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Bonjour.
Le genre des villes n’est pas fixé, il peut être masculin ou féminin.
Quand le nom des villes est précédé d’un article, on reconnait leur genre.
Souvent, les villes dont le nom se termine par un e muet ou par es, sont au féminin.
On met aussi au masculin le nom d’une ville, quand elle désigne par un club sportif, un gouvernement, une capitale, un pays ou même une population.J’utiliserais plus volontiers le masculin dans votre exemple.
Cordialement.
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Bonjour Estudiantin35.
Vous connaissez bien la règle de l’accord du participe passé suivi d’un infinitif, puisque vous l’avez rappelée dans votre question « accords » qui a suscité de si nombreux commentaires.
Certes il s’agissait d’un verbe pronominal, mais la règle est la même et le raisonnement que vous aviez tenu dans vos exemples était parfaitement approprié.
Avec un participe passé utilisé avec l’auxiliaire avoir et suivi d’un infinitif, l’accord se fait avec le COD s’il est placé avant le verbe et s’il fait l’action exprimée par l’infinitif.
Mais comme Evinrude, je vous laisse y réfléchir, et si vous n’y parvenez pas, revenez vers nous. Ce sera avec plaisir !
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Bonjour TySh.
N’hésitez pas à mettre la phrase à la première personne du pluriel pour distinguer à l’oral le futur du conditionnel.
« Nous ne manquerons pas / nous ne manquerions pas de vous tenir informé(e,s) »
Cordialement
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Bonjour TySh.
Il s’agit de la règle d’accord du participe passé avec l’auxiliaire avoir.
L’accord se fait avec le COD, s’il est placé avant le verbe.Dans « Vous nous avez sollicité(s)« , vous avez sollicité qui ? : « nous », COD placé vant le verbe donc accord avec « nous ».
Il faut donc écrire « Vous nous avez sollicités »
Bien sûr, si « nous » représente exclusivement des femmes, alors on utilisera le féminin pluriel : « sollicitées ».
Cordialement
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Bonjour Estudiantin35.
Vous vous posez en effet les bonnes questions.
Elle s’est sentie tomber : vous avez raison, c’est bien elle qui tombe, donc accord.
Elle s’est senti inonder par des remords : ce sont les remords qui l’inondent, donc COD de inonder, pas d’accord
Elle s’est senti piquer par un moustique : c’est le moustique qui la pique effectivement.
Elle s’est senti entraîner par les flots : ce sont les flots qui l’entrainent
Remarquez que pour les trois derniers exemples, l’infinitif est suivi d’un complément introduit par la préposition « par ». Dans ce cas, le participe ne s’accorde pas, car c’est le complément qui fait l’action exprimée par l’infinitif : les remords inondent…, un moustique pique…, les flots entrainent…
Cordialement.
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En effet le l’ est avant tout historique.
On est à l’origine un nom qui signifiait « homme » (de son origine latine homo), et donc utilisé avec l’article l’.
Cette forme (l‘on) était courante jusqu’au XVII° siècle, et l’on a gardé, depuis, la possibilité de conserver (ou pas) le l’.
http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?t1=1&id=3107- 75253 vues
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Bonsoir.
Vous abordez ici la règle de la concordance des temps, donc le rapport entre le temps de la principale et de la subordonnée.
Le verbe de la principale (saviez) est au passé (ici l’imparfait de l’indicatif).
Selon le sens, le verbe de la subordonnée (que vous…) se met :
– à l’imparfait ou au passé simple, si le fait exprimé par le verbe subordonné est simultané à celui de la principale : « saviez-vous que vous pouviez/pûtes demander à me voir quand vous êtes venus hier »
– au plus-que-parfait ou au passé antérieur si le fait est antérieur : « saviez-vous que j’avais/j’eus pu me préparer avant de passer l’entretien »
– au futur du passé ou au futur antérieur du passé si le fait est postérieur : « saviez-vous que vous pourriez/auriez payer l’addition la prochaine fois« .
– ou encore le présent, comme vous l’indiquez, lorsque la subordonnée exprime un fait vrai dans tous les temps : « saviez-vous que vous pouvez demander une carafe d’eau au restaurant »Cordialement
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Bonjour.
Je ne pense pas que l’on puisse utiliser alternative dans cette phrase.
En effet une alternative est constituée de deux possibilités parmi lesquelles il faut faire un choix.
Par exemple : elle n’a plus qu’une alternative : se cacher ou se sauver. Mais se cacher n’est pas une alternative à se sauver. C’est une autre éventualité.Dans votre phrase vous évoquez le choix entre une alternative et autre chose. Vous voulez en fait dire « comme autre possibilité », « comme solution de rechange à autre chose »
Cordialement
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Bonsoir Estudiantin35.
Après les mots et, ou, où, que, qui, quoi et si, on préfère l’on à on pour éviter le hiatus (2 voyelles face à face)
« Est-ce que l’on dit » est donc préférable à « est-ce qu’on dit«
C’est la maison où l’on habite.On évite l’on après dont pour des raisons d’euphonie.
Cet homme, dont on connait les qualités…On utilise donc de préférence l’on dans la langue écrite, ou soutenue. Mais rien n’est obligatoire !
Voici la position de l’Académie :
« De son origine nominale, On a gardé la possibilité d’être précédé de l’article élidé l’. Le choix de cette forme tient aujourd’hui à une volonté d’élégance ou à certains usages liés à l’euphonie, notamment lorsqu’on veut éviter un hiatus. L’on se rencontre fréquemment après et, où, ou, si, qui, que, et d’autres conjonctions ou pronoms, comme dans « Puisque l’on s’obstine », « Un pays où l’on parle espagnol », « Ce que l’on connaît ». Il s’emploie plus rarement en tête de phrase et n’est pas d’usage après le relatif dont ou à proximité d’un mot commençant par l. On emploiera alors la forme on, comme dans « Ce dont on peut s’étonner », « Ici, on loue des vélos ».Il est aussi préférable de dire lorsque l’on. On le lit 78 fois dans le Trésor de la langue française alors que lorsqu’on n’y figure pas. »
Cordialement
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Le site canadien nous propose de simplifier les choses :
« On retiendra donc qu’avec eu, donné et laissé suivis d’un infinitif introduit par à, l’accord est parfois possible, mais que, par simplicité, on peut opter pour l’invariabilité.«Mais aussi : « (…) on ne fait généralement pas l’accord. C’est particulièrement le cas avec eu lorsque avoir à a le sens de « devoir, être tenu à »
Voici encore deux exemples donnés par ce site qui témoignent de la difficulté ! (et pourtant avoir a ici le sens de devoir !)
– C’est la première lettre de motivation que j’ai eu (ou : que j’ai eue) à écrire.
– Les difficultés qu’elles ont eu (ou : qu’elles ont eues) à surmonter les ont fait mûrir.Et je vous livre un autre exemple du Dictionnaire des difficultés de la langue française par Larousse :
« il semble indifférent de faire ou non l’accord : la fable que j’ai eu(e) à réciter.En conclusion, mieux vaut ne pas accorder (si j’avais su… j’aurais gardé tous mes cheveux !!!)
Bon dimanche
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