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  • Grand maître Demandé le 31 décembre 2018 dans Question de langue

    Bonsoir, Prince.

    Je suis d’accord, j’avais un petit doute quand même. Bien que l’expression ne soit pas connue, la phrase 1) me parait tout à fait correcte.

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  • Grand maître Demandé le 31 décembre 2018 dans Question de langue

    Prince, il est vrai que mon idée de départ est de parler du fait que la vérité s’avère fracassante dans le film, mais elle l’est de toute façon aussi dans le traumatisme. Concernant la virgule avec « où », je suis cette règle http://www.btb.termiumplus.gc.ca/redac-chap?lang=fra&lettr=chapsect6&info0=6.1.2#zz6  On y parle seulement de relative déterminative ou explicative. Et là, il est impossible que cette relative soit seulement explicative.
    Pour éviter toute confusion, le mieux est peut-être alors de retenir la 4)… Je vais me laisser le temps de réfléchir.

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  • Grand maître Demandé le 30 décembre 2018 dans Question de langue

    Bonsoir, Prince.

    1. C’est un peu comme dans le film, cela arrive à la fin et la renforce quelque part, mais je comprends votre point de vue.

    2. et 3. Je suis d’accord, j’abandonne l’idée, c’est mieux de jouer avec l’île en elle-même, c’est plus parlant pour le lecteur.

    4. J’en étais quasi certain, je l’avais déjà fait par le passé. Je me suis pensé que l’on disait bien : « Un homme comme les autres. »

    5. Vous m’avez convaincu, je préfère, comme je fais habituellement, choisir un article déterminant.

    Merci pour votre proposition, mais en encadrant entre parenthèses « où la vérité s’avère fracassante », on dirait que c’est une relative explicative, or c’est la proposition principale.

    Je reformulerais éventuellement comme ceci :
    4) Dans ce film phare sur le traumatisme, la vérité s’avère fracassante, comme les vagues sur les falaises de Shutter Island en pleine tempête.
    En plus de celle-ci :
    2) Un film phare sur le traumatisme où la vérité s’avère fracassante, comme les vagues sur les falaises de Shutter Island en pleine tempête.

    Je crois que je préfère la 2) finalement.

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  • Grand maître Demandé le 29 décembre 2018 dans Question de langue

    Bonjour, Cathy, veso.

    La remarque de veso est très juste concernant la virgule. Les phrases 4) et 5) sont donc incorrectes.  Je dirais qu’il en est de même dans la proposition faite par veso, car la conjonction « mais » doit être séparée d’une virgule (dans ce cas) et la subordonnée introduite par si me paraît déterminante.

    Je pense donc qu’il faut retenir l’une des trois premières phrases :

    1) Un père à la recherche de sa fille s’égare en cédant au mal, mais le jeu n’en vaut pas la chandelle s’il en devient prisonnier de ses actes.
    2) Un père à la recherche de sa fille s’égare en cédant au mal, mais le jeu n’en vaut pas la chandelle s’il devient prisonnier de ses actes.
    3) Un père à la recherche de sa fille s’égare en cédant au mal, mais le jeu n’en vaut pas la chandelle si l’on devient prisonnier de ses actes.
    En résumé, c’est choisir entre « il » et « on », puis de se passer ou non de la préposition « en ».

    Cette réponse a été acceptée par Juliano. le 9 janvier 2019 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 29 décembre 2018 dans Question de langue

    Bonsoir, Cathy.

    J’ai une contrainte de 140 caractères pour ma phrase, impossible donc de rajouter le en. Qu’est-ce que change la présence de cette préposition ?

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  • Grand maître Demandé le 24 décembre 2018 dans Général

    Bonsoir, Prince.

    1) Je comprends mieux d’où vient une partie de votre savoir. J’ai effectivement relevé l’équivalent français, mais je vous assure qu’avec des cinéphiles, on vous sourira si vous dîtes retour en arrière plutôt que flash-back. Le montage du film est encore différent dans sa construction, la seule que je connaisse équivalente. Des flashs-back (retours en arrière), il y en a dans presque tous les films, j’ai donc choisi de ne pas utiliser le mot finalement.
    Ce membre n’apporte aucun éclairage, elle crache son venin. Hélas, il y en a plusieurs sur mon site de cinéma. Je n’imaginais pas que l’on en trouvait aussi sur un site de grammaire. Je soupçonne qu’il m’ait reconnu par mon pseudo et suivi sur ce site. Il a été banni, il reviendra sûrement, vu que sa vie est sûrement très vide, il doit s’occuper comme il peut. Vous l’avez raté de peu, il a publié plusieurs fois ici, avant de se refaire bannir sous son dernier pseudo.

