Bonjour,

Cette formulation est bancale, c’est un pléonasme : conserver signifiant maintenir en l’état .

Hors l’usage poétique (!?), « J’ai conservé la beauté de ces fleurs. » signifie que cette beauté est restée intacte, n’a pas été altérée.

Bonjour,

M’ a ici pour antécédent le locuteur : Vous avez confié à moi ; la préposition à indroduit un COI, il y a donc pas de COD avant le PP et donc pas d’accord.

« Vous m’avez confié le mois dernier la mission de vous aider pour votre chantier. »

Bonjour,

votre proposition principale est affirmative, son verbe ne laisse pas de place au doute ou à l’interprétation : l’indicatif est requis.

Bonsoir,
le seul cas où le conditionnel est requis c’est lorsque la subordonnée de condition est conjuguée à l’imparfait.

Pour ma part la bonne formulation serait :

« Si Abilène veut être receveur, j’essaie de voir de quoi tu es capable. »  Soit : dès que A alors B

ou

« Si Abilène voulait être receveur, j’essaierais bien de voir de quoi tu es capable. »

Bonjour,

Ce que je comprends des exemples de Tara c’est qu’on peut y lire comme un agent induit :

Quelque chose me fait penser à, rêver à, songer à, tenir à, renoncer à eux.

alors que dans le cas de je leur manque, je leur donne, je leur prends, etc. on ne peut pas y lire :

Quelque chose me fait manquer, donner, prendre à eux.

Bonjour,

Le pronom de rappel est effectivement de mise en français dans les phrases interrogatives:

« Cette personne répondra-t-elle correctement ?  » et non « Cette personne répondra correctement ? « 

Toutefois, l’usage veut que lorsque la phrase commence par un mot (adjectif, pronom, etc.) interrogatif , on n’use pas de ce pronom de rappel, ce mot suffisant à lui seul à donner une valeur interrogative à la phrase :

« Quelle personne répondra correctement ?  » et non « Quelle personne répondra-t-elle correctement ? « 

« Combien de personnes répondront correctement ?  » et non «  »Combien de personnes répondront-elles correctement ? « 

On trouvera, c’est certain, des exemples de « grands » écrivains qui l’auront ajouté dans leurs proses, mais cela donne un indéniable côté prout-prout  à ces dernières.

Quelle aventure peut-elle l’attendre à l’Opéra ? (Yourcenar).

Belle anacoluthe!

Bonjour,

votre première phrase est la bonne : La construction est bien plus… à lui que...à eux.
Plus…que… étant une formulation comparative, prépositions ou compléments se répètent après chaque terme : Plus de peur que de mal, plus chez l’homme que chez l’animal, etc.
Et mouvement reste au singulier

Bonjour,

en ce qui concerne cet accent circonflexe, vous trouverez ici les rectifications orthographiques de 1990.
La majuscule à événements, elle n’as pas lieu d’être excepté si « les Événements » fait référence, dans une œuvre de fiction, a quelque chose d’unique et d’importance.
La majuscule à maître n’a lieu d’être que lorsque l’on s’adresse directement par écrit à un notaire ou un avocat, ce qui n’est pas votre cas.