Oui c’est correct.
On peut rencontrer le subjonctif dans certains cas, en particulier quand l’antécédent contient un superlatif relatif (le plus, le moins, le meilleur, etc.) ou un adjectif impliquant une idée superlative (seul, premier, dernier, principal, unique, un des rares, etc.). On écrira donc fréquemment, bien que l’indicatif ne soit pas impossible : Voici le meilleur vin que l’on puisse trouver dans la région, C’est l’unique personne, le seul qui ait accepté.

Source ICI

Il me semble que « se relayer » ne peut avoir pour sujet « chacune » :
voici les exemples du CNRTL :
Il avait tant d’ouvriers qui se relayaient l’un l’autre. (plusieurs personnes )Se relaient auprès d’un malade.

succéder a le sens de « venir après »
relayer concerne le travail

Évidemment, privée de ce mot, la phrase n’avait aucun sens : c’est bien la phrase qui est privée de ce mot (privé est mis en apposition à « la phrase »)

Puisque nous savons qu’il va bien, c’est un fait certain.==> indicatif
Nous sommes ravis de savoir qu’il va bien.

Voilà pour le subjonctif : exprimer les sentiments ou les opinions négatives
Nous nous réjouissons qu’il aille bien.
Nous nous désolons qu’il aille mal.
Nous ne pensons pas qu’il aille bien.

aucune des femmes indifférentes…..(phrase à finir)  : indifférentes s’accorde avec femme car il y a plusieurs femmes indifférentes.
Aucune de ces femmes n’est indifférente : indifférente s’accorde avec aucune.

Ce sont les oiseaux que je regardais à l’horizon.

Dans la tournure c’est, le verbe être se met à la 3^e personne du pluriel si le sujet logique est un nom pluriel. Ce sont des problèmes que nous avons déjà rencontrés (le pluriel de sont est commandé par le sujet pluriel problèmes).

On n’a jamais conscience que de ce qui n’en a pas
Pourquoi la négation ? Remplacez « on » par « nous » et vous entendrez la négation distinctement :
Nous n’avons jamais conscience que de ….

Jamais dans le sens de toujours ?  il me semble que c’est pareil pour la négation. 

En dehors de certains cas définis par l’usage (comme « sans détour », « sans encombre »), le nom qui suit « sans » se met au singulier ou au pluriel selon qu’il désigne une ou plusieurs choses manquantes.

> Ce film muet narre une histoire sans paroles. (Une histoire comporte d’habitude plus d’une parole.)

mais

> C’est un homme sans parole. (Dans ce sens, on n’a d’ordinaire qu’une parole).

Puisque personne ne répond, je me lance : je trouve votre formulation difficile à comprendre. En effet, vous commencez par une une énumération introduite par les « deux points », puis vous donnez le tout en exemple. Cela me paraît contradictoire. S’il a choisi des légumes, il les a choisis et donc ce ne sont pas des exemples…

Pour la ponctuation, voici des « modèles » :
Par exemple  indique qu’on introduit dans le discours un exemple, une preuve de ce qui a précédemment été énoncé. Implicitement, il permet de donner plus de force à un propos.

Cet acteur possède une mémoire phénoménale. Par exemple, il peut réciter intégralement Les fleurs du mal.
Dans ce parc, on peut observer plusieurs espèces d’oiseaux, par exemple la sittelle à poitrine rousse, le pic flamboyant, la paruline jaune, etc.
Il est conseillé de diviser les tableaux complexes, par exemple ceux qui comportent plusieurs lignes ou colonnes d’en-tête.

Pour votre phrase :
Il choisit trois légumes verts, par exemple des épinards ou une salade.
Il choisit trois légumes verts : des épinards, une salade et un poireau.

Il se rappelait de certains regards qu’il avait échangés avec des femmes : juste ==> accord du PP avec qu’ mis pour « regards »