Il semble s’agir là de simples appellations commerciales (souvent non protégées, voire banales) qui n’ont pour règle d’écriture par un rédacteur externe que la recopie de la  graphie d’origine. La majuscule suffit normalement à identifier la caractéristique de marque.
Cela étant, en cas de confusion potentielle ou d’ambigüité de la phrase, on pourra éventuellement recourir à une bonne vieille paire de guillemets : « J’ai vu tes “Vignes du Seigneur” : elles sont bien vieillies, il faudrait s’en occuper. »

Il me semble que oui…
Moins courant : « Constitutionnalisation » est le plus long mot sans la lettre e.

À défaut d’autre(s) élément(s) ou d’un mot  déterminant clairement le nombre, les deux sont acceptables. Le contexte, le bon sens  ou les tournures les plus habituelles orientent le choix du rédacteur.
Le seul fait « qu’il n’y en ait pas » ne joue pas de rôle : vous écrivez « il n’y a pas d’arbres dans ce secteur » car on s’attend plutôt à en trouver plusieurs. Mais « il n’y a pas un seul arbre dans ce secteur » car le singulier est imposé par « un seul ».

Il me semble que « usage tertiaire » n’est pas une appellation très précise, surtout en face de « usage commercial », qui est lui-même du tertiaire…
Cela mis à part, on écrira plutôt : « Un immeuble à usage commercial et d’habitation ». Le pluriel ne serait pas faux, mais l’écriture la plus courante (domaine juridique notamment) est le singulier

Que vous dire ?
Oui, tout cela est correct : orthographiquement, grammaticalement, syntaxiquement.

Pour l’élégance, c’est une autre affaire : on aimerait plus de ganses, de rubans, de cordonnets…

L’invariabilité de la préposition me convient mieux dans la vie courante : si l’on commence à ouvrir le robinet, tout va y  passer. N’oublions pas le célébrissime « ci-joint » que l’on s’échine à expliquer à tant de gens…

Il est certain qu’il y a des mots plus adaptés pour la langue littéraire…
Mais si vous y êtes contraint sous la menace d’un browning ou d’une winchester, alors écrivez « co-sponsor », comme on en écrit tant d’autres.

J’ai effectivement remarqué cette habitude dans de nombreux actes. Il doit s’agir d’un code typographique propre à la corporation, sans doute pour éviter toute ambigüité dans des documents qui ne le supportent pas. J’ai remarqué aussi que l’usage est d’utiliser les petites capitales afin de minorer l’impact visuel de cet « abus » .

J’ai cru comprendre que l’appellation  » copule » est juste une nouvelle appellation — certes légèrement élargie — des verbes d’état. Ils introduisent tous un attribut.
Je ne vois donc pas de différence significative.

La ponctuation est des plus importantes dans une phrase complète. Jugez-en :
— « Une des hypothèses avancées par M. X est des plus intéressantes. »
— « Une des hypothèses, avancée par  M. X, est des plus intéressantes. »
Dans le second cas, la mise en incise (entre virgules) permet de détacher le participe du mot le plus proche et de le rattacher au sujet.