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Bonjour,
Je me permets de rouvrir ce sujet, car je suis confrontée à un doute en lisant la phrase suivante :
« C’est un événement pour la famille d’être réunie. »Devrais-je plutôt écrire :
« C’est un événement pour la famille que d’être réunie. » ?
Je suis perplexe, car, dans les deux cas, je trouve la formulation étrange.
Spontanément, j’aurais écrit :
« Le fait d’être réunie est(constitue) un événement pour la famille. »
Mais le texte n’est pas de moi.Pouvez-vous avoir la gentillesse de m’éclairer de vos lumières ? Merci !
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Bonjour,
Je me permets de rouvrir ce sujet, car je suis confrontée à un doute en lisant la phrase suivante :
« C’est un événement pour la famille d’être réunie. »Devrais-je plutôt écrire :
« C’est un événement pour la famille que d’être réunie. » ?
Je suis perplexe, car, dans les deux cas, je trouve la formulation étrange.
Spontanément, j’aurais écrit :
« Le fait d’être réunie est(constitue) un événement pour la famille. »
Mais le texte n’est pas de moi.Pouvez-vous avoir la gentillesse de m’éclairer de vos lumières ? Merci !
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Merci pour votre rapide réponse.
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« l’artiste auquel aurait été passé commande »
Cette phrase me semble fausse. Il manque quelque chose, non ?
Soit on adopte une tournure impersonnelle :
« l’artiste auquel il aurait été passé commande »Soit on ajoute « la » devant commande et le participe s’accorde :
« l’artiste auquel aurait été passée la commande »- 515 vues
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On peut également, si l’on souhaite avoir une espace insécable moins large, recourir à la mise en exposant de ladite espace, c’est plus rapide, on n’a pas besoin de changer le corps.
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À votre avis : h muet ou aspiré dans la phrase « On qualifie ces immeubles d’hausmanniens (ou de haussmanniens) » ?
J’ai beau chercher…Merci !
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Merci infiniment pour toutes ces précisions. Je m’en vais de ce pas corriger ces deux phrases !
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Oui. Dans le langage courant, il est d’usage de faire logiquement l’accord du participe ou de l’adjectif au pluriel quand « on » signifie « nous » : Hier soir, on est allés tous les quatre au cinéma, par exemple.
Il faudra cependant prendre soin d’éviter le mélange de « on » et de « nous » dans un même texte, forcément, comme il vaudra mieux éviter l’emploi de « on » avec les possessifs « notre » et « nos » : Nous te prêterons notre voiture sera plus correct que On te prêtera notre voiture, même dans un écrit « moderne ».
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Une virgule après un point d’exclamation en fin de phrase ? C’est impossible.
Je supprime donc volontiers les guillemets pour laisser seulement l’italique, considérant par ailleurs que les divers points d’exclamation suffisent à déterminer qu’il s’agit de phrases séparées.
Merci pour vos diverses réponses.
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Certes, certes, mais c’est « antitypographique »…
Il existe des règles orthotypographiques permettant d’uniformiser les usages et de mettre tout le monde d’accord. Pourquoi vouloir sans cesse y déroger ? Il suffit de les apprendre. Ainsi, on écrira : le président de la République, le président du Conseil, la présidente de l’Assemblée nationale, le roi d’Angleterre, la reine Victoria, le maire de Pau, le chef de l’État, le ministre de l’Éducation nationale, le Premier ministre, le secrétaire d’État, le préfet du Gard, le chancelier allemand, etc., quand on parle de ces personnes.
Par simple politesse, on mettra une majuscule supplémentaire quand on s’adressera à ces personnes par écrit dans les suscriptions et les correspondances : Veuillez agréer, Monsieur le Président…. (que celui-ci soit de la République ou celui d’une association locale) ; Veuillez croire, Madame la Chancelière, en l’expression de ma plus haute considération, comme on le fait, par ailleurs, pour Madame, Monsieur, etc.
C’est souvent parce que l’on ne sait pas, parce que l’on souhaite/pense honorer la personne ou simplement à cause d’une mauvaise influence anglophone (encore une !) que certains ont tendance à mettre des majuscules partout (au « pif » !) alors qu’il suffit d’ouvrir un livre ou de faire des recherches sur internet pour savoir ce qui se fait en français.
On peut donc se référer, par exemple :
• au Lexique des règles typographiques en usage à l’Imprimerie nationale ;
• à l’ouvrage de M. Jean-Pierre Colignon La majuscule, c’est capital ;
• au Dictionnaire de l’orthographe de M. André Jouette ;
• à 10 règles de français pour faire 99 % de fautes en moins, de M. Jean-Joseph Julaud ;
• et à bien d’autres sources de vulgarisation des règles de typographie.- 3210 vues
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