Bonjour xalef.

Les deux formulations sont correctes.

Devant un infinitif on utilise la préposition « de » : merci d’être venu.

Devant un nom, celui-ci sera introduit par de ou par pour : merci de votre réponse ou merci pour votre réponse.

Merci de/pour votre question.

Bonjour Slynn.

« En lieu et place » est une expression figée invariable qui signifie : à la place de quelqu’un dans l’exercice de ses droits, de ses fonctions.

Bonjour Aurelien.

La logique veut que vous utilisiez le pluriel, puisque vous vous adressez à plusieurs personnes qui peuvent toutes remplir cette « fonction ».
Ce serait écrire : Parents, enseignants, éducateurs … devenez des passeurs de bonheur !

Bonjour Cyril17.

Dans cette phrase le sujet est qui. mis pour créneau et camion, de sens différent, coordonnés par la conjonction et.
L’accord se fait donc à la troisième personne du pluriel : Merci de m’indiquer le créneau et le camion qui vous intéressent.

Si vous souhaitez ne faire l’accord qu’avec « le camion », il vous suffit d’inverser les deux sujets potentiels pour isoler « le camion » : Merci de m’indiquer le camion qui vous intéresse ainsi que le créneau voulu.
Ou : Merci de m’indiquer le camion souhaité ainsi que le créneau qui vous intéresse.
Ou encore : Merci de m’indiquer le créneau  souhaité et le camion qui vous intéresse.

Bonjour alison.

Quand « la plupart » ou un autre collectif a pour complément « d’entre nous » ou « d’entre vous », l’accord se fait presque toujours à la troisième personne du pluriel.
Il peut être admis, avec »nous », de faire l’accord à la première personne du pluriel.

J’écrirais : « la plupart d’entre nous meurent ».
La formulation « la plupart d’entre nous mourons » n’est cependant pas fautive mais rare.

Il faut bien sûr utiliser l’indicatif.

On peut éventuellement critiquer l’usage du passé antérieur qui marque l’antériorité par rapport à un événement du passé.
En effet on peut considérer que le participe présent remplace une subordonnée au passé [on le voit qui fuyait/fuit (passé simple)] et dans ce cas la passé antérieur est le bienvenu.

Vous pouvez aussi utiliser le passé composé en considérant que le participe présent remplace un verbe au présent : on le voit qui fuit (présent). Dans ce cas, l’action de commettre son agression, antérieure par rapport à l’action de fuir qui est racontée au présent, réclame le passé composé :  Sur la vidéo de surveillance, on le voit fuyant après qu’il a commis son agression. 

Bonjour Tarek97.

Pour les mots donnés en exemple, la présence ou non de l’accent circonflexe a une justification étymologique.
L’accent circonflexe a remplacé le « s » disparu.
Ainsi château a pour origine le mot latin castellum.
Mais les mots à l’origine de bateau et chapeau, respectivement batillum et capellus, ne comportent pas de s après le a.

Mais ce n’est pas une règle !
On trouve des mots pour lesquels la disparition du s n’a pas été remplacée par un accent circonflexe :
mostarde ou moustarde -> moutarde mais moût.
musca -> mouche

La locution après-que ne se construit qu’avec l’indicatif.
« Eût fait » est le plus-que-parfait du subjonctif du verbe faire.

Écrivez : « Après qu’il eut fait ce rêve, il sortit du lit en trombe. » (Passé antérieur, le verbe de la principale étant au passé simple)

Bonjour Manech.

S’agissant de noms composés, les mots doivent être réunis par un trait d’union. (Les mots anciens sont soudés)

Le pluriel de ces noms composés de mots variables se fera en mettant les noms qui les composent au pluriel.

Des textes-racines, des syllabes-germes.

Bonjour Manech.

Pourquoi ne pas dire simplement : l’hommage.

Sinon : présentation, distribution, voire expression ou formulation d’hommage ?