    2) Ce n’est pas vraiment une note, la phrase est unique (140 caractères max). C’est plus un clin d’œil au nom latin du film et surtout à la façon de faire du personnage principal (à cause de sa mémoire défaillante, il se fait des tatouages ou prend des notes sur des photos instantanées). Je me dis que si l’on écrit une note pour soi-même, on écrira plutôt : Note : ou  Nota : Sinon, quand j’ai réellement besoin, j’opte comme vous pour N.B. :
    Je voulais opter pour mettre en gras, mais sur le site où je publie, les caractères en gras ou en italique ne sont pas gérés.
    Merci pour ce tour très complet concernant la question D), qui était la principale pour moi.

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  • Grand maître Demandé le 23 décembre 2018 dans Général

    Bonsoir, joelle.

    Tout d’abord, merci d’avoir pris ma défense. Il se proclame champion, mais ne montre jamais rien. sauf de l’agressivité.

    Je ne voulais pas utiliser flash-back (mot anglais), mais je constate que le mot est même référencé dans le dictionnaire de l’Académie française, même si elle lui préfère retour en arrière. Le flash-back est habituellement un retour en arrière par rapport à l’action présente. Là, cela va un peu plus loin, car c’est permanent dans le film. Le film s’ouvre avec la fin de l’histoire, la dernière scène, puis le film progresse, de la scène Y à la scène Z, puis de la scène X à Y et ainsi de suite, la fin d’une scène recouvrant à chaque fois le début de la scène précédente (précédente dans l’ordre du film, mais en réalité suivante par ordre chronologique).

    Je vois que vous avez privilégié l’article « le » au démonstratif « ce » et que vous avez utilisé le pluriel pour « pertes », pourriez-vous éventuellement m’expliquer pourquoi ? Pour la question D), quel choix feriez-vous ?

    Je souhaite conserver l’expression « se mettre dans la peau », car celle du personnage est couverte de tatouages qui lui servent à avancer dans son énigme. J’ai bien envie de conserver le « qui » plutôt que le « comme ».

    Merci pour votre réponse également.

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  • Grand maître Demandé le 21 décembre 2018 dans Question de langue

    Prince,

    Pour la 3-, je veux dire que j’ai trouvé pas mal d’exemples de phrase avec un complément du nom (la mécanique bien huilée de…) et aucun pour d’autres. Retrouver un usage identique me conforte souvent pour la syntaxe.
    Je suis d’accord que la 1- accroche bien, car elle va à l’essentiel. J’utilise parfois les deux-points, mais je ne pense pas le faire ici. Merci tout de même pour la proposition. D’ailleurs dans la 5-, à la lecture des définitions de fonctionner, je vois rien qui pourrait se rapporter à une mise en scène ; pourtant, je pense que c’est tout à fait possible.

    Il est vrai que scénario bien huilé ou discours bien huilé ne me choque pas non plus, on est plus habituer à entendre ces formes là, c’est la seule différence.
    Dans la phrase de Stéphane Dreyfus : « Le plaisir est donc intact même si les rouages de l’intrigue sont un peu trop bien huilés, laissant une impression de déjà-vu. » C’est surtout l’idée qui me choque. Je ne vois pas en quoi une intrigue trop bien huilée laisse une impression de déjà-vu. Au contraire, on a plus tendance à voir des séries et des films mal ficelés ou moyennement. Une intrigue n’est jamais trop bien huilée à mon sens, mais c’est un autre débat.

    Merci bien.

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  • Grand maître Demandé le 21 décembre 2018 dans Question de langue

    Bonjour, joelle, Prince.

    J’ai du mal à trouver d’autres exemples ayant une construction comme la 1- qui était aussi ma préférée, pareil pour la 2- concernant les exemples. C’est bizarrement, la 3- qui donne le plus d’exemples (exemples trouvés via Ngram viewer).

    Joelle, en cinéma, l’expression un scénario bien huilé existe, bien que mécanique, mécanisme ou rouages soient manquants.

    Prince, la phrase est la première de la critique et la seconde n’a pas vraiment de lien (140 caractères). Il faut imaginer la phrase comme une accroche que l’on trouve sur une affiche ou au dos d’un DVD de ce film. Il y a vraiment un contexte lié à l’œuvre. Le film est un modèle mise en scène, le prix lui a d’ailleurs été accordé au festival de Cannes en 2011.

    J’ai raccourci ma seconde phrase, je peux donc réécrire la première comme ceci :
    5- La mise en scène fonctionne aussi bien qu’une mécanique bien huilée.
    Sinon, comme vous, dans les quatre autres, j’ai ma préférence pour la 1-.

    Par conséquent, est-ce que la 5- n’est pas préférable à la 1- à votre avis ?

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  • Grand maître Demandé le 18 décembre 2018 dans Question de langue

    Bonsoir, Prince.

    C’est exactement ce que je me suis dis pour « à l’infini ». Le dernier acte s’appelle tout de même « au-delà et à l’infini ».
    L’odyssée ne prend pas fin, dans ce monde supraterrestre, l’Homme, ici un en particulier sans compter ceux encore sur Terre, atteint un nouveau degré d’évolution. L’espèce humaine va encore évoluer à en juger par la fin, donc « à » me semble plus correcte.

    J’espère d’autres réponses avant de confirmer. Merci bien.

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