Il  faut chercher le COD : on accorde s’il est placé avant
1) la médecine du travail a déclaré inapte qui ? moi = m’ = femme ==> … m’a déclarée inapte
2) Mme Dupont a dispensé moi = m’ = femme ==> Mme Dupont m’a dispensée d’activité physique.

Attention à ne pas confondre COD / COI :
M. Dupont m’a donné un certificat = m’ = à moi = COI et non COI ==> pas d’accord

Le verbe dire n’exprime pas l’incertitude, donc indicatif.
Pour le subjonctif, il faudrait « douter » par exemple : je doute que cette personne ait 21 ans.
Si vous hésitez entre indicatif et subjonctif, mettez un verbe différent  – pour lequel le subj. s’entend : « qui te dit que je fais la cuisine (et non « que je fasse ») .

Bonjour,

vous avez deux voies :

1) un excellent manuel dont la référence est ici : de nombreux exercices sur des thèmes variés, avec corrections, un régal pour les étudiants.
J’ai aussi cette référence : DUCHESNE, ALAIN
La Nuance : Dictionnaire des subtilités du français
Paris : Larousse, 1994
(Le Souffle des mots [ COLLECTION ])

2) La lecture de la littérature française en piochant dans nos auteurs : crayon à la main, dictionnaire à proximité…je conseille souvent les nouvelles de Maupassant pour débuter mais il y a tant d’autres  possibilités en fonction de vos goûts.

afin que : est suivi du subjonctif
donc : afin que nous apportions une réponse…

Permettraient doit s’accorder avec le sujet « les semaines de stage proposées »

Dans le premier commentaire de Joelle, on me dit que le conditionnel passé n’a pas sa place. 
Pour moi, en effet, le conditionnel passé n’est pas adapté / attention il n’est pas faux dans l’absolu : si vous écrivez « combien j’aurais pu emprunter » cela sous-entend « si j’avais souhaité emprunter », or la volonté d’emprunt est réelle. Le conditionnel présent avec une valeur de « futur du passé » me paraît plus ancré dans la réalité.

Aujourd’hui, j’ai une belle voiture, l’année dernière je suis allée voir la banque afin de savoir combien je pourrais emprunter pour celle-ci .
Vous utilisez le « conditionnel présent »: toujours comme futur du passé, il n’ y a pas de problème.

Affaire à  = en un mot suivi de la préposition ==> relation
donc lisez bien le contexte de la phrase.

à faire suivi de… »autre chose que la préposition==>vous pouvez remplacer par »à fabriquer », à réaliser »

«Je ne veux plus rien avoir à faire avec lui ! »
1) il n’y a pas la préposition « à »
2) on peut dire : je ne veux plus rien avoir à réaliser – à effectuer AVEC lui.
==> donc la correction de votre exercice est fiable !

Revenez si vous hésitez !

Votre phrase est correcte ainsi ponctuée.
Toutefois, je dirais que  » après tant d’années » ou d’espoir… C’est une formule un peu vague, surtout suivi de « enfin réunis ». C’est comme si vous avez été séparés ou que vous n’avez pas vu quelqu’un depuis longtemps. bien sûr il y a un contexte, donc j’imagine que l’on comprend que vous avez attendu qu’un enfant puisse être adopté, mais votre phrase laisse entendre légèrement autre chose ( à savoir une longue séparation).

Monsieur s’abrège en M.
Votre phrase est correcte.
Il a quitté l’entreprise à la même date ou à la même époque que moi.

Je n’arrive pas à mettre un commentaire à votre réponse :
« je pouvais » indique la concomitance des actions « aller » et la « possibilité » du prêt
« je pourrais » exprime la postériorité de l’une par rapport à l’autre.