur.

Bonjour,
Il s’agit de « convenir de + nom » pour « se mettre d’accord », donc votre deuxième proposition est correcte. Nous étions convenus de ce donc ce dont nous étions convenus.

Bonjour,
Le participe passé s’accorde avec le nom auquel il se rapporte : ils ont tenu informés leurs amis.